On connaît tellement bien les membres de ces familles, ils nous ont tant ému et touché, qu'on a l'impression qu'ils font un peu partie de la nôtre. Souvenez-vous de ces séries familiales mémorables, les meilleures du genre...

La Petite Maison dans la prairie (1974-1983)

De quoi ça parle ?

Suivez les aventures d'une famille de pionniers américains, les Ingalls, avec leurs trois enfants, dans la petite ville de Walnut Grove. De la joie aux drames, leur vie est une série d'épreuves.

Pourquoi il faut la (re)voir ?

Parce qu’on apprend tous un peu à vivre grâce à cette série familiale nourrie de beaux sentiments et de grandes leçons de vie ; et que, dès que l’occasion se présente, on ne peut s’empêcher de (re)plonger à cœur perdu dans la vie des Ingalls, toujours heureux de leurs joies et tristes de leurs peines, comme s’ils faisaient partie de notre famille.

Adaptation d’un des classiques de la littérature enfantine aux Etats Unis, La Petite maison dans la prairie raconte l’histoire vraie d’une famille de pionniers américains, portée par Charles Ingalls (charismatique Michael London, scénariste, réalisateur et héros de la série), LE père parfait s’il en est. Autour de lui, une femme forte (émouvante Caroline), des enfants adorables bien qu’un peu pestes (culte Laura Ingalls), des amis fidèles (les Edwards) et des "adversaires" superficiels (Mme Oleson et son inénarrable fille). Deuil, violence, délinquance, adultère, héroïsme, sacrifice, handicap, naissance, racisme… : tout est abordé dans cette série fleuve intergénérationnelle, qui a vu grandir ses acteurs comme ses téléspectateurs, à la faveur d’audiences toujours au rendez-vous. Un incontournable pour toute famille qui se respecte !

Le saviez-vous ?

Aussi culte que la série, son générique et surtout sa fin lorsque Carrie Ingalls tombe en dévalant la pente... Une chute qui, il faut le savoir, n'était pas prévue ! L'une des deux jumelles - Sidney et Lindsay Greenbush- qui se partageaient le rôle de Carrie est tombée en faisant la prise et n'a pas voulu la refaire. L'autre apeurée a décliné l'exercice également. Devant leur crainte commune, les producteurs ont décidé -quelque peu obligés- de garder la seule et unique version de la scène.

Des années après nous avons rencontré la peste culte Nellie Oleson. Une actrice adorable :