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    Les Sévices de Dracula
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    11 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 septembre 2010
    Ne cherchez pas le Dracula du titre français, il n'apparaît pas dans le film. Par contre, vous ne louperez certainement pas les jumelles Collinson qui irradient littéralement l'écran de leur beauté et contribuent par leur présence hypnotisante à l'ambiance gothique et érotique de cette incroyable production Hammer. Peter Cushing, dans le rôle du leader d'un groupe d'extrémistes religieux adeptes du bûcher, participe avec sa performance exceptionnelle à la tonalité sombre d'un récit qui ne se fixe aucune limite. Photographie, décors et costumes contribuent également à la réussite esthétique de cette production fascinante qui prend une tournure horrifique insoupçonnée dans son dernier acte. Le mythe du vampire à son meilleur.
    Estonius
    Estonius

    2 378 abonnés 5 185 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 avril 2015
    Assez bien réalisé dans le pur style Hammer et illuminé par la présence magique et pulpeuse des sœurs jumelles Madeleine et Mary Collinson, le film est hélas handicapé par un scénario primaire (et c'est rien de le dire) et qui trouve le moyen de nous affirmer que les inquisiteurs étaient de braves hommes, ils étaient simplement mal informés ! A ne regarder donc qu'au deuxième degré.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    565 abonnés 2 733 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2021
    Twins of Evil s’empare du thème du double maléfique pour l’insérer fort judicieusement dans une période historique marquée par l’obscurantisme religieux et la chasse aux sorcières. Car les jumelles agissent à la manière d’un miroir reflétant deux femmes comme deux versants d’une même femme, l’un du côté du bien, l’autre du côté du mal, qui renvoie également – et peut-être surtout – à la confrérie l’image de sa propre démence et inhumanité. L’évolution du récit s’incarne dans le personnage de Gustav Well, fanatique décati que campe un Peter Cushing saisissant d’austérité : il trouve là l’un de ses plus beaux et de ses plus puissants rôles, dans lequel il semble greffer son propre désespoir, l’acteur venant de perdre son épouse. Les sœurs Collinson diffusent dès leur arrivée un érotisme savoureux qui détonne avec la froideur d’ensemble, donnant lieu à un choc thermique que la clausule convertit en une jouissance gore et macabre délectable. Une belle surprise.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 736 abonnés 12 114 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2009
    Inspirè de Carmilla, le roman de Sheridan Le Fanu, "Les sèvices de Dracula" est le troisième et plus cèlèbre volet d'une trilogie consacrèe au comte de Karnstein, cèlèbre vampire! Mis en scène par John Hough, le film est reprèsentatif du style des productions fantastiques anglaises de l'èpoque: imagerie gothique, couleurs chargèes, èrotisme sous-jacent et omniprèsent! Pour renouveler le mythe du vampire, John Hough s'autorise des libertès et sa crèature supporte la lumière du jour et ne peut mourir que par dècapitation! Vedette incontestèe du genre, Peter Cushing a une fois de plus la charge de combattre le vampirisme! Les deux hèroïnes sont interprètès par les soeurs Collinson, les toutes premières jumelles à avoir posè pour Playboy! Gorges nouèes et coeurs haletants...les fans seront certainement satisfaits...
    Wagnar
    Wagnar

    62 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2019
    Nous sommes à l'époque où la Hammer commence à décliner. Tout en poursuivant sa série des Dracula, elle produit également d'autres films de vampires dans lesquels, conventions de l'époque, elle rend la violence plus explicite tout comme l'érotisme. C'est le cas dans les Sévices de Dracula avec les nudités quoique brèves, les décolletés féminins et la sensualité de certaines scènes et niveau violence, on a en pour notre argent, enfin pour un film Hammer de cette époque (visage brûlé par un coup de torche, ventre percé, décapitation). Le déclin étant en oeuvre au sein de la Hammer, les Sévices de Dracula (titre mensonger car Dracula n'apparaît nullement dans l'histoire) ne peut s'empêcher de comporter des faiblesses : le vampirisme que traitait la Hammer avec grand talent dans le Cauchemar de Dracula, le Baiser du Vampire ou encore les Maîtresses de Dracula, se retrouve mêlée ici à une histoire certes assez originale à la base mais qui n'apporte pas grand chose de nouveau aux habitués des films de vampires. On se demande pourquoi le personnage de Mircalla disparaît sans raison; l'opposition entre les deux jumelles est un peu trop facile et le film frôle souvent le ridicule, voire l'atteint comme avec le comportement parfois hystérique de la confrérie de chasseurs de sorcières. Il y a également quelques facilités scénaristiques : Maria qui parle dans son sommeil, laisse tomber la croix qui la protège, ne se réveille même pas alors qu'on la transporte et que le comte Karnstein et Fried parlent tout haut à côté d'elle, mais par contre, quand Gustav l'appelle doucement, elle ouvre les yeux ? En tout cas, le film est bien plus réussi que les Dracula qui sortaient à l'époque, également produits par le même studio.
    Les points forts du film consistent en sa mise en scène efficace, à ses décors et ses costumes fastueux et variés, au grand talent de Peter Cushing en son habituel rôle de chasseur de vampires (ici plus cruel et radical que jamais) qu'il tenait dans le Cauchemar de Dracula, les Maîtresses de Dracula - ce qui n'est pas sans rappeler Vincent Price dans le Grand Inquisiteur - et aussi l'interprétation énergique de David Warbeck (Anton) en jeune premier. Citons aussi la délicieuse présence des deux jumelles (dont les interprètes ont posé pour Playboy) et également la très bonne d'idée de susciter le doute quant aux rôles des gentils tenus au départ ici par les chasseurs de sorcières barbares et radicaux jusqu'à un final manichéique à souhait. Au final, grâce à sa réalisation soigné, la prestation de ses acteurs principaux et à son scénario certes peu innovant mais bien écrit, les Sévices de Dracula reste un très agréable divertissement pour les amateurs du film de vampire "à l'ancienne".
    zafkiel
    zafkiel

