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    A l'est de Shanghai
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    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    138 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2006
    "Rich And Strange", daté de 1932, est l'une des premières réalisations parlantes du maître incontesté Alfred Hitchcock, alors au tout début de sa carrière Britannique. Mettant en scène un couple battant de l'aile, le film se désigne comme une comédie de moeurs sociale. Au cours d'un voyage autour du monde (rien que ça !), nos deux amis se remettront longtemps en question pour finir toutefois sur un happy-end (de toute manière, on le savait, c'est revendiqué). Ce qui ne veut pas dire que tout était écrit à l'avance, bien au contraire. Excellente surprise, l'ensemble est plein de rythme, de péripéties jamais en trop, d'inventivité dans l'humour aussi bien de manière visuelle que par les dialogues, et trouve un certain charme au final. Pas si démodée que ça, le fait que l'oeuvre ait été tournée deux ans avant la mise en place du code Hays lui permet d'évoquer quelques éléments impensables par la suite devant une censure puritaine. Tout cela est bénéfique car on se rend vite compte que même en se posant tel un simple divertissement, "Rich And Strange" n'est pas si conventionnel qu'il peut le laisser croire : percutant, il s'agit surtout d'une satire efficace, parfois méchante, loin d'être moribonde. La mise en scène ne transpire pas tellement la classe mais peu importe : certains thèmes récurrents chez le cinéaste demeurent présents, notamment dans l'évocation du couple et d'une sexualité à peine dissimulée. Interprétation efficace quoique pas toujours subtile, scénario intéressant (dans son intrigue comme dans ses personnages), propos universel toujours d'actualité, libertés prises avec les studios, ce film a tout ce qu'il faut pour faire passer une très bonne soirée. Maintenant, de là à dire que c'est du grand cinéma, sûrement pas : Hitch nous a habitués à tellement mieux...
    fandecaoch
    fandecaoch

    957 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 décembre 2015
    A l'est de Shanghai : Encore une fois, pas le plus connu de notre chez maitre du suspense Alfred Hitchcock, mais c’est une de ses œuvres inhabituel et plutôt original, car elle est loin des thrillers a suspense que on a l’habitude de voir. Et ce n’est pas plus mal de le voir dans d’autre registre, surtout quand il maitrise. La, on a le droit plus a une romance dramatique avec une pointe d’humour typique des films muet et c’est fort sympa et c’est surtout du aux personnages et a leur mimiques et c’est vraiment un régale. Et pour la petite histoire, c’est un couple qui s’ennuie dans leur vie routinière sans aventure, après un héritage, il décide de ce faire une croisière en amoureux mais l’argent va vite leur monté a la tête et le couple va être tenté par une presse pour lui et un gentleman pour elle qui lui faire rêve la vie meilleur sans son mari. Donc voila, le scénario est remplit de subtilité avec une bonne morale à la fin et vraiment, l’histoire est soigné car il y a de réel question posé sur le couple et les tentations, l’argent fait t’il le bonheur ? Quel est le bonheur dans un couple ?... Et puis malgré tout, il y a un suspense qui s’installe car on ne sait pas comment le film va se finir, il y a pas mal de rebondissement, surtout vers la fin donc on peut dire que le maitre du suspens a encore frappé. Mon après coté rythme, on peut divisé le film en quatre, la première est parfait, deuxième, le rythme est moins soutenu, ça repart avec la troisième et la fin stagne un peu, dommage pour un film de 1H20 mais bon, ça va encore. Et pour ce qui est de la réalisation, c’est du pur génie, ça c’est du cinéma, le montage est excellent, les plans de camera créatifs et ingénieux, non vraiment, Alfred Hitchcock a du talent. Donc voila, pas un film majeur de réalisateur mais un exercice plutôt maitrisé.
    Frédéric P
    Frédéric P

