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    Audiences US: "NYC 22" a-t-elle réussi ses débuts ?

    "NYC 22", la série policière produite par Robert De Niro pour la chaîne américaine CBS, faisait ses grands débuts ce dimanche 15 avril aux États-Unis. Comment les rookies de New York s'en sont sortis ? Découvrez les principaux chiffres de la soirée !

    Dimanche 15 Avril

    20h00

    1. The Amazing Race (CBS) / 9,2 millions (2.5%*)

    2. Harry's Law (NBC) / 8,1 millions (0.9%*)

    3. Once Upon A Time (R) (ABC) / 4,1 millions (1.1%*)

    4. Les Simpson / Bob's Burgers (Fox) / 4,9 - 2,7 millions (2.2 - 1.8%*)

    21h00

    1. The Good Wife (CBS) / 10 millions (1.8%*)

    2. Celebrity Apprentice (NBC) / 6,2 millions (2.1%*)

    3. Titanic (ABC) / 4,2 millions (0.9%*)

    4. Les Griffin (R) The Cleveland Show (Fox) / 4,6 - 4,3 millions (2.2 - 2.0%*)

    22h00

    1. NYC 22 (Series Premiere) (CBS) / 8,9 millions (1.5%*)

    2. Celebrity Apprentice (NBC) / 7 millions (2.3%*)

    3. GCB (ABC) / 4,5 millions (1.5%*)

    * Taux sur les téléspectateurs de 18 à 49 ans, cible privilégiée des annonceurs

    Avec près de 9 millions de téléspectateurs ce dimanche soir, NYC 22 empoche une victoire dans sa case horaire... mais pour la flamboyance, il faudra repasser ! Pour CBS, la mauvaise nouvelle de cette victoire tient au fait que la série policière ne semble pas attirer les 18-49 ans, cible prioritaire des annonceurs. A la même heure, GCB confirme qu'elle n'est pas de taille pour succéder à Desperate Housewives, qui s'achève dans quelques semaines. Le soap réussit même à tomber largement sous la barre des 5 millions de téléspectateurs, selon les premières estimations, réalisant du même coup la pire audience historique de sa courte (et sûrement brève) histoire. Un peu plus tôt dans la soirée, Harry's Law a prouvé une nouvelle fois qu'elle était un des programmes phares de NBC, qui en manque cruellement. Si les responsables du network oublient le taux sur les 18-49 ans, la série a une vraie chance d'être renouvelée. Et au vu des chiffres globaux elle le mérite...

    Thomas Destouches avec Nielsen Media Research

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