De la Momie et Jar Jar Binks en 1999 à Edouard de "Pourquoi j'ai pas mangé mon père" en 2015, retour sur 15 ans de motion capture sur grand écran...

Ebenezer Scrooge dans "Le Drôle de Noël de Scrooge" (2009)

Troisième round pour Robert Zemeckis en animation et en performance capture !

Après Tom Hanks dans Le Pôle Express et Ray Winstone dans La Légende de Beowulf, c’est à Jim Carrey qu’il propose d’enfiler la traditionnelle combinaison à marqueurs. Parmi les 8 rôles qui lui ont été assignés dans le long métrage, le comédien se voit confier la lourde tâche d’incarner le mythique Ebenezer Scrooge, figure emblématique de la littérature britannique.

Une expérience que l’acteur n’est pas prêt d’oublier : "le procédé de performance capture modifie les habitudes de tournage mais pour moi, cela ne bride absolument pas la créativité du comédien. Hormis le fait que vous êtes habillé comme un extraterrestre et que vous jouez devant des écrans verts, vous vous sentez comme sur une scène de théâtre. Le travail sur le jeu est extrêmement précis et les dizaines de caméras qui vous filment ne manquent aucun détail," explique-t-il.

Replongez dans la période de Noël...