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    La Casa de Papel : 10 choses à savoir sur la série en attendant la saison 2

    La seconde partie de la Casa de Papel sera mise en ligne dans un moins d’un mois sur Netflix – plus précisément le 6 avril. Pour pallier l’attente, voilà quelques anecdotes qui vous permettra de connaître cette série espagnole sur le bout des doigts

    La petite histoire derrière le titre …

    La Casa de Papel (traduit littéralement la Maison de papier) aurait pu s’appeler autrement. Le showrunner Alex Pina avait à l’origine choisi pour titre "Los Desahuciados" (Les Expulsés) en référence à l’équipe de cambrioleurs qui ont comme point commun d’être exilés ou en cavale.

    Ursula x Natalie

    Alex Pina a révélé s’être inspiré de Matilda (Natalie Portman) dans Léon pour le personnage de Tokyo (Úrsula Corberó), que ce soit pour sa coupe de cheveux que pour son style vestimentaire.

    Aviez-vous remarqué ?

    Vous souvenez-vous de cette scène où le Professeur joue du piano pour Raquel ? Il s’agit d’une musique tirée du film L’Arnaque (1974) dans lequel Paul Newman et Robert Redford mettent en place une vaste escroquerie.

    A l’origine…

    A l’origine, les braqueurs de La Casa de Papel devaient tous être atteints d'une maladie en stade terminal, raison pour laquelle ils sont choisis par le Professeur. Une intrigue que le scénariste a préféré laisser tomber, sauf pour un personnage.pour un personnage.

    Petit voyage

    La Casa de Papel nous fait voyager à sa manière. Si tous les personnages portent le nom d’une ville (Tokyo, Berlin, Rio…), ça ne s’arrête pas là. Par exemple, le bar où se rencontrent Raquel et le Professeur s’appelle Hanoi, tandis que certains plans d’attaque sont aussi des références géographiques (Valence, Tchernolyl, Cameroun…). Devant et derrière la caméra Deux des réalisateurs de la série font un rapide caméo dans La Casa de Papel : c'est le cas d'Alejandro Bazzano qui joue à la fin le docteur serbe et de Daniel Higueras qui apparaît sous les traits d’un clerc. 

    Devant et derrière la caméra

    Deux des réalisateurs de la série font un rapide caméo dans La Casa de Papel : c'est le cas d'Alejandro Bazzano qui joue à la fin le docteur serbe et de Daniel Higueras qui apparaît sous les traits d’un clerc.

    La couleur de l’argent Pour fabriquer tous les billets que l’on voit dans la série, l’équipe a utilisé en grande quantité des coupures du quotidien espagnol ABC (c’est ce que l’on appelle du recyclage !).

    La couleur de l’argent

    Pour fabriquer tous les billets que l’on voit dans la série, l’équipe a utilisé en grande quantité des coupures du quotidien espagnol ABC (c’est ce que l’on appelle du recyclage !).

    Cinquante-deux versions

    Le premier épisode de la série a été réécrit… 52 fois ! Alex Pina voulait en effet que le scénario de la série soit parfaitement huilé, avec des intrigues et des rebondissements bien amenés. Il a ainsi pris le temps de peaufiner l’histoire et ses personnages.

    Bella Ciao

    La Casa de Papel a remis au goût du jour la chanson "Bella, Ciao" (Adieu ma belle). Mais d’où vient-elle ? D’Italie, pour commencer. Ce un chant partisan est né dans les communautés antifascistes et a gagné en force au 20ème siècle où elle devient un hymne pour les groupes communistes italiens. Traduite dans différentes langues, elle est un symbole des manifestations ouvrières dans les années 60 et plus tard de la révolution culturelle du gouvernement de Salvador Allende et de l’Unité populaire, au Chili.

    Un tout petit (h)tic

    Aviez-vous remarqué ce tic du Professeur, lorsqu’il remet constamment ses lunettes en place ? C’est à cause de son interprète, Álvaro Morte, qui ne pouvait s’empêcher de toucher à ses binocles.

     

    La petite histoire derrière le titre …

    La Casa de Papel (traduit littéralement la maison de papier) aurait pu s’appeler autrement. Le showrunner Alex Pina avait à l’origine choisi pour titre "Los Desahuciados" (Les Expulsés) en référence aux braqueurs qui ont comme point commun d’être soit exilés soit en cavale.

    Ursula x Natalie

    Alex Pina a révélé s’être inspiré de Matilda (Natalie Portman) dans le film Léon pour le personnage de Tokyo (Úrsula Corberó), que ce soit de sa coupe de cheveux que de son style vestimentaire.

    A l’origine…

    A l’origine, les braqueurs de La Casa de Papel devaient tous être atteints d'une maladie en stade terminal, raison pour laquelle ils sont choisis par le Professeur. Une intrigue que le scénariste a préféré laisser tomber, sauf pour un personnage.

    Petit voyage

    La Casa de Papel nous fait voyager à sa manière. Si tous les personnages portent le nom d’une ville (Tokyo, Berlin, Rio…), cela ne s’arrête pas là. Par exemple, le bar où se rencontrent Raquel et le Professeur s’appelle le Hanoi, tandis que certains plans d’attaque sont aussi des références géographiques (Valence, Tchernolyl, Cameroun…).

    Devant et derrière la caméra

    Deux des réalisateurs de la série font un rapide caméo dans La Casa de Papel : c'est le cas d'Alejandro Bazzano qui joue à la fin le docteur serbe et de Daniel Higueras qui apparaît sous les traits d’un clerc.

    La couleur de l’argent

    Pour fabriquer tous les billets que l’on voit dans la série, l’équipe a utilisé en grande quantité des coupures du quotidien espagnol ABC (c’est ce que l’on appelle du recyclage !).

    Cinquante-deux versions

    Le premier épisode a été réécrit… 52 fois ! Alex Pina voulait en effet que le scénario de la série soit parfaitement huilé, avec des intrigues et des rebondissements bien amenés. Il a ainsi pris le temps de peaufiner l’histoire et les personnages.

    Bella Ciao

    La Casa de Papel a remis au goût du jour la chanson "Bella, Ciao" (Adieu ma belle). Mais d’où vient-elle ? D’Italie, pour commencer. Ce un chant partisan est né dans les communautés antifascistes et a gagné en force au 20ème siècle où elle devient un hymne pour les groupes communistes italiens. Traduite dans différentes langues, elle est un symbole des manifestations ouvrières dans les années 60 et plus tard de la révolution culturelle du gouvernement de Salvador Allende et de l’Unité populaire, au Chili.

    Un tout petit (h)tic

    Aviez-vous remarqué ce tic du Professeur, lorsqu’il remet constamment ses lunettes en place ? C’est à cause de son interprète, Álvaro Morte, qui ne pouvait s’empêcher de toucher à ses binocles.

    Aviez-vous remarqué ?

    Vous souvenez-vous de cette scène où le Professeur joue du piano à Raquel ? Il s’agit d’une musique tirée du film L’Arnaque (1974) dans lequel Paul Newman et Robert Redford mettent en place une vaste escroquerie.

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