The Hollywood Reporter : "Le long métrage est un jeu enchanteur pour le spectateur, entre passion ratées et quiproquos." (Jordan Mintzer)
Libération : "L'art de Kiarostami est plu que jamais une esthétique des notes en bas de page, de petits poèmes écrits dans les marges, de miniaturiste moderne. Tout le début est très beau, somptueusement photographié. mais l'élégance de la mise en scène, des partis pris de mixage, l'apesanteur de l'ensemble finissent par se résorber en une fin volontairement abrupte. Où la maître iranien veut-il en venir ?" (La Rédaction)
Chronicart : "Même si ici l'exercice est un peu superficiel, trop confortable, le dernier plan, assez malicieux, opère comme une déchirure dans la trame de cet ennui serein, comme ce vieux personnage qui s'endort en voiture, Kiarostami rigolerait presque de lui-même avec nous." (Murielle Joudet)
L'Express : "Le mal-être d'une jeunesse égarée ou les vicissitudes d'un quotidien régi par la solitude sont des thèmes toujours passionnants, à condition qu'ils soient servis par un scénario consistant. Ici, on est dans la pose. (...) Effet garanti : le spectateur fatigué se retrouve en symbiose avec le personnage. Au mieux, il baille d'ennui." (Christophe Carrière)
Métro : "Après Jacques Audiard et Michael Haneke, c'est au tour d'Abbas Kiarostami de proposer une réflexion sur le sentiment amoureux. Contrairement à Copie Conforme, qui nous avait littéralement scotchés, Like someone in love nous laisse plutôt perplexe. On est partagés devant ce road movie japonais à la fois vain et captivant, pas complètement déplaisant, même dont on a du mal à comprendre où il veut nous emmener." (Rania Hoballah)
