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    Le Vagabond des mers
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    3,2
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    11 critiques spectateurs

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    AMCHI
    AMCHI

    4 933 abonnés 5 933 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2011
    Ce n'est pas le plus grand film d'aventures que j'ai vu mais c'est très revigorant et ce cinéma un peu désuet et excessivement charmant. Malheureusement ce type de cinéma n'existe plus de nos jours (lorsque je naquis ce cinéma était déjà fini) mais on a toujours plaisir à le regarder de plus il y a le majestueux Errol Flynn, son indéniable charisme apporte beaucoup à ce joyeux film d'aventure.
    Touka Speed
    Touka Speed

    8 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juillet 2014
    Un Errol Flynn vieilli certes mais cela fait plaisir de le revoir ! Finalement un petit film qui passe bien et qui renoue avec le cinéma d'Hollywood d'antan.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    994 abonnés 4 077 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2022
    En 1952, quand il se rend en Angleterre pour le tournage du « Vagabond des mers » de WiIliam Keighley, le dernier des 35 films qu’il a tourné en 18 ans pour la Warner, Errol Flynn à peine âgé de 43 ans a déjà entamé sa longue descente aux enfers qui va voir durant encore onze films son physique de dieu grec se dégrader sur l’écran, signe d’une addiction très marquée mais aussi parfaitement assumée à l’alcool et à toute autre forme de substances illicites. C’est en effet le 14 octobre 1959 à seulement 50 ans que celui qui régna en maître incontesté sur le film de cape et d’épée durant les années 1930 à 1940, meurt à Vancouver au Canada. En 1952, il est toutefois encore assez vaillant pour porter sur ses épaules un film d’aventures où s’il n’est plus aussi alerte que lors de ses films tournés sous la direction de Michael Curtiz, il peut encore tout à fait donner le change grâce à la vigilance de William Keighley qui connaît bien Errol Flynn pour l’avoir déjà dirigé à trois reprises. L’intrigue inspirée du célèbre roman de Robert Louis Stevenson « Le maître de Ballantrae » (paru en 1889) est parfaite pour permettre à Flynn de jouer le noble rebelle se croyant trahi par son frère au moment où en 1745, le prince Charles revient en Ecosse pour en chasser George II (de la maison de Hanovre) et ainsi rétablir la dynastie des Stuart. Obligé de fuir, Jamie Durrisdeer, (Errol Flynn) prend la mer à bord d'un galion pour y mener, en compagnie d’un colonel irlandais (Roger Livesey) devenu son ami, la vie de pirate. Ses aventures vont le conduire jusqu’aux Amériques sur l’île de la Tortue, colonie française, alors repère de corsaires et de flibustiers. Parfaitement photographié par Jack Cardiff, le film possède tous les ingrédients utiles au genre même s’il ne peut en égaler les musts . Amour, trahison, amitiés viriles, batailles navales et autres envolées lyriques sur la défense du royaume sont formidablement servis par les acteurs qui accompagnent un Errol Flynn un peu fatigué mais encore à son affaire. On distinguera parmi eux Jacques Berthier en pirate français raffiné, Gillian Lynne en danseuse exotique explosive de sensualité et Roger Livesey en fidèle copain du héros. Malheureusement rien n’arrêtera le chant du cygne de l’acteur venu en 1935 à Hollywood en provenance de sa Tasmanie natale. « Le vagabond des mers » est l’une des dernières occasions de le voir dans sa splendeur certes vacillante mais encore bien réelle et de pouvoir constater qu’il était aussi un acteur talentueux.
    Freaks101
    Freaks101

    122 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2011
    Excellent film de pirate avec un Errol Flynn un peu empâté à l’époque mais qui n’a pourtant rien perdu de son panache. A la mise en scène, William Keighley enchaîne les péripéties et les nombreuses scènes d’action sans temps mort, à la photo le talentueux Jack Cardiff met parfaitement en valeur les paysage d’Ecosse où se déroule une partie de l’intrigue.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 747 abonnés 12 116 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2012
    D'après l'ècrivain ècossais et grand voyageur Robert Louis Stevenson, cette histoire de frères ennemis permet au bondissant Errol Flynn de vivre des aventures sur la mer en valeureux patriote ècossais poussè à rejoindre, malgrè lui la flibuste! il retrouve ici le cinèaste William Keighley, co-rèalisateur des "Aventures de Robin des bois" qui rèussit l'exploit de recrèer les paysages brumeux des Highlands à Palerme, en Sicile! Un honnête film d'aventures, riche en pèripèties, qui conserve aujourd'hui encore une ètonnante fraicheur grâce à de splendides couleurs et à l'interprètation dècontracte d'Errol Flynn...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mai 2011
    Un film trop souvent oublié, qui se montre cependant bien supérieur à la plupart des aventures marines des années 50, au scénario vu et revu. Errol Flynn est désormais un vieux briscard, mais reste égal à lui-même. Étant fan de l’Écosse et de la culture écossaise, cette histoire de vengeance au sein d'un clan des Highlands m'a vraiment plu. Ceux qui s'attendent à un film de pirate pur et dur doivent cependant se méfier, car malgré un petit détour à Tortuga, l'essentiel de l'intrigue se déroule sur le plancher des vaches, en Écosse. Le titre français est trompeur... Une bonne aventure cependant, bien construite et qui ne laisse pas indifférent.
    Wagnar
    Wagnar

