Première (Gérard Delorme)
C’est un de ses films les plus personnels, qui lui permet d’innover dans le domaine du romanesque comme jamais auparavant. Visuellement, Le vent se lève est éblouissant et par moments bouleversant.
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Slate (Jean-Michel Frodon)
"Le Vent se lève" de Hayao Miyazaki a toutes les raisons de figurer en bonne place parmi les grandes réussites du cinéaste japonais (…) Sans doute [son] film le plus directement ancré dans des faits réels (…) même si les dimensions oniriques restent très présentes, et très créatives.
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Variety (Scott Foundas)
L’histoire d’amour est la seule partie qui soit un tantinet longuette, mais on ne va pas chipoter avec un film qui, en dehors ça, à tant à offrir sur le plan narratif et du plaisir sensoriel. Miyazaki est ici au sommet de sa maîtrise visuelle (…)
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ThePlaylist (Oliver Lyttleton)
Si l’histoire elle-même est conventionnelle, la façon dont elle est racontée ne l’est absolument pas (…) Ce n’est peut-être pas le film le plus immédiatement accessible de son auteur, mais il fait partie de ses plus fascinants et séduisants.
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The Guardian (Xan Brooks)
Naturellement, l’animation est un bonheur pour les yeux (…) Mais le film lui-même est raffiné à l’excès. Trop poli. Il demandait plus de mordant.
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Le Vif (Jean-François Plugijers)
(…) s'il y a là un film finement exécuté, Miyazaki semble avoir perdu quelque peu perdu l'inspiration, sacrifiant notamment les éléments fantastiques qui illuminaient une large partie de son oeuvre au profit d'un sentimentalisme pesant (…)
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Le vent se lève
