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    Le Dîner de cons à 20 ans : 5 raisons pour lesquelles on ne s'en lasse pas

    Aujourd'hui, "Le Dîner de cons" fête ses 20 ans et on peut dire que l'adaptation par Francis Veber de sa pièce de théâtre n'a pas pris une ride. Vingt ans après, on ne se lasse pas de cet incontournable de la comédie française, et voilà pourquoi.

    Gaumont Buena Vista International (GBVI)

    Parce qu'on ne se lasse pas des films cultes, c'est pour ça qu'ils sont cultes

    Dans Le Dîner de cons, ce ne sont pas les répliques qui sont cultes, mais des scènes entières ! Le quiproquo avec Marlène Sasseur, la visite de Cheval le contrôleur fiscal, le numéro du producteur belge ("On a les droits !") Le clou du spectacle reste quand même la scène où Pignon doit appeler Juste Leblanc pour savoir si la femme de Brochant est retrournée avec lui : "Ah bon, il a pas de prénom ?"

    Parce que Villeret est au sommet de son art

    L'immense acteur qu'était Jacques Villeret est aussi hilarant que touchant dans le rôle de François Pignon, qu'il jouait déjà depuis 1993 dans la pièce de Francis Veber mise en scène par Pierre Mondy. En 1999, il remporte le César du meilleur acteur pour son interprétation phénoménale de Pignon dans le film. Une récompense qu'il n'a pas volée.

    Parce que c'est une excellente adaptation

    Veber a réalisé un vrai travail d'adaptation et ne se contente pas de faire du théâtre filmé. Le film dure 1h20, contre 2h pour la pièce et il y a eu plusieurs changements. Dans la version originale, Marlène dit à Pignon être la sœur de Brochant ; au cinéma, Sasseur devient son nom de famille et le docteur Archambault devient Sorbier pour expliquer sa présence sur le répertoire à la lettre S.

    Parce que le casting entier est parfait

    Outre Jacques Villeret, tous les acteurs du Dîner de cons est impeccable et drôlissime, de Thierry Lhermitte à Catherine Frot en passant par Francis Huster. Mention spéciale à Daniel Prévost  qui brille dans le rôle de Lucien Cheval et qui s'est illustré lui aussi lors de la 24e cérémonie des César en recevant le prix - bien mérité - du meilleur acteur dans un second rôle.

    Parce que c'est aussi la critique du mépris de classe

    Au-delà des dialogues hilarants et des situations toutes plus cocasses les unes que les autres, Le Dîner de cons est aussi et surtout une critique acerbe d'une forme de mépris de classe, où ce sont les bourgeois qui sont les plus grossiers personnages et les plus pitoyables (Pierre Brochant à la fin en tête) où chacun récolte finalement ce qu'il a semé.

    Le top 5 des répliques cultes dans Le Dîner de cons : 

     

    Parce qu'on ne se lasse pas des films cultes, c'est pour ça qu'ils sont cultes

    Dans Le Dîner de cons, ce ne sont pas les répliques qui sont cultes, mais des scènes entières ! Le quiproquo avec Marlène Sasseur, la visite de Cheval le contrôleur fiscal, le numéro du producteur belge ("On a les droits !") Le clou du spectacle reste quand même la scène où Pignon doit appeler Juste Leblanc pour savoir si la femme de Brochant est retrournée avec lui : "Ah bon, il a pas de prénom ?"

    Parce que Villeret est au sommet de son art

    L'immense acteur qu'était Jacques Villeret est aussi hilarant que touchant dans le rôle de François Pignon, qu'il jouait déjà depuis 1993 dans la pièce de Francis Veber mise en scène par Pierre Mondy. En 1999, il remporte le César du meilleur acteur pour son interprétation phénoménale de Pignon dans le film. Une récompense qu'il n'a pas volée.

    Parce que c'est une excellente adaptation

    Veber a réalisé un vrai travail d'adaptation et ne se contente pas de faire du théâtre filmé. Le film dure 1h20, contre 2h pour la pièce et il y a eu plusieurs changements. Dans la version originale, Marlène dit à Pignon être la sœur de Brochant ; au cinéma, Sasseur devient son nom de famille et le docteur Archambault devient Sorbier pour expliquer sa présence sur le répertoire à la lettre S.

    Parce que le casting entier est parfait

    Outre Jacques Villeret, tous les acteurs du Dîner de cons est impeccable et drôlissime, de Thierry Lhermitte à Catherine Frot en passant par Francis Huster. Mention spéciale à Daniel Prévost  qui brille dans le rôle de Lucien Cheval et qui s'est illustré lui aussi lors de la 24e cérémonie des César en recevant le prix - bien mérité - du meilleur acteur dans un second rôle.

    Parce que c'est aussi la critique du mépris de classe

    Au-delà des dialogues hilarants et des situations toutes plus cocasses les unes que les autres, Le Dîner de cons est aussi et surtout une critique acerbe d'une forme de mépris de classe, où ce sont les bourgeois qui sont les plus grossiers personnages et les plus pitoyables (Pierre Brochant à la fin en tête) où chacun récolte finalement ce qu'il a semé.

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