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    Angélique, émotive, perverse... 10 visages d'Isabelle Carré !
    Laetitia Ratane
    Laetitia Ratane
    -Responsable éditoriale des rubriques Télé, Infotainment et Streaming
    Très tôt fascinée par le grand écran et très vite accro au petit, Laetitia grandit aux côtés des héros ciné-séries culte des années 80-90. Elle nourrit son goût des autres au contact des génies du drame psychologique, des pépites du cinéma français et... des journalistes passionnés qu’elle encadre.

    A l'occasion de la sortie des "Chaises Musicales", nous avions rencontré Isabelle Carré, une actrice chaleureuse qui s'est confiée à propos de ses rôles éclectiques. Angélique, effrayante, étonnante, bouleversante, focus sur 10 de ses facettes...

    La fragilité incarnée

    Dans "Se souvenir des belles choses" de Zabou Breitman

    Pan Européenne Edition
    Etre coachée pour un rôle, c'est une trahison envers le metteur en scène !

    C'était l'angoisse ce film (pour lequel elle a reçu le César de la Meilleure actrice en 2003 ndlr), car j'avais peur de ne pas être crédible, si jeune pour incarner la maladie d'Alzeihmer. Il y a quelques cas en France mais cela reste très rare et associé à la vieillesse. Zabou m'a rassurée, me disant qu'elle y croyait, qu'elle croyait en moi. Sa confiance m'a dopée. Ensuite j'ai vu un coach pendant une heure. Plus jamais ! J'ai vraiment l'impression que c'était une trahison envers le metteur en scène à qui j'ai envie de faire entièrement confiance. Et puis je le répète, ne pas savoir ce n'est pas si grave. On construit et si ça se casse la gueule, personne ne vous en veut, surtout si vous avez essayé de façon sincère.

    Amnésique, fragile, inoubliable dans "Se souvenir des belles choses"

     

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