Mon compte
    Alita, Orange mécanique, Le Chat Potté... 15 plans qui vous font de l'oeil

    A l'occasion de la sortie en salles d'"Alita : Battle Angel", avec son héroïne aux yeux si impressionnants, focus sur 15 plans de cinéma célèbres qui nous ont fait de l'oeil, d'"Orange mécanique" au Chat Potté en passant par "Requiem for a Dream".

    A l'occasion de la sortie en salles d'Alita : Battle Angel, avec son héroïne aux yeux si impressionnants, focus sur 15 plans de cinéma célèbres qui nous ont fait de l'oeil. D'Orange mécanique au Chat Potté en passant par Requiem for a Dream2001 : l'odyssée de l'espace et même Le Seigneur des Anneaux, vous allez en prendre... plein les yeux !

    Saurez-vous retrouver à qui appartiennent ces fameux regards ?

    L'oeil de la jeune femme dans "Un chien andalou" (1929)

    Image choc que ce rasoir ouvrant un globe oculaire, éclatant une pupille qui répand une matière organique et visqueuse, dans le surréaliste Un chien andalou de Luis Bunuel, est le pionnier de ces fameux plans d'yeux de cinéma.

    Les yeux de la cyborg Alita dans "Alita : Battle Angel" (2019)

    Dans Alita : Battle Angel, adapté du manga Gunnm, l'héroïne cyborg se distingue par ses yeux globuleux, comme dans l'oeuvre de Yukito Kishiro. Dans un entretien au Huffington Post, le réalisateur Robert Rodriguez déclare : "Je pense que son personnage fonctionne mieux grâce à ses yeux. Vous voyez tout ce qu'elle ressent. Elle semble même plus humaine et plus émotive que les personnages humains."

    Les yeux du Chat Potté dans "Shrek 2" (2004)

    Dans le film d'animation Shrek 2, le Chat Potté sort son plus beau regard de "chat battu" pour attendrir l'ogre vert afin de pouvoir l'accompagner sur la route. Mission réussie, au grand dam de l'âne. Mais devant ces deux grands yeux noirs tellement mignons, comment résister ?

    L'oeil de Jared Leto dans "Requiem for a Dream" (2001)

    Dans le Requiem for a Dream de Darren Aronofsky, comment ne pas se souvenir des scènes montrant Jared Leto se droguer ? Avec notamment ce plan, au milieu d'un montage ultra rapide, de la pupille du héros en train de se dilater sous l'effet de la prise.

    L'oeil de David Bowman dans " 2001 : l'odyssée de l'espace" (1968)

    Voici sans doute un des plus fameux plans du 7e art : celui de David Bowman (Keir Dullea) dans 2001 l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick, lors de la séquence du Time Travel à la fin de l'oeuvre. L'idée de Kubrick étant de placer le spectateur directement à la place du personnage, qu'il puisse voir ce qu'il voit lui-même.

    L'oeil de Sauron dans "Le Seigneur des anneaux : le retour du roi" (2003)

    Dans Le Seigneur des anneaux : le retour du roi de Peter Jackson, il y a un oeil, mais pas un oeil comme les autres. Celui du terrible Sauron, le Seigneur des Ténèbres, ennemi principal de la saga culte qui cherche à mettre la main sur l'anneau qu'il a lui-même forgé.

    L'oeil de Malcolm McDowell dans "Orange mécanique" (1971)

    Oeil exorbité, pupille dilatée, écarteur de paupières, sérum physiologique : dans le chef d'oeuvre de Kubrick, Alex (Malcolm McDowell), l'ex adepte de l'ultra violence sur fond de Beethoven, est désormais soumis au traitement Ludovico, qui le force à regarder des images ultra violentes sans pouvoir fermer des yeux, jusqu'à l'en dégoûter.

    L'oeil de Sally Hardesty dans "Massacre à la tronçonneuse" (1974)

    Séquence de pure terreur dans Massacre à la tronçonneuse, alors que l'unique survivante Sally Hardesty (Marilyn Burns) est séquestrée chez la famille de Leatherface. Attachée à son fauteuil, les yeux injectés de sang et de larmes, la malheureuse est contrainte de contempler cette famille de dégénérés en train de se régaler de viande humaine. Pour l'anecdote, l'actrice ne simule pas son état. Epuisée par la chaleur et le tournage, la comédienne était au bord de l'évanouissement.

    L'oeil de Marion Crane dans "Psychose" (1960)

    Là encore, un des plus fameux plans d'oeil du 7e art : celui de Marion Crane (Janet Leigh) dans Psychose, alors qu'elle vient de s'effondrer, assassinée par Norman Bates.

    Les yeux de l'homme à l'harmonica dans "Il était une fois dans l'Ouest" (1969)

    Comment oubliez ce très (très) gros plan de Sergio Leone sur les yeux embués et si profonds de Charles Bronson dans Il était une fois dans l'Ouest ? Un plan qui intervient dans le duel final, face à Henry Fonda.

    Le plan de l'oeil dans "Blade Runner" (1982)

    Dans le chef-d'oeuvre absolu de Ridley Scott, tout est question du regard, et tout part de l'oeil. C'est grâce aux variations imperceptibles de l'iris, perçues dans le détecteur de Rick Deckard (Harrison Ford) lorsqu'il effectue le test de Voight Kampff, qu'on peut arriver à savoir si on a affaire à un Réplicant, ou à un véritable humain. Ce très gros plan sur un oeil, dans lequel on distingue le Los Angeles de 2019, se situe dans l'extraordinaire ouverture du film.

    Les yeux infectés d'une activiste dans "28 jours plus tard" (2003)

    Dans la scène d'ouverture du zombiesque 28 jours plus tard de Danny Boyle, un groupe d'activistes s'introduit dans un laboratoire scientifque. L'un d'eux va être infecté par un terrible virus de rage, infection qui se traduit par de terrifiants yeux injectés de sang.

    L'oeil de Rosalie Octavius dans "Spiderman 2" (2004)

    Dans le Spider-Man 2 de Sam Raimi, il y a ce plan impressionnant de l'oeil de Rosalie Octavius, la femme du Dr Octavius, dans lequel on peut voir le personnage hurler juste avant d'être tué par de nombreux éclats de verre. Des éclats de verre dont l'un est bien visible dans le plan ci-dessus. Une manière assez atroce et sublime de contempler sa propre mort.

    L'oeil droit de Jack dans la série Lost (2004-2010)

    Le plan de l'oeil est un élément important dans la série Lost. Les épisodes de la série s'ouvrant souvent sur des plans d'yeux. Dans cette optique, le choix le plus évident était celui de Jack (Matthew Fox), et pour cause : c'est lui qui ouvre la série et la termine, avec son oeil se refermant justement.

    Les yeux des enfants dans les tableaux de "Big Eyes" (2015)

    Le Big Eyes de Tim Burton raconte l'histoire vraie d'une grande imposture. Dans les années 50/60, le peintre Walter Keane a connu un succès phénoménal et révolutionné le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. Des toiles pour le moins angoissantes qui avaient en fait été peintes par sa femme, Margaret. 

    FBwhatsapp facebook Tweet
    Commentaires
    Back to Top