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    Les plus gros clichés du cinéma d'horreur !

    Les clichés ont la dent dure... Mais, dans le cinéma d'horreur, fait de code et de situations qui se répètent, ils abondent ! Découvrez notre sélection...

    Capture d'écran

    "Tiens, si j'allais voir ce que c'est que ce drôle de bruit..."

    Au lieu de rester sagement dans son coin ou prendre fissa un billet d'avion pour les Galapagos, le personnage de films d'horreur qui entend un bruit suspect (toujours en pleine nuit d'ailleurs) se met toujours en tête d'aller voir ce qu'il en est. Sa curiosité/stupidité/témérité se solde souvent par une belle giclée de sang.  [Photo : Scream 3]

    "Oh mon dieu, il n'y a pas de réseau !!"

    Dans un film censé faire trembler, il n'y a jamais de réseau téléphonique opérationnel quand les personnages en ont besoin. Même pas besoin d'essayer, ça ne marchera pas. Pareil pour les téléphones qui tombent toujours en rade de batterie au moment critique (mais, ça, on y croit beaucoup plus facilement !)  [Photo : La dernière maison sur la gauche]

    "Et si on achetait une maison où il y a eu des meurtres, chérie ?"

    Comme dans Amityville où les Lutz s'installent dans une propriété au passé très sanglant, les personnages de films d'horreur ont tendance à toujours choisir le pire lieu pour vivre en paix. Parfois, ils le savent, parfois, ils l'ignorent. Mais, souvent, rien que l'aspect de la maison en question aurait dû leur mettre la puce à l'oreille...

    "Je l'aurai un jour, je l'aurai..."

    Mieux vaut faire bien attention à tout ce qu'on dit ou fait... Car, 10 ou 20 ans après un accident grave ou un fait anodin, un fou, son rejeton ou l'un de ses proches est toujours susceptible de se rappeler à votre bon souvenir. Et même si vous n'y êtes franchement pour rien, la vengeance du méchant de film d'horreur n'est tellement pas raisonnable qu'il vous sera impossible de lui faire entendre raison...  [Photo : Les Griffes de la nuit]

    "Tiens, tu la connais cette histoire où..."

    Dans un film d'horreur, il y a toujours quelqu'un qui a une bonne histoire qui fait peur à raconter, une bonne légende urbaine des familles. Sauf qu'à chaque fois, la fameuse histoire se réalise bel et bien dans la réalité... [Photo : The Ring]

    "Je ne sais plus courir, aidez-moi !"

    Le moment crucial est arrivé : le psychopathe est à vos trousses. C'est donc le moment de fuir, de courir, de faire le sprint de votre vie ! Sauf que si vous êtes un héros (surtout, une héroïne d'ailleurs) de films d'horreur, vous allez systématiquement vous prendre les pieds dans le tapis, glisser, vous étaler, tomber comme un sac, bref, vous n'allez pas assurer le prochain Marathon de New York...  [Photo : La Maison de cire]

    "Eh non, ce n'était que le chat (ou la voisine) !"

    Un drôle de bruit, une ombre... Aux aguets, le personnage de films d'horreur se munit rapidement d'une arme et guette le tueur. Il nous entraîne dans sa paranoïa pendant de très longues secondes, voire minutes, quand soudain... un chat surgit ! Une grosse peur pour rien. Mais, attention, très souvent, le soulagement fait place au vrai meurtre. [Photo : Vendredi 13]

    "Mais, mais... Où il est parti ??"

    Le héros de films d'horreur a passé tout le film à fuir le tueur et quand, enfin, il a l'occasion de le tuer, il ne le met même pas hors d'état de nuire ! Il l'assomme gentiment ou lui tire une balle dans le bras au lieu de lui décharger le barillet dessus. Forcément, il peut être sûr que, d'ici deux secondes, quand il se retournera, le corps aura disparu ! Le pire ? C'est lorsque le tueur finit dans l'eau. Là, on ne le retrouve jamais... [Photo : Souviens-toi l'été dernier]

    "Comment ça, c'est déjà mon tour ?"