    14 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2019
    Ce film à mi-chemin entre le muet et le parlant avec cartons et dialogues contient de très nombreux exploits de réalisation.
    Il est parsemé de touches d’humour.
    La première scène dans une entreprise de comptabilité comporte un mouvement de caméra étonnant : un plan-séquence en panoramique et en plongée progressive embrasse tout le moment de sortie des bureaux. Puis la routine de la vie quotidienne boulot-métro-foyer est montrée à travers un passage comique dans la rame de métro avant l’arrivée à la maison où son épouse coût elle-même ses robes. La générosité d’un oncle est le pretexte à vivre une vie de riches en partant en croisière vers l’orient. Le voyage est bientôt l’occasion de s’essayer à de nouvelles rencontres pour les deux membres du couple. La richesse n’a pas apporté le bonheur dans le couple mais l’a plutôt cassé. La vitesse de la caméra et la densité des idées, la profondeur de champ, le cadrage sur des détails révélateurs, la qualité du montage et des éclairages nous annoncent l’immense réalisateur qu’est déjà Alfred Hitchcock.De l’humour et une réflexion sur la vie, le couple, l’argent dans la première partie du film et un court moment de basculement vers l’angoisse pour le retour. Cependant le film n’est pas un thriller et peut déconcerter.
    Henry Kendall joue encore au début comme un acteur du muet alors que Joan Berry paraît beaucoup plus moderne mais cette impression se dissipe au fur et à mesure du film. Ce film est vraiment un point de basculement entre deux esthétiques.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    516 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2011
    Heureusement qu'il y a Joan Barry pleine de charme et de douceur,belle à ravir et plus qu' adorable malgré un mari odieux,stupide et peu sexy pour couronner le tout. Ce sixième film parlant de la période anglaise n'est pas du tout passionnant ,l'histoire de bas niveau est anecdotique, les décors ''made in England'' ne trompent personne et le deuxième degré inexistant...Si c'était pour nous prouver que les rêves sont loin de la réalité ,c'est raté. De temps en temps le futur talent du Maître perce mais uniquement sur le personnage féminin qui a ici un rôle déterminant. A vrai dire, on ne voit qu'elle. C'est un rêve pour tout homme d'épouser une femme pareille surtout après 8 ans de mariage. En dehors , tout est méchanceté ou égoïsme. Même le chat à la fin,malgré le sort de son congénère, n'a pas droit à une seule caresse;il est juste éjecté de la table un poil moins violemment qu'au début. Au passage Hitchcock nous montre bien que les chinois n'ont aucune notion des ''droits de l'homme''.Bref un film historiquement intéressant mais sans importance comparé à ''Une femme disparaît'' ou aux '' 39 marches''
    Ti Nou
    Ti Nou

    405 abonnés 3 355 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2010
    Malgré un bon début où Hitchcock retrouve l'humour du muet (qu'il n'a quitté que depuis peu de temps), le film s'enlise dans sa peinture du couple sans enfant, tour à tour drôle et grave mais jamais franchement passionnante.
    Plume231
    Plume231

    3 472 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2010
    Le film de sa période anglaise qu'Alfred Hitchcock préférait peut-être parce qu'il est très légèrement autobiographique. Même si c'est loin d'être sa meilleure oeuvre et qu'elle est clairement mineure, "A l'Est de Shanghaï" est un film qui fonctionne plutôt bien. On peut déplorer parfois un manque de rigueur dans la mise en scène et l'absence des éclairs de génie habituels du réalisateur mais le rythme, en particulier dans la seconde partie, est très bon et les péripéthies sont nombreuses. Le couple Joan Barry-Henry Kandall est charmant et on ne peut que souligner la franchise étonnante pour un film de cette époque avec laquelle le Maître aborde la sexualité. Seul Ernst Lubitsch pendant cette période avait osé se montrer aussi audacieux sur ce thème. C'est ce qui donne un léger piment à ce film très inhabituel par rapport au reste de la filmographie d'Hitchcock.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    664 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 janvier 2019
    Clairement pas une oeuvre marquante dans la filmographie d'Alfred Hitchcock, "A l'est de Shanghai" m'aura même quelque peu déçu au niveau de son histoire qui s'avère finalement bien banale dans son ensemble. La réalisation d'Alfred Hitchcock propose par contre quelque belle idée et j'ai beaucoup aimer la prestation de la jolie Joan Barry qui fait preuve de beaucoup d'émotions, ce qui rend son personnage bien touchant. A voir donc tout de même pour les fans du réalisateur, mais bon ne vous attendez pas à du grand cinéma.
    Estonius
    Estonius

