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    Affaire Besson : les analyses toxicologiques de la plaignante négatives
    Corentin Palanchini
    Passionné par le cinéma hollywoodien des années 10 à 70, il suit avec intérêt l’évolution actuelle de l’industrie du 7e Art, et regarde tout ce qui lui passe devant les yeux : comédie française, polar des années 90, Palme d’or oubliée ou films du moment. Et avec le temps qu’il lui reste, des séries.

    Selon des informations exclusives du Point, la plaignante qui accusait Luc Besson d'"attouchements et pénétrations" n'avait aucune drogue de type GHB dans le sang.

    Jessica Forde/EUROPACORP - TF1 FILMS PRODUCTION - GRIVE PRODUCTIONS

    Depuis le 18 mai dernier, le réalisateur Luc Besson fait l'objet d'une plainte pour viol de la part de Sandrine Van Roy, une mannequin devenue actrice qui avait déclaré aux policiers avoir perdu connaissance et ensuite subi "attouchements et pénétrations" de la part du réalisateur. La procédure suit son cours, mais selon les informations exclusives du Point confirmées par des sources judiciaires, le laboratoire central de la préfecture de police a livré ses analyses toxicologiques. Selon ces dernières, la plaignante "n'aurait ingéré aucune substance (de type GHB) susceptible d'altérer son discernement".

    Sandrine Van Roy était apparue au cinéma dans Taxi 5 et Valérian, tous deux produits par Luc Besson et sera le 19 juin au casting d'un épisode de la série américaine Genius. Dans le même temps, le 1er district de police judiciaire poursuit l'enquête. L'avocat de Luc Besson et celle de Sandrine Van Roy n'ont pour l'instant pas répondu aux sollicitations du Parisien.

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