Mon compte
    Little Miss Sunshine, Family man, Garden State... 8 Feel Good Movies qu'on adore

    Nos huit coups de coeur en matière de Feel Good Movies. Certains très connus, d'autres moins. Et vous, quel est votre Feel Good Movie préféré ?

    GARDEN STATE

    Certains longs métrages devraient être remboursés par la Sécu. Et Garden State en fait partie. Simple (mais pas simpliste), inventif, drôle, touchant et doté d'une BO qui colle parfaitement à son ton doux-amer, il contient tous les éléments d'un bon feel-good movie. Un de mes films préférés all time, auquel on peut facilement s'identifier et, donc, se sentir bien lorsque défile le générique de fin.

    Maximilien Pierrette

    BILLY ELLIOT 

    Contexte social, familial... Dans Billy Elliot, tout est loin d'être rose. Sauf Billy, être musicalement contagieux, pilule d'énergie et de talent qui parvient à propager son rêve partout où ses pas résonnent. C'est toute la magie du film de Stephen Daldry : nous transporter vers le champ des possibles dans un monde où tout semblait limité, rendre profondément heureux tout en faisant chaudement pleurer.

    Raphaëlle Raux-Moreau

    L'IMPOSSIBLE MONSIEUR BEBE

    Ne vous fiez surtout pas au noir et blanc, L'Impossible Monsieur Bébé a tout du bijou grand public ! Parce qu'il est emmené par Katharine Hepburn -maladroite et entêtée- et Cary Grant -bougon et déphasé-, alias LE duo le plus délirant et décalé que la comédie ait jusqu'ici porté (si si !). Et parce qu'il est truffé de répliques loufoques et de gags improbables, le tout sur un timing comique impeccable. Un pur concentré de bonheur à ingérer dès que le désir de mourir de rire se fait sentir...

    Laetitia Ratane

    LITTLE MISS SUNSHINE

    Rien de tel que les aventures d'une famille dysfonctionnelle pour nous (re)donner le moral : de la petite Olive qui rêve de devenir mini-miss au grand-père cocaïnomane, en passant par le frère qui a fait voeu de silence, l'oncle suicidaire, le père obsédé par son parcours de réussite et la mère qui tente de faire cohabiter tout ce petit monde, le tableau est haut en couleurs ! On passe du rire aux larmes et on ressort à tous les coups de Little Miss Sunshine le coeur tout plein d'amour !

    Léa Bodin

    FAMILY MAN

    Sur le papier, rien ne prédispose à priori ce Family Man d'être plus qu'un honnête divertissement familial de fin d'année. Un film au pitch un peu cucul qui serait juste sauvé par son casting haut de gamme (Nicolas Cage, Téa Leoni, Don Cheadle). Pourtant, absolument tout fonctionne dans cette comédie fantastique qui fait rire, pleurer et offre même - j'ose le dire - quelques moments de pure magie.

    Clément Cuyer

    Un jour sans fin

    Quand votre vie de tous les jours se transforme imperceptiblement en routine, rien de tel que d'aller faire un petit tour du côté de chez Phil. Condamné à revivre la même horrible journée pendant des semaines, des mois, des années, il devient tour à tour playboy un peu relou, odieux connard, dépressif suicidaire, super-héros... lui-même. Parce que pour espérer devenir l'homme de demain, il faut parfois commencer avec celui d'aujourd'hui. Alors debout les campeurs, et haut les coeurs !

    Thomas Imbert

    Ecarts de conduite

    Années 1960. Beverly Donofrio, une ado de 16 ans, rêve de devenir romancière. Mais une virée avec Ray va en décider autrement. Enceinte, la jeune fille est contrainte d'épouser ce pauvre garçon. Avec cette union, ses espoirs s'effondrent et son père Leonard la rejette... Oubliez le stupide titre français. Signé par la regrettée Penny Marshall, porté à bout de bras par une électrisante Drew Barrymore qui irradie d'énergie positive et dotée d'une foi en elle inébranlable, aidée par sa meilleure amie (la elle aussi regrettée Britanny Murphy), voilà une pépite profondément émouvante aux vertues proprement euphorisantes.

