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    "Miss Peregrine" approuvé par les membres du Club 300 !

    Le Club 300 a découvert le film de Tim Burton en avant-première. Leur verdict.

    De quoi ça parle ?

    À la mort de son grand-père, Jacob découvre les indices et l’existence d’un monde mystérieux qui le mène dans un lieu magique : la Maison de Miss Peregrine pour Enfants Particuliers. Mais le mystère et le danger s’amplifient quand il apprend à connaître les résidents, leurs étranges pouvoirs …  et leurs puissants ennemis. Finalement, Jacob découvre que seule sa propre "particularité" peut sauver ses nouveaux amis.

    Tout sur le film

    Ça sort quand ? 

    Le 05 octobre 2016

    Qu'en pense le Club 300 AlloCiné ?

    Résultats des votes : Excellent : 26% / Bien : 44% / Pas si mal : 22% / Très peu pour moi : 8%

    En savoir plus sur le Club 300.

    Freak in Geek

    On retrouve dans "Miss Peregrine Et Les Enfants Particuliers" tout ce que l’on a toujours aimé chez Tim Burton depuis ses débuts comme si cette histoire avait été écrite pour lui. En se débarrassant des images de synthèse ratées pour des effets spéciaux à l’ancienne, il signe ici clairement son meilleur film depuis "Sweeney Todd".

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    Le Cinéphile Anonyme

    Cela peut paraître anodin, mais pour un réalisateur habitué aux transition lentes et soignées, ce cut a tout de la profession de foi. Plus proche stylistiquement de l’épure de Big Eyes que de la dimension expressionniste de Sleepy Hollow, Miss Peregrine est un film qui file droit, qui évite au maximum les exubérances techniques, et se contente de la lumière magique de Bruno Delbonnel pour instaurer petit à petit le merveilleux au sein du quotidien.

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    Bulles de culture

    Miss Peregrine et les enfants particuliers est un film plein de contrastes. Le réel et l’irréel se confrontent constamment. (...) Le temps est omniprésent ici et cet ingrédient finalise la recette de réussite de ce long métrage.

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    Les écrans de Claire

    "Miss Peregrine", c’est un film-somme qui ne décevra pas les fans de la première heure – tout en allant vers du pur divertissement. Avec ce film, Tim Burton ne reste pas dans la nostalgie, coincé dans une boucle temporelle à répéter les mêmes films. Cette histoire est plus légère et lumineuse que prévue.

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    Le Bleu du Miroir

    Sans folie mais avec quelques séquences réjouissantes – notamment celle de la fête foraine – Tim Burton revisite quelques motifs de sa filmographie (les outsiders, les marginaux, les mentors sacrificiels) dans un divertissement suffisamment savoureux pour se distinguer des productions young-adult insipides qui ont envahi le marché ces dernières années.

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    Pulp Movies

    Burton n’oublie jamais de ravir ses spectateurs comme s’il était à leur place. Il se fait plaisir comme il le faisait dans ses premières œuvres et cette réjouissance est directement transmise aux spectateurs. (...) En plus de cela, l’intrigue du film est tenue en longueur grâce à la création très régulière de nouveaux enjeux pour Jake et ses amis. La dynamique du film n’a donc jamais de période de creux.

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    Zickma

    Que dire de plus sur "Miss Peregrine" si ce n’est que le temps ne semble jamais long et que bien même que la finalité de son histoire soit plutôt prévisible (après tout c’est un film grand public) il y a assez de rebondissements pour faire de ce film un excellent moment de cinéma.

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    Dans ton Cinéma

    Le charisme de "Miss Peregrine et les Enfants Particuliers" réside principalement dans sa manière de multiplier les références cinématographiques, tout en jouant sur les principaux clichés du fantastique pour en extraire une véritable sympathie, réussissant parfaitement à son entreprise. On note également des hommages à Ray Harryhausen, où mêmes à l’expressionisme allemand (on songe beaucoup au Nosferatu de Murnau), et bien-sur Edward Gorey.

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    Shunrize

    Tournant pour la seconde fois sous sa direction, l’envoutante Eva Green ("Dark Shadows") vampirise littéralement l’écran à chacune de ses apparitions. Parfaite dans la peau de cette énigmatique Mary Poppins gothique, l’actrice française est sûrement l’un des plus beaux atouts du métrage. Face à elle, Asa Butterfield ("Hugo Cabret", "La Stratégie Ender") marque autant les esprits grâce à la force de son jeu et la profondeur qu’il apporte à son personnage.

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    Berthine

    Comme toujours chez Tim Burton, l’image est magnifique, les personnages sont incroyablement soignés, et c’est un vrai régal pour les yeux. (...) Est-ce que ce film plaira aux fans de Tim Burton ? Oui, il y a quelque chose de "Big Fish" dans cette histoire.

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