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    The Limey

    Allociné vous présente une revue de presse des films en compétition du 52ème Festival de Cannes : "The Limey" de Steven Soderbergh.

    The Limey

    • de Steven Soderbergh
    • avec Terence Stamp, Peter Fonda et Lesley Ann Warren
    • Sélection Officielle - Hors compétition - USA -
    • Policier
    • 1h31

    L'histoire :

    Dave Wilson, un ancien taulard anglais, se rend à Los Angeles pour venger la mort de sa fille. Dès son arrivée, il part en guerre contre les plus durs criminels de Los Angeles en espérant trouver des pistes et reconstituer ce qui s'est passé...

    Revue de presse :

    "On dit souvent que, jamais la forme ne peut compenser l'absence de fond. Avec The Limey, on se trompe. Contre-jours, plans et contre plans, inserts d'extraits d'un vieux film de Ken Loach (...), déconstruvtion de chaque scène tournée (...) : sous la caméra de Soderbergh, le polar est kaléidoscopique."

    Jean-François Roubaud - Nice Matin - 17/05/99

    "Soderberg complique volontiers les choses simples. C'est sa spécialité. Non pas dans les péripéties, ni la psychologie de ses personnages. Mais dans son montage. (...) il nous invite à reconstruire mentalement un puzzle dont il nous livre les pièces en vrac. C'est tout l'intérêt du propos avec l'attitude uniformément hiératique de Terence Stamp."

    Claude Baignères - Le Figaro - 17/05/99

    "Après Hors d'atteinte, polar à la séduction immédiate, Steven Soderberg brouille à nouveau les cartes et son image de ludion insaisissable avec The Limey ("l'Anglais"), film noir déstructuré, bourré de chichis stylistiques rutilants. Il faut bien une quinzaine de minutes pour s'accoutumer aux vagues de déconnexions son-image du film qui semble vouloir pousser à fond, en un geste arty, les joies de la discontinuité et de la synchronie perdue."

    Didier Péron - Libération - 17/05/99

    "l'un des films de genre les plus marquants de son époque. La qualité des dialogues (...) , l'écriture remarquable des seconds rôles, cette manière de distiller les dialogues par bribes en leur associant un lieu à chaque fois différent, donnant au film une temporalité propre, sont les signes d'un art – celui de la Série B – dont trop de réalisateurs américains ont oublié les règles."

    Samuel Blumenfeld - Le Monde - 18/05/99

    D.P

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