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    Eyes of War
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Eyes of War" et de son tournage !

    Musique et création

    Le compositeur espagnol Lucio Godoy explique comment son travail a été grandement facilité par sa relation privilégiée avec le réalisateur. La réflexion s'est ainsi construite sur la base d'échanges nombreux entre les deux hommes et sur l'intérêt du musicien pour l'histoire en elle-même : "Je dis toujours que lorsqu'un film est bon, écrire la musique me vient facilement. C'est comme si la partition était caché et qu'il fallait simplement la trouver". Tanovic étant lui-même musicien (il interprète d'ailleurs quelques chansons de la bande originale), il a également pu donner au compositeur "des consignes très précises, tout en [l]'encourageant à [s]e sentir libre et à rechercher de nouvelle idées".

    L'oeil de Paz Vega

    L'actrice, révélée par Spanglish en 2004, a avoué avoir succombé à "une magnifique histoire" et à un tournage idyllique : "Tous ceux qui ont participé à de film (...) ont fait d'Eyes of War un véritable poème. Cela se ressent à chaque plan", confie-t-elle.

    Tournage

    Le film a été tourné en Espagne et en Irlande. La production a utilisé les studios ultramodernes d'Alicante et d'autres sites à Jijona, à Elx... Tous ces décors ont servi de cadre pour représenter les principaux lieux de l'action à savoir le Kurdistan, l'Afrique et le Moyen-Orient. A Dublin, le tournage s'est déroulé dans plusieurs quartiers de la ville comme Capel Street, North Great Georges Street ou Kildare Street.

    Naissance d'un projet

    Sollicité pour le projet en 2002, Danis Tanovic a été plutôt séduit par une intrigue qui "dépassait les seuls enjeux du film de guerre". Mais à cette période, il sort juste du tournage de No Man's Land et éprouve le besoin de changer de sujet. Pourtant il se laisse convaincre et s'implique pleinement, conscient que sa situation de réalisateur ayant "(s)on expérience de la guerre", permettrait de donner au sujet une ampleur et une crédibilité.

    Histoire de production

    C'est par l'intermédiaire de Colin Farrell que le producteur Alan Moloney est arrivé sur ce projet. C'est le comédien qui, en parlant d'un scénario qu'il vient de lire, fait part de son enthousiasme au producteur, lui aussi "aussitôt captivé". Le projet se met dès lors très vite en place: "J'ai alors voulu rencontrer Cédomir et Danis car j'avais mon idée sur la mise en oeuvre du projet (...) on tombe rarement sur une histoire dont le héros se sent extrêmement coupable (...) j'ai d'ailleurs pensé à Marlon Brando dans Sur les quais d'Elia Kazan ", ajoute-t-il.

    Lecture enthousiasmante

    C'est à la lecture du scénario que Colin Farrell s'est senti attiré par le projet. Le comédien savait qu'un tel film soulèverait " de nombreuses questions passionnantes", à savoir "pourquoi les protagonistes font-ils ce métier ? Quel impact cela a-t-il sur leur vie ?" Il s'est ainsi interrogé et imprégné du rôle des journalistes dans de telles situations : " (...) La frontière entre le théâtre des opérations et la vie en Europe devient de plus en plus ténue et Mark n'a même plus à partir pour être au cœur de la guerre. J'ai voulu m'approprier cette dimension-là du personnage", confie-t-il.

    Une rencontre de gala

    C'est à un dîner de gala que Christopher Lee et le réalisateur se sont rencontrés pour la première fois. L'acteur avait déjà vu No Man's Land "un film magnifique" qui facilita bien les discussions à propos de son personnage Joaquin Morales. Un point commun assez particulier l'unit entre autres à Tanovic puisqu'ils ont tous les deux connus " la réalité de la guerre. Il sait très exactement ce qu'il veut (...) et je respecte son point de vue".

    Un choix évident

    Quand Kelly Reilly est contactée par Danis Tanovic, sa réponse est immédiate: "C'est un formidable réalisateur qui a un vrai regard (...). Il a l'esprit très pratique, il sait ce qu'il veut mais il n'est ni rigide ni autoritaire. Il est extrêmement généreux (...) c'est formidable d'avoir un metteur en scène qui sache se servir de cette expérience avec autant d'intelligence et la mettre au service de son art ". Le rôle de Diane lui tient particulièrement à cœur car il permet un contre-champ vers ces femmes qui restent au pays et qui, mariées à des photojournalistes sont "très fortes pour pouvoir accepter ce que leurs conjoints font pour gagner leur vie".

    Métamorphose

    Pour interpréter son personnage de journaliste globe-trotter, Colin Farrell a consulté des livres et des photos de guerre, a visionné des documentaires sur la guerre et s'est avoué surpris de "la vitesse à laquelle, au bout de quelques semaines, on s'endurcit". En lisant le scénario, il a été frappé par l'aspect décharné du personnage après son séjour dans les grottes du Harrir. Qu'à cela ne tienne, il est allé jusqu'à perdre près de 20 kilos en suivant un régime à base de café noir et de Diet Coke (!) pour affiner sa silhouette.

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