Un film réalisé entre 2006 et 2009 dans plusieurs villes du Minas Gerais, Brésil, montrant, à travers des interviews, un mini panel des raisons qui poussent les gens à quitter leur ville natale pour s'installer ailleurs.
À l’heure où les ressources hydriques s’amenuisent en Europe, les multinationales de l’eau en bouteille n’entendent pas renoncer à leurs prérogatives. Enquête en France et en Allemagne où les conflits d’intérêts paralysent les espoirs de réglementation.
Souvent considéré comme le premier vidéoclip créé au Canada, le film jette un regard acéré sur les trahisons coloniales, qu’illustrent un montage saisissant d’images d’archives et une ballade composée par le cinéaste lui-même sur le chef Siksika qui, au 19 e siècle, a négocié le Traité n°7 au nom de la Confédération des Pieds-Noirs.
Plusieurs hommes passent une entrevue pour obtenir un emploi qui leur assurera un nouveau départ dans la vie. Au fil des questions qui leur sont posées, des bribes de leur existence nous sont révélées...
Johnny à Dennis à Alfred Comeau, c'est ainsi que les Acadiens identifient un des leurs, car il y a des Comeau tout le long de la Baie Sainte-Marie (Nouvelle-Écosse). Dans la famille Comeau, c'est aussi une manière de nommer trois générations de violoneux vivants.
Il nous a semblé approprié de commencer ces séances par un court métrage sur un cinéma situé en banlieue : le Trianon de Romainville en Seine Saint-Denis, mythique pour avoir accueilli les présentations d’Eddy Mitchell pour l’émission La Dernière Séance. Le film se centre quant à lui sur les coulisses, le travail d’équipe rigoureux et passionné.
Catherine Martin et son équipe empruntent et filment l’itinéraire de l’Océan, la ligne qui continue de relier Montréal et Halifax. Si les trains de marchandises continuent de rouler, le film, lui, nous chuchote que les voyageurs sont de moins en moins attirés par le mythe du chemin de fer. (Denis Côté)
Premier film du cinéaste, où l’on retrouve déjà le terreau de son œuvre : le réalisme documentaire, l’espace social à explorer, la vie quotidienne, le rapport individu-société, les disparités, la société de consommation, la séduction et le bonheur.
Cinq sœurs : Aïcha, Malika, Rachida, Horia et moi Alima. Nous avons entre 50 et 60 ans. Nous sommes les filles de Bakhta et Abdenbi, qui ont quitté l’Algérie pour la France en 1948. Mes sœurs me racontent comment elles ont résisté, chacune à sa manière, au père, aux maris, à la religion, aux préjugés, afin d’être des femmes libres.
Alors qu'elle fait du repérage pour dérober les œuvres de l'artiste Huang Yan dans un hôtel de luxe à Nantes, une voleuse aguerrie est vite rattrapée par l'ange gardien des lieux qu'on appelle la Sozo Girl.
Tandis que l’Allemagne s'efforce de sortir du nucléaire et que la France s’y réengage, un panorama des chantiers en cours des deux côtés du Rhin : démantèlement, traitement des combustibles usés et projets de réacteurs.
Une caméra portée de main en main au gré de transactions et actions d’un grand marché de Kinshasa, démarre une plongée dans les gestes du travail restituant une journée de travail.
À travers le portrait de son grand-père et plus encore de sa mère dont elle assume l’histoire, Daniela de Felice compose un essai personnel sur le fascisme tel qu’il imprègne l’enfance et contamine le quotidien.
Deux villages de montagne, les terrils du Nord, la recherche d'une nouvelle capitale pour la France : trois films-lieux géniaux de Luc Moullet, trois explorations où la fantaisie est inséparable de la rigueur.
En préambule, deux cartes postales filmées issues du film collectif Je vous écris de Seine Saint-Denis (2021), un atelier de réalisation qui s’est tenu dans ce département, encadré par les réalisateurs Bijan Anquetil et Paul Costes.