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    Schwarzenegger : ses 10 looks emblématiques pour le meilleur et pour le pire
    Corentin Palanchini
    Passionné par le cinéma hollywoodien des années 10 à 70, il suit avec intérêt l’évolution actuelle de l’industrie du 7e Art, et regarde tout ce qui lui passe devant les yeux : comédie française, polar des années 90, Palme d’or oubliée ou films du moment. Et avec le temps qu’il lui reste, des séries.

    Arnold Schwarzenegger a souvent joué avec ses costumes pour entrer dans la peau de personnages devenus mythiques comme le Terminator ou Conan le barbare. Découvrez un florilège de ses tenues, dont certaines vraiment... originales.

    TriStar Pictures

    Arnold Schwarzenegger est actuellement en salles dans "Terminator: Dark Fate" :

     

    Hercule à New York (1969)

    Récompensé du titre de Mr Univers, Schwarzenegger a l'argent pour quitter l'Allemagne et se rendre aux Etats-Unis. A peine débarqué, son agent l'engage dans un film et il se retrouve dans ce Hercule à New York, alors qu'il ne parle pas bien anglais. Il incarne le demi-dieu quittant l'Olympe pour New York. Mais très vite, Zeus envoie d'autres dieux le chercher. Un film fauché que Schwarzy regrette.

    Le Tour du monde en 80 jours (2004)

    Lors de leur escale en Turquie, Phileas Fogg, Monique et Passepartout rencontrent le Prince Hapi (Schwarzenegger) qui leur impose son hospitalité et cherche à marier Monique. Ce n'est qu'après d'âpres négociations que nos héros s'en tireront.

    Predator (1987)

    "S'il peut saigner, on peut le tuer", "T'as pas une gueule de porte-bonheur' "Aiguise moi ça !", les répliques cultes fusent dans ce film où Schwarzenegger porte un marcel avec biceps saillants. Le comédien donne tout ce qu'il a dans cet archétype du film d'action décomplexé au virilisme assumé, et le réalisateur John McTiernan y crée une mythologie aujourd'hui devenue culte.

    Cactus Jack (1979)

    Western comique dans lequel Kirk Douglas parle à son cheval à la façon d'un Lucky Luke. Schwarzenegger joue "le bel étranger" un grand naïf que la VF fait même zozoter. Cactus Jack est une tentative de faire un film "cartoon" mais il fallait un réalisateur capable de relever le défi. Force est de constater qu'Hal Needham, plus à l'aise dans ses films d'action avec Burt Reynolds, a échoué.

    Conan le barbare (1982)

    Schwarzenegger interprètera une nouvelle fois le personnage du barbare cimmérien dans Conan le destructeur (1984), nettement en-dessous du premier opus réalisé par John Milius. Il apparaîtra ensuite dans Kalidor, la légende du talisman (1985) dans lequel pour des raisons de droits il ne joue pas Conan mais beaucoup de fans considèreront que Kalidor est un "nom de voyage" de Conan.

    Terminator (1984)

    Le second rôle iconique de Schwarzenegger débarque sur les écrans quelques mois après la sortie de Conan le destructeur. Le rôle du T-800 cherchant à tuer Sarah Connor restera dans les mémoires et donnera (à ce jour) six films, dont le dernier, Terminator: Dark Fate, est actuellement en salles.

    Batman et Robin (1997)

    Après le très coloré Batman ForeverBatman et Robin finira de décevoir les fans de la saga. Schwarzenegger y incarne Victor Fries, homme obligé de vivre dans une armure le maintenant dans un état de froid perpétuel pour ne pas mourir. "Schwarzy" était déjà apparu (en photo) dans Batman le défi de Tim Burton, dans le bureau du personnage joué par Christopher Walken (à 10 min du début).

    Le Dernier rempart (2013)

    Shérif d'une petite ville paisible, Ray Owens va s'opposer à un terrible baron de la drogue qui décide de traverser sa bourgade. Un film au canevas simple qui permet d'admirer Schwarzenegger portant des ray-bans, un blouson en cuir, un colt et un Smith & Wesson 500. La confrontation finale, violente à souhait, ravira les fans d'action.

    Junior (1995)

    Contrairement à son concurrent et ami de toujours Sylvester Stallone, Schwarzenegger a connu plusieurs succès dans des comédies dont ce Junior, dans lequel il incarne un docteur testant un traitement de son invention sur les grossesses sans risques. Sauf qu'il va vraiment tomber "enceint".

    Running Man (1988)

    Si le Prix du danger d'Yves Boisset (1983) et le téléfilm allemand Das Millionenspiel adaptaient la nouvelle Le Prix du danger de Robert Sheckley, Running Man porte très librement à l'écran le livre éponyme de Richard Bachman (un pseudonyme de Stephen King). Le résultat est un film précurseur sur la téléréalité et ses dérives, dans une société décadente et régie par la violence. A (re)découvrir.

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