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    Avec Les Malheurs de Sophie, Christophe Honoré voulait "un film d'époque un peu mal peigné"
    Maximilien Pierrette
    Journaliste cinéma - Tombé dans le cinéma quand il était petit, et devenu accro aux séries, fait ses propres cascades et navigue entre époques et genres, de la SF à la comédie (musicale ou non) en passant par le fantastique et l’animation. Il décortique aussi l’actu geek et héroïque dans FanZone.

    Après Ovide et ses "Métamorphoses", Christophe Honoré s'attaque aux "Malheurs de Sophie" de la Comtesse de Ségur, mais sans pour autant signer un film d'époque classique, comme il nous l'a expliqué.

    Après La Princesse de Clèves et Métamorphoses, Christophe Honoré s'offre un autre classique de la littérature : Les Malheurs de Sophie. Un choix qui, au premier abord, peut surprendre, car malgré des thèmes récurrents de son oeuvre (le deuil notamment), le roman de la Comtesse de Ségur paraît plus enfantin que ses films. Mais ce serait mal connaître le cinéaste, également auteur de livres pour enfants, qui ne signe pas une adaptation comme les autres et qualifie son long métrage de "mal peigné" à notre micro.

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