De quoi ça parle ?
Royaume de France, 1787. Enquêtant sur une série de meurtres mystérieux, Joseph Guillotin – futur inventeur de la guillotine – découvre l’existence d’un nouveau virus : le sang bleu. La maladie se propage au sein de l’aristocratie et pousse la noblesse à attaquer le peuple. C’est le début d’une révolte … Et si on nous avait menti depuis plus de deux siècles ? Voici la véritable histoire de la Révolution Française…
De Aurélien Molas & Gaïa Guasti. Avec Amir El Kacem, Marilou Aussilloux, Lionel Erdogan...
Ce qu'en pense la presse...
Selon La Voix du Nord :
"Forcément, durant les deux premiers épisodes, on est quelque peu décontenancé par cette histoire (...) On se prend au jeu, on suit avec curiosité le déroulé des événements et on est subjugué par les reconstitutions de cette France de la fin du XVIIIe siècle." 3/5
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Selon Première :
"La série jouit d'une esthétique remarquable, des costumes aux décors, en passant par la lumière méticuleusement pensée." 3/5
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Selon Le Figaro :
"En dépit de son titre cette saga n'est pas pour les amoureux d'histoire, ni pour les fans de fictions en costumes." 2,5/5
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Selon Le Parisien :
"Trop d'hémoglobine, trop d'incohérences, trop de clichés et un casting peu convaincant (...) On s'ennuie trop vite. Alourdie pas de nombreux clichés, des ficelles trop grosses et un scénario décousu, l'intrigue peine à nous embarquer." 2,5
Selon Le Monde :
"Alternant phases de grand guignol hystérique et longues plages dialoguées avec une platitude qui déferait des acteurs plus chevronnés que ceux qui occupent l’écran, La Révolution, contrairement à son lointain modèle historique, est un fiasco." 1/5
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Selon Télérama :
"Une série Z historico-fantastique consternante, qui continue de questionner la stratégie de Netflix en matière de créations françaises (...) La liste des tares de La Révolution s’allonge au fil des épisodes, la première d’entre elles étant un scénario pauvre en enjeux originaux et mal tendu (...)" 1/5
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Notre podcast avec Aurélien Molas, le co-créateur, et Amir El Kacem, alias Joseph Guillotin :
