Mon compte
    Midnight Texas, Buffy, True Blood... Les vampires dans tous leurs états !

    Ils craignent la lumière, se nourrissent de sang... et peuplent les légendes, notre imaginaire et la fiction depuis des décennies ! Des années 60 à aujourd'hui, petite sélection des vampires marquants - et changeants - de la télévision.

    WB / FX

    "Midnight, Texas", le vampire aspirateur

    S'il aime éventuellement planter ses crocs dans un motard suprémaciste blanc, Lemuel Bridger préfère la plupart du temps utiliser sa capacité à aspirer l'énergie vitale de ses victimes... ou de sa maîtresse d'un soir. Peter Mensah prête son visage énigmatique et sa classe naturelle à ce vampire aux yeux bleus, membre de la petite communauté surnaturelle de la ville de Midnight, au Texas (diffusée sur SyFy).

    "The Strain", le vampire viral

    Au sein de la série horrifique The Strain, signée Guillermo del Toro et Chuck Hogan et adaptée de leur propre trilogie littéraire, les vampires, ou plutôt les Strigoi (sortis du folklore roumain), sont aussi antiques et terrifiants que terriblement modernes. Car ici, ils sont à l'origine d'une maladie infectieuse ! Menés par le Maître, ils contaminent le sang humain avec... des vers parasites.

    "Buffy", le vampire de référence

    Lancée en 1997, Buffy a commencé comme une "petite" série de genre. Mais, au fil des ans, et depuis sa fin en 2003, elle a conquis le titre de série culte et influencé de nombreux shows notamment pour sa narration. C'est également la Tueuse de Joss Whedon et sa mythologie, aussi sombre que complexe, qui ont remis les vampires sur le devant de la scène avec des personnages inoubliables, comme Angel, le vampire repenti (qui obtiendra sa série en 99) ou encore l'impayable Spike.

    "Dark Shadows", le vampire soapy

    Avant que Johnny Depp ne porte la cape de Barnabas Collins pour Tim Burton (2012), le vampire était interprété par Jonathan Frid dans le soap quotidien d'ABC, Dark Shadows (1966-1971). A son arrivée dans la série, celui qui ne devait être que secondaire vola la vedette à tous les autres personnages. Cet antihéros romantique qui revenait hanter sa famille après 200 ans dans son cercueil a eu un impact considérable à son époque et bien après.

    "Blade", le vampire de l'action

    Basée sur le super-héros de Marvel, qui avait donné lieu à la trilogie au cinéma de David S. Goyer, la série Blade (2006) se déroulait après les événements de Blade : Trinity. En lieu et place de Wesley Snipes, c'est le rappeur Sticky Fingaz qui prêtait ses traits au héros mi-homme mi-vampire, qui contrôlait ses instincts de prédateur pour protéger les humains des vampires. Cette tentative ne prendra pas et la série sera annulée au bout de 13 épisodes. .

    "Vampire Diaries", le vampire sexy

    Si la CW a voulu rebondir sur le succès de Twilight avec Vampire Diaries, Kevin Williamson a su créer son propre univers au travers des ruelles sombres de Mystic Falls. Pro du teen drama et de l'horreur (on lui doit Dawson et plusieurs des Scream), il livre un mélange de genres avec, en son coeur, la relation entre les frères Salvatore. Aussi sexy qu'horrifique, la série a été un phénomène : elle a duré 8 saisons et lancé le spin-off The Originals.

    "Moonlight", le vampire détective

    Tout comme Angel avant lui et Blood Ties, le gentil vampire de Moonlight, Mick St. Jones, (Alex O'Loughlin avant Hawaii Five-O) exerçait une activité de détective privé et aimait une mortelle, le surnaturel côtoyant donc le procédural. Malheureusement, cette série un brin étrange n'a duré qu'une saison, elle a d'ailleurs gravement pâti de la grève des scénaristes de 2007.

    "True Blood", le vampire no limit

    En 2008, Alan Ball, le créateur de Six Feet Under, revenait sur le devant de la scène avec True Blood, adaptée des romans de Charlaine Harris, dans lequel les humains apprennent l'existence des vampires et doivent apprendre à les tolérer. Série d'ambiance se déroulant en Louisiane, à Bon Temps, True Blood était diffusée sur HBO et s'est permis tous les excès, autant dans le sexe, le gore, la violence ou les idées folles. Un pur divertissement !

    "Being Human", le vampire à la sauce "Friends"

    Rares sont les remakes américains de séries britanniques à être des réussites. Being Human est pourtant de celles-là. Teintées d'humour mais aussi de gravité, les deux séries suivent un groupe d'amis pas comme les autres, constitué d'un vampire, d'un loup-garou et d'un fantôme. Tous partagent le même appartement et tentent (difficilement) de mener une vie normale...

    "Preacher", le vampire punk

    Cassidy sévit en ce moment dans Preacher, adaptée du comic book, et impossible de s'ennuyer en sa compagnie ! Il est d'ailleurs devenu l'un des personnages préférés des fans. Gros buveur, fumeur, épicurien, ce vampire irlandais en fuite est aussi irrésistible que violent. Il n'a pas la langue dans sa poche et fait ce que bon lui semble. Il se lie d'ailleurs d'amitié avec Jesse Custer, le révérend de la série irrévérencieuse.

    "Les Monstres", le vampire classique

    2 ans avant Dark Shadows et la même année que La Famille Addams, Les Monstres ont envahi le petit écran américain (1964-1966). Cette sitcom de CBS, devenue un classique, avait la particularité de réunir tous les monstres du genre dans un univers familial. On y suivait le quotidien, tout ce qu'il y a de plus normal, de la famille Monstre (le père était le sosie de Frankenstein, la mère et le grand-père étaient des vampires et le fils, un loup-garou).

    "Penny Dreadful", le vampire gothique

    Penny Dreadful, la série gothique et macabre, qui nous propulse dans le Londres de l'époque victorienne, pioche parmi les créatures classiques de la littérature ou du cinéma pour mieux les transformer (Frankenstein, Dorian Gray...). Côté vampire, c'est évidemment l'incontournable Dracula de Bram Stocker que l'on retrouve. Manipulateur au possible, il tente de séduire l'héroïne (Eva Green)...

    FBwhatsapp facebook Tweet
    Commentaires
    Back to Top