    Très souvent, le film d'horreur réunit à l'écran un groupe de jeunes, très différents les uns des autres où chacun tient un rôle bien précis. Déjà un cliché en soi ! Dans ce panel, il y a presque toujours un personnage issu d'une minorité, qui, comme on l'entend souvent dire, meurt toujours en premier ou dans les premiers. Tout comme la bimbo ou le sportif idiot qui, eux aussi, ne tiennent jamais jusqu'à la fin du film et font tout autant partie des clichés ambiants du film d'horreur.  [Photo : Saw V]

    "Miroir, mon beau miroir..."

    Les scènes de miroir sont un énorme cliché du cinéma d'horreur et du thriller. Dans des centaines de films, des personnages se regardent dans la glace, baissent les yeux ou ouvrent l'armoire à pharmacie. Et quand ils relèvent la tête ou referment l'armoire, on voit dans le reflet du miroir qu'ils ne sont plus tout seul ! Ou alors ils sont bien seuls mais nous ont filé une bonne frousse car on s'attendait vraiment à voir quelqu'un derrière...  [Photo : Candyman]

    "Je vais me cacher sous le lit..."

    "Là où personne n'aura l'idée de me chercher..." Sauf que c'est l'un des endroits qui vous rendent le plus vulnérable et que le tueur visite toujours à un moment donné. En général, il y met les formes et vous fait croire que vous êtes la première personne à avoir jamais pensé à cette cachette. Sympa quand même... [Photo : Meurtres à la St-Valentin]

    "Toutes ces frayeurs, ça m'émoustille..."

    Film d'horreur filles sexy ? Voilà une tradition vieille comme le monde qui donne lieu à deux clichés : 1) Depuis des décennies, le cinéma d'horreur introduit de jolies filles - souvent blondes et écervelées - qui, durant le film, servent autant à émoustiller le spectateur que les autres personnages. 2) La scène de sexe a donc vite fait d'arriver. Peu de temps après, la fille sexy meurt dans d'atroces circonstances dans les mains du tueur, contrairement à sa meilleure amie, vertueuse, qui survit jusqu'au bout !  [Photo : Lynda, tuée juste après l'amour dans Halloween]

    "Quelqu'un a encore oublié de changer l'ampoule !"

    Quand poursuite il y a, plusieurs règles ont cours. La future victime court comme une dératée et trébuche (ça, on l'a déjà vu) alors que l'attaquant la poursuit à son rythme mais finit toujours par l'attraper. Très souvent également, la course se passe à un moment donné dans un couloir très sombre, tout juste éclairé par une ampoule très agaçante qui ne cesse de s'allumer puis de s'éteindre. Un jour, on aimerait voir une course dans un magasin de luminaires...  [Photo : Mortelle St-Valentin]

    "Qu'est-ce que j'ai bien cru voir dans mon rétroviseur..."

    Ils ne ferment jamais leur voiture à clé puis ils s'étonnent que, d'un coup, au détour de la lumière d'un lampadaire, surgisse dans leur rétroviseur l'image horrifique du tueur assis sur leur banquette arrière ! Une petite variante du '"miroir qui fait peur" que l'on pourrait aussi coupler au cliché de la voiture "qui ne démarre pas".  [Photo : Urban Legend]

    "Et si on faisait confiance au mec louche qu'on a croisé sur la route !"

    Souvent, le mec le plus bizarre du monde conseille aux héros de déguerpir (mais personne ne l'écoute, vu qu'il est bizarre). Mais très souvent aussi, les héros vont, par contre, accorder toute leur confiance à un autre homme, tout aussi louche, qui va leur indiquer la "bonne" route à prendre. Ne JAMAIS l'écouter, c'est toujours un guet-apens.  [Photo : La colline a des yeux]

    "Viens jouer avec nous..."

    Les enfants flippants sont un autre standard du cinéma d'horreur. Qu'ils s'appellent Joshua, Damien ou Gage, ils ne donnent pas vraiment envie de fonder une famille. Du coup, introduire un enfant qui fait peur dans un film d'horreur, c'est un frisson facile, pas toujours réussi, mais presque garanti ! [Photo : Shining]

    "Les flingues ? Tss, c'est pas pour moi ces engins-là..."

