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    Hier soir à la télé : vous avez aimé The Full Monty ? On vous recommande ...

    Hier soir sur Numéro 23 était diffusé The Full Monty. Vous avez aimé ? Alors, découvrez sans plus attendre nos trois recommandations qui devraient vous plaire tout autant.

    Du strip-tease au masculin : Magic Mike. "Loin d'être le simple film de strip-tease attendu, Magic Mike nous montre l'envers du décor : la création d’une équipe, les répétitions, les soirées, la vie privée des danseurs… On est loin des clichés, Steven Soderbergh a réussi à faire un film original, intéressant et sexy pour ne rien gâcher. Channing Tatum donne le meilleur de lui-même, peut-être car il a été strip-teaseur ... Quoi qu’il en soit le résultat est fascinant." Laëtitia Forhan

    La révélation Robert Carlyle : Trainspotting. "Film culte des années 90, Trainspotting est un concentré d'énergie sur une jeunesse écossaise apathique et droguée jusqu'au trognon. Danny Boyle prouve qu'il est un maître de la mise en scène avec des plans toujours plus vertigineux et hallucinogènes. C'est sale, brut et rock'n'roll. Servi par l'une des meilleures bandes son du cinéma, toujours amenée de façon très pertinente (rarement une scène d'overdose n'aura été aussi puissante que celle de Renton, bercée par Perfect Day de Lou Reed), Trainspotting excelle dans sa dépiction du climat social pesant d'Edimbourg, parfaitement mise en valeur. Les images sont mémorables, tellement qu'on aimerait parfois les oublier (la scène des toilettes du bar, les hallucinations de Renton ...), et elles mettent surtout en lumière quatre talents en début de carrière. Quatre vraies gueules : l'attachant Ewen "Spud" Bremner, le sournois Jonny "Sick Boy" Lee Miller, le colérique - et franchement génial - Robert "Begbie" Carlyle et bien sûr le paumé Ewan "Rent Boy" McGregor." Caroline Langlois

    Une autre comédie sociale britannique : La Part des anges. "Avec La Part des Anges, Ken Loach pare son habituel discours social d’atours comiques finement écrits. De la même manière que dans Looking For Eric, la légèreté apparente n’empêche nullement d’aborder des thématiques fortes ; bien au contraire, elle offre un puissant contrepoint aux errements des personnages. Le héros incarne lui-même cette ambiguïté ; tiraillé entre l’appât du gain et la volonté de s’affranchir d’un passé encombrant, il devra enfin décider quel chemin emprunter." Cécile Desclaux

     

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