    41 abonnés 884 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juillet 2015
    A part les décors enivrants et quasi authentiques, rien de bien transcendant à retenir de ce film. Le jeu d'acteur est médiocre, le pire étant celui de Karnstein, le comble pour le personnage maléfique du film. L'histoire est bateau, mais mieux réalisée et avec de meilleurs acteurs, on a droit ici à une pauvre daube qui n'effraye pas une seule seconde.
    Run
    Run

    3 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2021
    Peter Cushing contre les Sorcières Vampires. Les jumelles sont sympathiques, l'une plus effrontée que l'autre. Le Comte Karnstein tient bien tête à oncle Gustav Cushing, prêtre trop ancré dans son dogme qui effraie ses nièces. Anton est intéressant. Cette chasse littérale aux sorcières se laisse suivre bien que plutôt lente à se dérouler. De l'érotisme typique de ce début des 70s. Sans Cushing et ses jolies nièces, ce ne serait pas vraiment un bon film. Un casting salvateur. Ah, j'oubliais, il y a des villageois en colère avec des torches. Un beau final. Tout est rattrapé.
    Thibault F.
    Thibault F.

    43 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 novembre 2015
    Un nouveau Hammer avec un réalisateur que j'apprécie (John Hough), que demandez de plus? Malheureusement, si le film reste un délice pour ses décors, son atmosphère gothique et sa sexualité débridée, "Les Sévices de Dracula" reste pas moins un Hammer mineur où Peter Cushing semble faire de la figuration. Voulant surfer sur la vague des vampires dans les années 70, le film se perd rapidement entre inquisition, chasse aux sorcières et vampires. Un meeting-pote qui ne fait pas nécessairement bon ménage malgré une fin (in)attendue, des moments gores assez bien réalisés... Cela reste néanmoins pour les fans de la Hammer (qui sont nombreux) un moment divertissant, un léger plaisir coupable de (re)tomber dans l'horreur du studio anglais.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    25 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 août 2021
    Pas du tout le meilleur Dracula de la Hammer. Même si Peter Cushing est impeccable en chasseur de vampires & autres sorcières, le bellatre Inigo Jackson est très très loin de Christopher Lee. La Hammer a voulu ajouter une petite touche d'erotisme qui se traduit par des décolletés plongeants et un sein en ombre chinoise (1971 en Angleterre faut pas rêver non plus). En dessous du niveau habituelle de la célébre firme. 2 / 5
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    7 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 septembre 2020
    Au début des années 1970, la société a brusquement changé. La libération sexuelle est passée par là et un ton plus subversif est devenu la norme. Dans ce contexte, les films d’épouvante sont en pleine mutation et ce qu’on ose montrer à l’écran est désormais plus radical que ce qu’on pouvait montrer il y a tout juste quelques années. C’est le moment évident du déclin de la Hammer dont les films vont très vite devenir dépassés.
    Voulant s’accrocher au genre et à son époque, « Les Sévices de Dracula » cherche à coller avec son époque. Plus gore et plus dénudé que les précédentes productions, il s’efforce de moderniser un savoir-faire que la Hammer maîtrise depuis plus d’une décennie avec des moyens parfois limités. Si Peter Cushing est toujours là en personnage aussi malsain que ceux qu’il veut combattre (l’Inquisition face aux forces du mal), si les décors se veulent toujours aussi particuliers, l’ambiance est ici moins réussie. Les couleurs flamboyantes ont cédé leur place à une atmosphère plus terne et on sent une volonté de se rapprocher de quelque chose de plus réaliste.
    Or la force des films de la Hammer de la grande époque, c’est justement cette atmosphère volontiers poétique et onirique qui mythifie des histoires plutôt que de tout faire pour les rendre réalistes. On y perd ici toute la substance qui fait le charme si particulier de cette précieuse société de production. « Les Sévices de Dracula » n’est pas en lui-même un mauvais film mais (et c’est une drôle d’ironie) il paraît sans âme, s’évertuant à cocher les cases attendues par un spectateur plus moderne. Plus sanguinaire, plus érotique, il en oublie ses personnages (aucun n’est vraiment passionnant), l’intrigue tourne parfois à vide et certaines situations sont proches du ridicule. On sent bien à la vision de ce film que le déclin de la Hammer est inexorable car la magie n’opère plus même si la réalisation est suffisamment solide pour sauver les apparences.
    Alphasantore
    Alphasantore

    1 abonné 31 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2019
    Film de la Hammer production, faisant parti de ce qu'on pourrait appeler la "trilogie comtesse Mircalla Karnstein", car ce personnage est présent, plus ou moins longuement dans chacun des trois longs métrages. Les deux autres films étant "Lust for a vampire" et "the vampire lovers". Le nom de Dracula est présent dans le titre du film mais ce personnage ne s'y trouve pas une seule fois. Excellent film, très bien tourné, dans cette ambiance typique des films de la Hammer.
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