    62 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 octobre 2017
    Bien sûr, le Vagabond des mers se laisse regarder, mais il n'arrive pas à la cheville des grands classiques du film d'aventure et de cape et d'épée l'ayant précédés (l'Aigle des Mers, Capitaine Blood, les Aventures de Robin des Bois). Tous les ingrédients pourtant étaient réunis : château en Ecosse, révolte, amour et trahison, galion espagnol, abordage et coffre au trésor. Pourquoi la mayonnaise ne prend-t-elle pas ? D'abord, n'est pas Michael Curtiz qui veut. Il manque à William Keighley la capacité qu'avait Curtis plus qu'aucun autre, d'insuffler à son récit un souffle épique, ce rythme exaltant qui anime "Capitaine Blood" ou "Robin des Bois", et entraine le spectateur à la suite du héros. "Le Vagabond" est bien filmé, mais sans feu, sans flamme, les combats manquent de brio, les dialogues sont plats, le scénario prévisible et facile, les personnages trop conventionnels et puis surtout Errol Flynn n'arrive plus à convaincre et n'est plus que le fantôme de ce jeune homme fougueux, flamboyant, bondissant et irrésistible d'effronterie et d'élégance qu'il était quinze ans plus tôt. De plus, la production n'a pas eu soin de l'entourer dignement : sa bien-aimée est balourde, son compagnon irlandais insupportablement bavard et son frère terne. C'est vraiment dommage d'avoir causé un tel gâchis d'autant plus que ce film était l'un des derniers feux du film de pirates avec "À l'abordage" et "Le Corsaire Rouge" (deux films largement meilleurs) avant que ce genre ne disparaisse des écrans pour ne revenir que la fin des années 1950 pour une dernière période florissante.
    vivaBFG
    vivaBFG

    9 abonnés 1 125 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juin 2019
    Voilà un film qui parait bien désuet avec ses décors peints, ses cascades et combat façon années 50 mais il reste agréable à regarder. Les combats navals sont corrects et c'est ce qui lui donne un certain charme. Certains VRAIS paysages et surtout le château de eilean donnan castle donne un cachet supplémentaire.
    A voir par les amateurs de film de ces années 50 ou par Errol Flynn.
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    7 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mars 2020
    Si Errol Flynn n’est plus aussi bondissant, il est agréable de le retrouver embarqué dans une aventure plus terrienne que maritime, en dépit de son titre en français. Plaisante, l’aventure se suit avec un certain intérêt dans ce film de cape et d’épée à l’ancienne, même si la structure est clairement boiteuse, la faute à un scénario mal fichu et mal équilibré où on prend le temps de décrire des intrigues secondaires (notamment lors de l’exil du héros) et où expédie un final qui aurait mérité plus de souffle.
    Le spectacle est donc très agréable avec des décors variés (les châteaux d’Ecosse et les mers de la Méditerranée) et quelques péripéties agitées (l’évasion, les duels à l’épée bien sûr). Le recours à une voix off souligne davantage encore la difficulté du réalisateur à rendre son récit limpide, et on avoue que, par moments, on est quelque peu perdu. A vouloir simplifier à outrance la grande et la petite histoire, William Keighley (dont on comprend ici la faible responsabilité dans la réalisation du chef d’œuvre « Les Aventures de Robin des Bois » qu’il a mis en scène avec Michaël Curtiz) passe certainement à côté d’un grand film d’aventure pour se contenter d’une riche série B qui, en moins d’une heure trente, divertit son public. On se contentera de ce résultat honnête, à défaut de plus.
    Laurent R
    Laurent R

    20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2008
    Un classique du cinéma d'aventure, un sérieux fond d'histoire, une aventure aux caraïbes, le technicolor flambloyant et un acteur plein de panache
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 mai 2009
    Voici un film d'aventures et de cap et d'épée "à l'ancienne". Les scènes de duels, de cavalcades, d'abordages, qui abondent , ainsi que quelques baisers discrets, en font un film "tous publics".
    Errol Flynn, toujours sautillant, a tout de même un peu vieilli par rapport à l'incomparable "Robin de bois". Le scenario comporte quelques faiblesses dans la mesure où une voix off est contrainte, un peu trop souvent, de raccorder les différentes parties de l'histoire. Mais on prend toujours du plaisir à découvrir ou redécouvrir, dans des couleurs flamboyantes, l'histoire de l'Angleterre, avec ses châteaux forts, ses bateaux de pirates, ses tavernes bruyantes et autres scènes d'action, qui ont plus ou moins disparu du cinéma contemporain.
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