Mon compte
    Sex Education : les 8 conseils sexo d'Otis à retenir

    Dans Sex Education, Asa Butterfield joue les sexologues au sein de son lycée et prodigue des conseils (autant sexuelles que relationnels) ainsi que de bonnes leçons de vie à ses camarades de classe… et aussi aux spectateurs.

    Simuler, ça n’aide personne

    Sex Education donne le don dès les premières minutes avec une scène de sexe entre Aimee et Adam (Connor Swindells)… qui ne se finit pas très bien pour ce dernier puisqu’il ne réussit pas à éjaculer. Touché en plein égo, Connor se dope avec trois pilules bleues (et là c’est la catastrophe). Il découvre grâce à Otis (Asa Butterfield) qu’il souffre en réalité d’anxiété de performance : la pression qu’il ressent au lycée et chez lui l’empêchent d’être performant sexuellement parlant. Et en discuter avec un professionnel permet de mettre le doigt sur le problème et régler la situation.

    Il faut être "body-posi"

    Dans l’épisode 2, Otis conseille un couple en difficulté : elle, préfère avoir un rapport sexuel dans le noir, car elle n’aime pas son corps. Lui aimerait la voir pendant l’acte. Afin de régler leurs problèmes de communication, Otis leur demande de dire à haute voix, ce qu’ils aiment chez leur partenaire. Une manière de booster son estime de soi (être "body-positive").

    "On est tous imparfaits, mais ça ne fait pas de nous des gens mauvais"

    Sexualité et religion ne font pas toujours bon ménage. La série Netflix aborde rapidement ce sujet dans l’épisode 3 lorsqu’Otis tombe sur deux lycéens anti-avortement. La jeune fille accuse son petit-ami de l’avoir trompé – parce qu’il a eu des relations sexuelles avant de se convertir et de la rencontrer. Notre sexothérapeute lui fera remarquer que personne ne peut changer son passé, et qu’il faut se concentrer sur le présent. Encore plus lorsque l’on est engagé dans une relation.

    Quand les sentiments ne sont pas là… rien ne sert de forcer

    Dans l’épisode 4, Otis s’intéresse au cas de deux lesbiennes qui se plaignent de ne pas s’entendre sexuellement parlant. Meilleures amies depuis des années, mais en couple depuis quelques seulement, le lycéen comprend rapidement que leur problème n’est pas d’ordre sexuel, mais émotionnel et leur fera la remarque suivante : "On ne choisit pas par qui on est attiré. On ne peut pas fabriquer une relation.". Pour résumer, quand les sentiments ne sont pas là, ça ne risque pas de fonctionner.

    Le slut-shaming, c’est mal est inégal

    Dans l’épisode 5, Ruby découvre que quelqu’un a envoyé au lycée une photo de ses parties intimes. Otis et Maeve enquêtent et découvrent que c’est sa meilleure amie, Olivia, qui est la responsable. Une manière habile pour la série d’aborder et de dénoncer le slut-shaming, une pratique encore trop répandue dans les collèges et lycées. Lorsqu’il s’adresse aux deux jeunes filles, Otis insiste sur le fait que rien ne justifie ou n’excuse ce comportement. L’occasion pour notre héros de pousser les deux amies (mais aussi le spectateur) à prendre soin des personnes qui nous entourent. La fin de l’épisode 5 dans l’auditorium ("c’est mon vagin !") reste l’un des moments les plus forts de la série.

    Prends le temps de connaître ton corps

    Le cas d’Aimee, dans l’épisode 6, pointe du doigt une pratique encore trop rependue lorsqu’un couple hétérosexuel engage une relation sexuelle : le plaisir masculin prime. Les femmes elles, n’hésitent pas à simuler. C’est ce qu’avouera la jeune lycéenne à Otis qui lui conseille… de se masturber – une pratique considérée comme tabou par les femmes, apprend-on au passage. Une manière pour elle d’apprendre à connaître son corps, à être plus en phase avec elle-même, et surtout à savoir ce qu’elle aime. Grâce à cet épisode, Sex Education replace les femmes au centre de l’action et les pousse à faire passer leur plaisir avant celui de leur partenaire.

    En amour, il faut faire preuve de patience

    La personne que vous aimez ne partage pas les mêmes sentiments que vous ? C’est douloureux, mais ça arrive. "L’amour, ce n’est pas des gestes romantiques, ou la lune et les étoiles. C’est juste de la chance. Parfois on rencontre quelqu’un qui ressent la même chose. Un jour tu rencontreras quelqu’un qui t’aimera tel que tu es.", dira Otis à l’un des lycéens qui tente de se suicider au bal. Un conseil qui fait aussi écho à ses sentiments pour Maeve. Moral de l’histoire : en amour, il faut être patient. Et stalker son crush, c’est mal (et illégal).

