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    11 comédies musicales qu'il faut avoir vues dans sa vie

    C'est la journée internationale de la danse, ce 29 avril. Retour à cette occasion sur les plus grandes comédies musicales, celles qui nous font le cœur léger, qui nous entêtent et ne nous quittent jamais vraiment.

    Le Magicien d'Oz (1946)

    D.R.

    De quoi ça parle ?

    Dorothy, jeune orpheline, vit chez son oncle et sa tante. Tout irait pour le mieux si l'institutrice ne détestait pas son chien. C'est alors que Dorothy fait un rêve où elle se trouve transportée au royaume magique des Munchkins à la recherche de son chien. Les Munchkins sont des nains protégés par la bonne fée du Nord mais menacés par la méchante fée de l'Ouest. Pour retrouver son chien, Dorothy doit s'emparer des chaussures rouges de la mauvaise fée et aller voir le magicien d'Oz dans son palais d'Emeraude.

    Pourquoi faut-il le voir ?

    "Somewhere over the rainbow", chanson phare du film, presque encore plus culte que Le Magicien d'Oz lui-même, a fait vibrer et battre le coeur de millions d'américains lors de sa sortie en 1939 et a su traverser le monde, les années et les générations avec une incroyable facilité. Le film musical, l'un des premiers du genre, se distingue par ses costumes extrêmement réussis, ses décors très colorés, ses effets-spéciaux de grande qualité pour l'époque et l'interprétation de Judy Garland, seulement âgée de 15 ans à l'époque, faisant de Dorothy un personnage profondément touchant. Un Oscar à la clé, forcément. Comme d'autres après elles, elle fait le coeur léger et son message final, plein d'espoir, enchante encore bien des années après.

    Le saviez-vous ?

    Ray Bolger devait à l’origine interpréter l’homme en fer blanc, mais il préférait incarner l’épouvantail tout comme l’idole de son enfance Fred Stone. Lui et Buddy Ebsen ont donc échangé de rôle. Malheureusement pour ce dernier, le maquillage de l’homme en fer blanc contenait de la poussière d’aluminium qui a fini par enrober ses poumons. Un jour il ne pouvait plus du tout respirer et il fut emmené en quatrième vitesse à l’hôpital. Bien que Jack Haley ai récupéré le rôle de l’homme en fer blanc par la suite, on peut toujours entendre la voix de Buddy Ebsen dans plusieurs chansons du film.

    Voici notre trop 5 des... tornades !

     

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