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De quoi ça parle ?
Il était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux, puis se recouper en pleine période de prohibition, dans les années vingt. Jusqu'au jour où la trahison les sépare à nouveau.
Ca passe quand ?
Ce dimanche 9 février à 20h50 sur HD1.
5 bonnes raisons de (re)voir "Il était une fois en Amérique" :
1/ Parce qu’il s’agit de l’ultime film de Sergio Leone. En effet, le maestro italien est décédé en 1989 alors qu’il préparait un long-métrage sur la bataille de Leningrad.
2/ Pour la prestation de Robert De Niro, impeccable dans le rôle du gangster Noodles. L’acteur est d’ailleurs épaulé par James Woods et Joe Pesci (dans un petit rôle), douze ans avant que les trois hommes ne figurent au casting de Casino. A noter également l’apparition de Jennifer Connelly alors jeune débutante à l’époque.
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3/ Pour la musique d’Ennio Morricone, dont les mélodies mélancoliques épousent à la perfection le ton du film.
4/ Pour les paysages de la ville de New York, sublimée dans Il était une fois en Amérique. Sergio Leone avait tenu à tourner en décors naturels : du coup, les prises de vues se sont étalées sur un an au total, faisant exploser le budget initial de trois millions de dollars.
5/ Parce qu’il s’agit d’une fascinante fresque de 3h40, où les thématiques abordées sont nombreuses et au cours de laquelle tout un pan de l’Histoire américaine est abordé. Malgré sa durée, l’intrigue est trop absorbante pour laisser le temps aux spectateurs de s’ennuyer. Il était une fois en Amérique est d’ailleurs régulièrement cité parmi les plus grands films jamais tournés.
Clément Cusseau
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