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    "Cold in July", "Dallas Buyers Club"... Les années 80 n'ont jamais été aussi tendance !

    Avec "Cold In July ou "Dallas Buyers Club", les années 80 ont de nouveau pris d'assaut les affiches en 2014 ! Zoom sur les fictions de ces deux dernières années qui nous ramènent en plein dans les 80's...

    Les années 80... bling-bling !

    Avant Elvis, Elton John et Madonna, il y a eu Liberace : pianiste virtuose, artiste exubérant, bête de scène et des plateaux télévisés. Liberace affectionnait la démesure et cultivait l'excès, sur scène et hors scène. Un jour de l'été 1977, le bel et jeune Scott Thorson pénétra dans sa loge et, malgré la différence d'âge et de milieu social, les deux hommes entament une liaison secrète...

    Pourquoi les eighties ?

    Au lieu d'un biopic traditionnel, Steven Soderbergh a choisi de s'intéresser à une tranche de la vie très riche de Liberace : son histoire avec le jeune Scott Thorson que le showman prendra sous son aile. Le film (2013) déploie donc leur romance de ses débuts en 1977 jusqu'à leur séparation houleuse, cinq ans plus tard, en 1982, tout en allant plus loin dans le temps, jusqu'à la mort de Liberace en 1987. Ma vie avec Liberace déploie donc la fin des années 70 et le milieu des années 80, le moment où le public apprend l'homosexualité de son idole mais où Liberace continue de nier.

    Comment ?

    Dans Liberace, la reconstitution de l'époque et de l'apparat autour de l'artiste ont été poussée très loin. Tous ceux qui ont vu le film le savent bien. Tourné à Los Angeles, Las Vegas et Palm Springs, le film a utilisé plusieurs lieux réels pour installer ses caméras, comme le bureau de poste dans lequel travaillait Scott et même la scène du LVH (l'ancien Las Vegas Hilton) où se produisait Liberace. A l'intérieur de cette dernière, les gradins ont même été enlevés pour reconstituer l'ambiance du Las Vegas de l'époque !

    L'ancien appartement de Liberace à Los Angeles a également été loué, puis redécoré à l'identique, à base d'archives mais aussi grâce aux photos de l'actuel propriétaire. Les équipes ont fait la tournée des antiquaires et des boutiques pour trouver des objets ayant vraiment appartenus à Liberace et ont même emprunté certains accessoires au Liberace Museum de Las Vegas (notamment des voitures et des pianos). Quant aux costumes et aux bijoux créés pour le film, autant dire qu'un nouveau musée pourrait être ouvert rien qu'avec eux ! Matt Damon et Michael Douglas ont chacun porté plus de 60 costumes sur mesure pour les besoins du film.

     

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