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    Tornades, séismes... Le meilleur et le pire des films catastrophes au cinéma !

    Lorsque la monstrueuse faille de "San Andreas" s'ouvre, c'est l'Apocalypse qui s'abat. Quand la nature se déchaîne, il n'y a pas de demi mesure. Tous aux abris !

    UFD

    San Andreas est bien évidemment le nom de la faille dans la plaque tectonique qui longe la Californie. Les sismologues ont prédit depuis des années que la Californie serait frappée par un important tremblement de terre causé par ce défaut géologique. Chaque année, de nombreux séismes ont lieu dans la région mais pas d'une ampleur aussi importante que dans le film. Le plus dévastateur jamais enregistré s’est d’ailleurs produit à San Francisco en 1906. Avec une magnitude de 8.2, ce séisme a directement inspiré les scénaristes. Celui du film aura une magnitude de 9.

    Black Storm (2014)

    Dans Black Storm, l'ex superviseur des effets visuels d'Avatar, Steven Quale, fait évidemment la part belle aux tornades, qui ravagent chaque année les Etats-Unis au printemps. La plus grosse tornade mise en scène dans le film est un cyclone de type EF5. Avec des vents soufflant à plus de 350km/h, il s’agit de la plus violente des tempêtes au niveau de l’échelle améliorée de Fujita, le classement des tornades selon leur force et leurs dégâts. Autant dire un monstre.

    Vertical Limit (2000)

    Le mythique K2, deuxième plus haut sommet du monde (8611m) après l'Everest, est au coeur du film Vertical Limit. Suite à une avalanche, quatre alpinistes se retrouvent coincés dans une crevasse ensevelie, à près de 8000m d'altitude. Autant dire que dans une situation pareille, on doit revoir sa vie en accéléré...

    Tremblement de terre (1974)

    Casting cinq étoiles pour ce classique du film catastrophe signé Mark Robson, dans lequel la ville de Los Angeles est ravagée par le Big One, LE tremblement de terre tant redouté et attendu par les Californiens...L'année 1974 fut particulièrement faste pour les films catastrophes. Tremblement de terre fut un des plus gros succès de l'année, aux côtés d'une certaine Tour infernale (succès de l'année) et 747 en péril.

    Le jour d'après (2004)

    Dans Le jour d'après de Roland Emmerich, un changement climatique imprévu et violent à l'échelle mondiale entraîne à travers toute la planète de gigantesques ravages : inondations, grêle, tornades et températures d'une magnitude inédite. De là l'apocalyptique séquence du début du film, qui offre un terrifiant Best of d'une nature déchaînée, dans laquelle l'homme ne pèse pas bien lourd...

    En pleine tempête (2000)

    L'équipage du chalutier de Cap'tain Clooney pris En pleine tempête, au large de la ville de Gloucester, qui vit de la pêche. Le film de Wolfgang Petersen est inspiré de vrais événements. En l'occurence la tempête survenue en 1991, à laquelle les marins donnèrent le nom de "tempête de l'Halloween 1991". Un ouragan dévastateur de force 12, créant des vagues scélérates pouvant atteindre 30 m de haut.

    Volcano (1997)

    Les tremblement de terre, c'est sympa. Mais que se passerait-il si un volcan entrait en éruption en plein milieu de la ville de Los Angeles ? C'est le pitch (un peu pondu sur le coin d'une nappe quand même...) de Volcano. La cendre fut créée avec des papiers journaux, tandis que la lave en fusion fut créée avec du méthylcellulose, une matière notamment utilisée dans l'industrie alimentaire comme additif. On fabrique également de la gouache avec. On mentionnera pour la forme Le Pic de Dante, sorti la même année, qui a le mérite d'offrir un pitch un peu plus crédible que ce Volcano.