    Les Etats-Unis, le pays qui produit une masse de films d'horreur par an et qui autorise le port d'armes à ses citoyens, est très frileux lorsqu'il s'agit de voir ses héros horrifiques s'en servir pour se défendre. Ces derniers vont toujours aller fouiller dans le tiroir de la cuisine pour dénicher un couteau pourri alors qu'il est évident qu'ils pourraient se procurer un pistolet. Mais, où serait le fun ?  [Photo : Halloween]

    "Tiens, j'ai une super idée : Et si on se séparait ?"

    "Ca irait dix fois plus vite si on se séparait !" "On trouve plus de solution seul qu'accompagné !" Ces logiques illogiques sont une constante très agaçante du film d'horreur. Pourquoi ne pas rester groupé alors qu'un tueur rôde et s'attaque toujours aux personnes isolées ? Pourquoi, nom de Zeus?  [Un cliché parodié dans La cabane dans les bois]

    "Ecrire un message avec du sang, ça, c'est de la vraie littérature"

    Dans les films d'horreur, le tueur aime bien écrire un gentil message à destination des héros. En général, il aime bien l'écrire en lettres de sang (c'est tellement plus impressionnant) mais, bizarrement, il a toujours le temps de le faire avant que les héros n'arrivent sur les lieux (alors que cette activité doit prendre un temps fou quand même). Trop fort ! [Photo : Urban Legend]

    "Le dernier sera... une dernière

    On l'appelle la "Final Girl". Tout bon slasher se doit d'en avoir une et elles existent aussi dans d'autres ères du film d'horreur. Il s'agit d'une héroïne à laquelle on s'attache, sur qui le sort s'acharne mais qui reste, seule debout, quand tous les autres sont tombés avant elle, comme Laurie dans Halloween ou Sidney dans Scream

    "Non pas la porte d'entrée, les escaliers !"

    Pourquoi s'enfuir par la porte d'entrée ? Non, mieux vaut d'abord vérifier qu'il n'y a personne sur le seuil de la porte, fermer cette dernière à clé puis réaliser que le tueur est déjà dans la maison et, donc, au lieu de s'enfuir par la porte, aller se réfugier à l'étage ! Les héros de l'horreur ADORENT courir dans les escaliers...  [Photo : Scream 4]

    "C'est l'heure de mon bain ou de ma douche... "

    Quand, dans un film d'horreur, vous entendez l'eau couler - qu'il s'agisse d'un bain, d'une douche ou d'un simple évier - il faut toujours s'attendre au pire. En tout cas, les scènes de salles de bain sont un classique du film d'horreur qui adore que ses héros, seuls, détendus, nus et donc vulnérables, reçoivent alors une petite visite "amicale"...  [Photo : Il est revenu]

    "Et si on retournait voir ce bonhomme qui a tenté de nous tuer ?"

    Dans le même registre du "bruit qu'il faut aller vérifier", les héros de films d'horreur ont également toujours besoin de retourner sur les lieux du crime au lieu de fuir au loin et à jamais. Quand ils ont échappé à la mort, il faut TOUJOURS qu'ils retournent sur leur pas pour "comprendre" ou pour satisfaire leur curiosité. Total : ils meurent. [Photo : Jeepers Creepers]

    "Aller voir la police ou nos parents ? Mais... pour quoi faire ?"

    Un tueur psychopathe est à vos trousses, personne ne vous croit et vous êtes, logiquement, dans une situation désespérée. La logique, justement, voudrait que vous en parliez à vos parents ou que vous alliez directement au poste de police histoire qu'ils se chargent du "problème". Sauf que dans un film d'horreur, les héros ne font rien de tout ça. Soit ils y vont et les flics ne les croient pas ou sont complètement à la ramasse soit ils décident que c'est mieux de ne pas les mêler à ça. Pourquoi ? Parce que ça serait trop dangereux ??  [Parodié dans Scary Movie]

    "Ouf, c'est fini !"

    Tout amateur d'horreur le sait bien : rien n'est jamais fini. Soit le tueur disparait comme par magie (et donc reviendra dans la suite), soit la survivante rêve ou a une hallucination où le tueur revient la hanter, soit la toute dernière image vous prouve autrement qu'il y aura une suite ! En tout cas, vous n'êtes pas au bout de vos peines (et de futurs clichés !).  [Photo : Carrie]

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