    Olivier Pallaruelo

     

    Garden State (Maximilien Pierrette)

    Certains longs métrages devraient être remboursés par la Sécu. Et Garden State en fait partie. Simple (mais pas simpliste), inventif, drôle, touchant et doté d'une BO qui colle parfaitement à son ton doux-amer, il contient tous les éléments d'un bon feel-good movie. Un de mes films préférés all time, auquel on peut facilement s'identifier et, donc, se sentir bien lorsque défile le générique de fin.

    Billy Elliot (Raphaëlle Raux-Moreau)

    Contexte social, familial... Dans Billy Elliot, tout est loin d'être rose. Sauf Billy, être musicalement contagieux, pilule d'énergie et de talent qui parvient à propager son rêve partout où ses pas résonnent. C'est toute la magie du film de Stephen Daldry : nous transporter vers le champ des possibles dans un monde où tout semblait limité, rendre profondément heureux tout en faisant chaudement pleurer.

    Forrest Gump (Corentin Palanchini)

    Il y a dans ce personnage un peu simplet une vraie leçon de vie. Loin d'être limité à des clins d'oeil à l'histoire des Etats-Unis, c'est une leçon sur le "vivre heureux", Capra n'aurait pas mieux fait s'il avait eu les moyens d'un film de 1994. Par ailleurs, le réalisateur Robert Zemeckis nous offre une vision mordante de son pays et de ses habitants. Que demander de plus ?

    L'Impossible Monsieur Bébé (Laetitia Ratane)

    Ne vous fiez surtout pas au noir et blanc, L'Impossible Monsieur Bébé a tout du bijou grand public ! Parce qu'il est emmené par Katharine Hepburn -maladroite et entêtée- et Cary Grant -bougon et déphasé-, alias LE duo le plus délirant et décalé que la comédie ait jusqu'ici porté (si si !). Et parce qu'il est truffé de répliques loufoques et de gags improbables, le tout sur un timing comique impeccable. Un pur concentré de bonheur à ingérer dès que le désir de mourir de rire se fait sentir...

    Little Miss Sunshine (Léa Bodin)

    Rien de tel que les aventures d'une famille dysfonctionnelle pour nous (re)donner le moral : de la petite Olive qui rêve de devenir mini-miss au grand-père cocaïnomane, en passant par le frère qui a fait voeu de silence, l'oncle suicidaire, le père obsédé par son parcours de réussite et la mère qui tente de faire cohabiter tout ce petit monde, le tableau est haut en couleurs ! On passe du rire aux larmes et on ressort à tous les coups de Little Miss Sunshine le coeur tout plein d'amour !

    Un Jour sans fin (Thomas Imbert)

    Quand votre vie de tous les jours se transforme imperceptiblement en routine, rien de tel que d'aller faire un petit tour du côté de chez Phil. Condamné à revivre la même horrible journée pendant des semaines, des mois, des années, il devient tour à tour playboy un peu relou, odieux connard, dépressif suicidaire, super-héros... lui-même. Parce que pour espérer devenir l'homme de demain, il faut parfois commencer avec celui d'aujourd'hui. Alors debout les campeurs, et haut les coeurs !

    Family Man (Clément Cuyer)

    Sur le papier, rien ne prédispose à priori ce Family Man d'être plus qu'un honnête divertissement familial de fin d'année. Un film au pitch un peu cucul qui serait juste sauvé par son casting haut de gamme (Nicolas Cage, Téa Leoni, Don Cheadle). Pourtant, absolument tout fonctionne dans cette comédie fantastique qui fait rire, pleurer et offre même - j'ose le dire - quelques moments de pure magie.

    Ecarts de conduite (Olivier Pallaruelo)

    Beverly Donofrio, une ado de 16 ans, rêve de devenir romancière. Mais une virée avec Ray va en décider autrement. Enceinte, la jeune fille est contrainte d'épouser ce pauvre garçon. Avec cette union, ses espoirs s'effondrent et son père Leonard la rejette... Oubliez le stupide titre français. Signé par la regrettée Penny Marshall, porté à bout de bras par une électrisante Drew Barrymore qui irradie d'énergie positive et dotée d'une foi en elle inébranlable, aidée par sa meilleure amie (la elle aussi regrettée Britanny Murphy), voilà une pépite profondément émouvante aux vertues proprement euphorisantes.

    FBwhatsapp facebook Tweet
    Commentaires
    Back to Top