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    Miskina la pauvre : "comédie romantique décalée”, “originale et attachante”... la série de Prime Video encensée par la presse
    Chaïma Tounsi-Chaïbdraa
    Chaïma Tounsi-Chaïbdraa
    -Journaliste streaming
    Experte en binge-watching et plateformes de streaming, Chaïma Tounsi s’amuse tous les soirs à zapper sa télécommande sur Netflix, Disney+, Canal+...

    Disponible depuis vendredi sur Prime Vidéo, la série “Miskina, la pauvre” imaginée par Melha Bedia a conquis la presse qui souligne notamment son originalité.

    De quoi ça parle ?

    Miskina c'est l'histoire de Fara, 30 ans. Sans appart, sans boulot, sans mec, mais avec une forte myopie. Quand ta grand-mère, ta mère et ta sœur sont sur tes côtes H24, c’est qu’il est temps de se réveiller et de faire des choix. Entre son meilleur pote qui est peut-être l’homme de sa vie et ce nouveau gars un peu perché qui tombe amoureux d’elle. Entre ménager sa mère encore bloquée sur le passé et renouer les liens avec son père. Entre se voiler constamment la face et enfin affronter la vérité. Lorsque la vie ne cesse de vous mettre des claques, il faut se prendre en main et arrêter d’être une "miskina".

    Créée par Melha BediaYoann Gromb et Xavier Lacaille, avec Melha Bedia, Shirine BoutellaHakim Jemili

    Miskina, la pauvre
    Miskina, la pauvre
    Sortie : 2022-09-30 | 30 min
    Série : Miskina, la pauvre
    Avec Shirine Boutella, Hakim Jemili, Victor Belmondo
    Presse
    3,3
    Spectateurs
    3,0
    Voir sur Prime Video

    Qu’en pense la presse ?

    Selon Le Nouvel Obs

    Enfin, on retient également que jamais une série n’avait plongé si profond dans la psyché maghrébine, prouvant au passage que les familles, arabe, gauloise ou extraterrestre, sont toutes les mêmes : psychotiques et en quête d’amour. 

    4/5

    Lire la critique complète ici.

    Selon Le Parisien

    Tendre fresque intergénérationnelle, comédie romantique décalée, fine réflexion sur l’identité, la religion ou l’héritage familial, « Miskina » est tout ça à la fois, portée par un casting aux petits oignons.

    4/5

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    Selon 20 minutes

    On rit beaucoup devant Miskina, la pauvre, mais la série fait aussi la part belle à l’émotion, grâce notamment à des séquences oniriques très réussies.

    4/5

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    Selon Télé Loisirs 

    On s’attendait à une sitcom potache, pimentée de punchlines au kilomètre. Et en effet, rares sont les répliques qui ne font pas mouche. Mais on a aussi été surpris par l’émotion qui se dégage du parcours de cette trentenaire célibataire un brin désespérée.

    4/5

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    Selon Télérama

    Elle s’amuse du regard de la société sur l’Islam, dépeint avec tendresse les relations intergénérationnelles et finit même par opérer un retour aux racines mi-émouvant, mi-foireux. Un voyage à l’image de la série, un peu bordélique, pas toujours hilarant mais indéniablement original et attachant.

    3/5

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    Selon Le Monde

    Ça fait beaucoup de clichés, surtout pour huit épisodes de trente minutes tout juste. D’ailleurs, tout a l’air d’avoir été calé au chausse-pied pour arriver à la séquence finale. Celle-ci est d’une facilité déconcertante, mais elle a le mérite d’entretenir un vague suspense sur la saison 2. Dommage, quand on voit autant de joli monde au scénario.

    2,5/5

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    Selon Les Inrocks

    Souvent, Miskina, la pauvre effleure des sujets – le rapport au corps, à la sexualité, à la spiritualité – mais noie le poisson assez vite dans quelques vannes trop attendues pour suffire à emporter le morceau. 

    2/5

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