    Noé (2014)

    "La fin du monde n'est que le commencement" proclamait la Tagline française de l'affiche du film Noé, qui met en scène l'épisode du Déluge dans la Génèse. Ici, c'est Dieu qui commande à Dame Nature et déchaîne ses foudres sur la Création. Avec quand même l'aide d'un travail au top sur les SFX signé par les petits génies d'ILM.

    Twister (1996)

    18 ans avant Black Storm, le directeur de la photo Jan de Bont filmait déjà amoureusement les tornades avec Twister. Les effets spéciaux étaient déjà signés ILM; l'occasion de vérifier que, malgré les années et en dépit des progrès, ils tiennent encore largement la route.

    2012 (2009)

    2012 représente peut-être le paroxysme des films catastrophes made in Roland Emmerich. Le spectateur a droit à un véritable pot-pourri / Best of des cataclysmes possibles et imaginables. D'ailleurs, le cinéaste déclara que ce 2012 serait le dernier film catastrophe qu'il réaliserait, et qu'en ce sens, ce film devait en quelques sortes faire la synthèse des films catastrophes passés. Effectivement, après un tel champ de ruines que laisse 2012, on voit mal ce qu'il peut détruire après...

    Tempête de feu (1998)

    Au rayon incendie, Il y a aussi les feux de forêt par exemple, qui se transforment rapidement en brasier ardent, que combat activement le pompier Howie Long dans cette série B qu'est Tempête de feu. A l'origine, le film devait être beaucoup plus ambitieux, et Sylvester Stallone fut même attaché au film, pour un cachet de 20 millions de $. Mais la société qui devait le produire, Savoy Pictures, fit faillite. La 20th Century Fox récupéra le projet...et réduisit drastiquement le budget.

    Le jour d'après (2004)

    Quoi, encore Le jour d'après ??? Oui, ce n'est pas un doublon. Histoire de rappeler qu'après s'être déchaînée au début du film de Roland Emmerich, Dame Nature laisse carrément place à une nouvelle période de glaciation..Une fois n'est pas coutume, les SFX ne sont pas signés par ILM, mais Digital Domain, une société notamment créée par le superviseur des effets spéciaux et vétéran Scott Ross.

    L'aventure du Poséidon (1972)

    Si l'équipage de du chalutier Andrea Gail affrontait une gigantesque vague scélérate En pleine tempête, le bateau de croisière Poséidon voit carrément un Tsunami lui foncer dessus...pour le retourner comme une crêpe. L'aventure du Poséidon est un classique des films catastrophes des 70's, avec son casting All Stars. Au passage, on va gentiment oublier le Remake de 2006 signé Wolfgang Petersen, derrière...En pleine tempête justement.

    Pompéi (2014)

    Impossible de parler de volcan sans évoquer ce qui est sans doute la plus célèbre éruption de l'Histoire. Celle du vésuve, qui rasa la ville romaine de Pompéi en 79 ap. JC. Les évènements présents dans le film se sont déroulés en un peu moins de 12 heures. Suite à l’éruption, le Vésuve a perdu plus de 600 mètres de dénivelé. Celui-ci crachait environ 1.5 million de tonnes par seconde de cendres et de pierres et la nuée s’est élevée à plus de 33 km dans le ciel. L’énergie libérée lors de l’éruption a été estimée comme étant 100 000 fois supérieure à l’explosion de la bombe nucléaire à Hiroshima. Enfin, les coulées ont pu atteindre une vitesse de 724 Km/h et une température de presque 1 000°C. On estime le nombre de morts à environ 16000.

    Pluie d'enfer (1997)

    Dans le Thriller Pluie d'enfer, la pluie torrentielle est, comme le titre le laisse entendre, au coeur de ce film emmené par le tandem Morgan Freeman / Christian Slater dans une petite ville de l'Indiana. A l'origine, le film devait s'intituler The Flood; littéralement "Le déluge, l'inondation". Mais les producteurs craignaient que le public n'y voit qu'un film catastrophe, reléguant au second plan l'intrigue de ce Thriller qui met en scène une histoire de casse sur fond de ville submergée par les eaux.

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