    Le taboo 100% coquin des acteurs de Sex Education :

     

    Simuler, ça n’aide personne

    Sex Education donne le don dès les premières minutes avec une scène de sexe entre Aimee (Aimee Lou Wood) et Adam (Connor Swindells)… qui ne se finit pas très bien pour ce dernier puisqu’il ne réussit pas à éjaculer. Touché en plein égo, Connor se dope avec trois pilules bleues (et là c’est la catastrophe). Il découvre grâce à Otis (Asa Butterfield) qu’il souffre en réalité d’anxiété de performance : la pression qu’il ressent au lycée et chez lui l’empêchent d’être performant sexuellement parlant. Et en discuter avec un professionnel permet de mettre le doigt sur le problème et régler la situation.

    Il faut être "body-posi"

    Dans l’épisode 2, Otis conseille un couple en difficulté : elle, préfère avoir un rapport sexuel dans le noir, car elle n’aime pas son corps. Lui aimerait la voir pendant l’acte. Afin de régler leurs problèmes de communication, Otis leur demande de dire à haute voix, ce qu’ils aiment chez leur partenaire. Une manière de booster son estime de soi (être "body-positive").

    "On est tous imparfaits, mais ça ne fait pas de nous des gens mauvais"

    Sexualité et religion ne font pas toujours bon ménage. La série Netflix aborde rapidement ce sujet dans l’épisode 3 lorsqu’Otis tombe sur deux lycéens anti-avortement. La jeune fille accuse son petit-ami de l’avoir trompé – parce qu’il a eu des relations sexuelles avant de se convertir et de la rencontrer. Notre sexothérapeute lui fera remarquer que personne ne peut changer son passé, et qu’il faut se concentrer sur le présent. Encore plus lorsque l’on est engagé dans une relation.

    Quand les sentiments ne sont pas là… rien ne sert de forcer

    Dans l’épisode 4, Otis s’intéresse au cas de deux lesbiennes qui se plaignent de ne pas s’entendre sexuellement parlant. Meilleures amies depuis des années, mais en couple depuis quelques seulement, le lycéen comprend rapidement que leur problème n’est pas d’ordre sexuel, mais émotionnel et leur fera la remarque suivante : "On ne choisit pas par qui on est attiré. On ne peut pas fabriquer une relation.". Pour résumer, quand les sentiments ne sont pas là, ça ne risque pas de fonctionner.

    Le slut-shaming, c’est mal est inégal

    Dans l’épisode 5, Ruby découvre que quelqu’un a envoyé au lycée une photo de ses parties intimes. Otis et Maeve enquêtent et découvrent que c’est sa meilleure amie, Olivia, qui est la responsable. Une manière habile pour la série d’aborder et de dénoncer le slut-shaming, une pratique encore trop répandue dans les collèges et lycées. Lorsqu’il s’adresse aux deux jeunes filles, Otis insiste sur le fait que rien ne justifie ou n’excuse ce comportement. L’occasion pour notre héros de pousser les deux amies (mais aussi le spectateur) à prendre soin des personnes qui nous entourent. La fin de l’épisode 5 dans l’auditorium ("c’est mon vagin !") reste l’un des moments les plus forts de la série.

    Prends le temps de connaître ton corps

    Le cas d’Aimee, dans l’épisode 6, pointe du doigt une pratique encore trop rependue lorsqu’un couple hétérosexuel engage une relation sexuelle : le plaisir masculin prime. Les femmes elles, n’hésitent pas à simuler. C’est ce qu’avouera la jeune lycéenne à Otis qui lui conseille… de se masturber – une pratique considérée comme tabou par les femmes, apprend-on au passage. Une manière pour elle d’apprendre à connaître son corps, à être plus en phase avec elle-même, et surtout à savoir ce qu’elle aime. Grâce à cet épisode, Sex Education replace les femmes au centre de l’action et les pousse à faire passer leur plaisir avant celui de leur partenaire.

    En amour, il faut faire preuve de patience

    La personne que vous aimez ne partage pas les mêmes sentiments que vous ? C’est douloureux, mais ça arrive. "L’amour, ce n’est pas des gestes romantiques, ou la lune et les étoiles. C’est juste de la chance. Parfois on rencontre quelqu’un qui ressent la même chose. Un jour tu rencontreras quelqu’un qui t’aimera tel que tu es.", dira Otis à l’un des lycéens qui tente de se suicider au bal. Un conseil qui fait aussi écho à ses sentiments pour Maeve. Moral de l’histoire : en amour, il faut être patient. Et stalker son crush, c’est mal (et illégal).

    Toujours régler ses problèmes avant de conseiller les autres

    Finalement, même s’il arrive à aider ses camarades, Otis n’applique jamais ses propres conseils à lui-même. Si bien qu’au cours des huit épisodes, il va mettre à mal son amitié avec Eric, trahir la confiance de Maeve (en aidant Jackson) et passer à côté d’une possible histoire d’amour avec la rebelle blonde. Ce n’est que lorsqu’il décide de perdre le contrôle qu’il va passer le cap avec Ola.

    FBwhatsapp facebook Tweet
    Sur le même sujet
    Commentaires
    Back to Top