    2 473 abonnés 5 225 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2020
    Le film commence en fanfare visuellement et techniquement avec notamment cette incroyable scène de l'ouvertures des parapluies. Ensuite et sans doute parce que l'intrigue est simple, Alfred nous ballade, puis les choses se compliquent et le ton jusqu'ici léger va devenir plus grave. En fait il s'agit d'adultères mais de deux adultères traités bien différemment. Pas de suspense disent certains, auraient-ils oublié la scène spoiler: dans la cabine de l'épave du bateau
    ? Quant à la fin spoiler: elle est plus désabusée que morale, manifestement l'homme fait des efforts, les disputes recommencent. Hitchcock est-il sincère en croyant qu'un bébé arrangera tout ?
    Allez savoir ! Ce film est une curiosité, il en a d'autres dans sa filmo, mais on ne s'ennuie pas une seconde, Joan Barry et Betty Amman sont charmantes, il y a juste une petite longueur, un bon film !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 169 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2020
    “A l’est de Shanghai” est une comédie dramatique d’Alfred Hitchcock. Suite à un héritage, un couple londonien entreprend une croisière pour rompre l’ennui du quotidien. Fred reste le plus souvent cloué dans sa cabine par le mal de mer. Pendant sa croisière, il s’éprend néanmoins d’une soi-disant princesse. Sa femme Emily se laisse quant à elle séduire par un homme plus âgé. Une fois sur les terres de Shanghai, le couple se retrouve considérant que l’union du couple l’emporte sur la tentation de l’adultère. Le burlesque façon Chaplin laisse ensuite place à une sorte de survival movie avec le naufrage de leur cargo. Alors qu’ils pensaient mourir noyés, une jonque chinoise vient piller leur navire. Ce long-métrage est encore à la croisée du muet et du parlant. Les dialogues sont alors peu nombreux et les cartons descriptifs sont encore présents. Pourtant, l’oeuvre est assez originale dans la filmographie du réalisateur et vaut pour la fraîcheur de la mise en scène et les péripéties des protagonistes.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2017
    Une bonne surprise que cette comédie qui mêle passion et aventure et constitue l'un des premiers films parlants du Maître. Certes, ici, aucun suspens insoutenable et un canevas scénaristique simpliste mais on suit avec intérêt cet album de cartes postales, où Port Saïd se résume à quelques édifices orientaux observés depuis le bateau et à quelques marchands qui proposent leurs babioles aux passagers fraichement débarqués.
    La première séquence, qui montre l'aliénation des travailleurs à la sortie du bureau et dans le métro, reste saisissante.
    Benjamin A
    Benjamin A

    647 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juillet 2016
    Alors qu'il fait encore carrière sur le sol britannique, Hitchcock enchaîne les films à toute vitesse et, avec Rich and Strange, il en est déjà à son sixième film parlant, deux ans seulement après son premier Blackmail.

    Il s'éloigne ici des thèmes et du style qui feront sa renommée dans la suite de sa carrière et aborde le couple, la fidélité ou encore la sexualité à travers cette oeuvre co-écrite avec sa femme et qui semblerait contenir quelques touches autobiographiques. Il nous transporte au cœur d'une croisière où un jeune couple testera la solidité de leur amour, et tenteront d'échapper à l'ennui de la vie citadine londonienne.

    Si on est loin de la qualité de ses meilleures œuvres, qu'elles soient anglaises (Les 39 marches, Une Femme disparaît, Frenzy...) ou américaine (Rebecca, Psycho, Vertigo...), Rich and Strange n'en reste pas moins intéressant à plus d'un titre. Le futur maitre du suspense bénéficie de personnages intéressants, rendant le film plutôt plaisant à suivre et il n'en oublie pas non plus quelques petites touches d'humour et de légèreté, rendant cette étude des moeurs et des comportements moins anecdotique qu'elle n'y paraît. C'est d'ailleurs là que le film est plutôt surprenant, dans sa façon d'aborder ces thèmes et d'être assez direct.

    Après c'est tout de même loin d'être transcendant et ça ne dépasse jamais le cadre du "intéressant" et plaisant. C'est assez bien rythmé pour ne pas voir l'ennui pointer son nez et les péripéties sont nombreuses. Niveau mise en scène, malgré quelques effets plutôt sympas, Hitchcock a déjà été bien plus inspiré, que ce soit avant ou après. Un certain charme se dégage tout de même de Rich and Strange et Hitchcock bénéficie de bonnes interprétations (à noter qu'il ne fait pas son habituel caméo), notamment Joan Barry qui apporte une vraie touche de douceur dans ce monde de brutes...

    Si Hitchcock est loin de ses plus belles années, tant dans le style que la qualité, Rich and Strange n'en reste pas moins un film plaisant où il aborde le couple et ses complications tout en bénéficiant d'une Joan Barry qui ne manque ni de douceur, ni de charme.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 janvier 2011
    une comédie romantique où hitchcock se disperse entre un mari veule et une épouse plus volontaire, il arrive tout juste à sauver le film grace à son humour.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2023
    À l’est de Shanghaï était le film qu’Alfred Hitchcock préférait dans sa période anglaise. S’il n’est pas le meilleur, cela peut s’expliquer par le fait qu’il est sûrement son plus personnel. En effet, il traite du thème du mariage et on peut penser que le réalisateur et sa femme, Alma Reville, ont sûrement instiller certaines interrogations qu’ils se posaient sur leur propre couple puisqu’ils sont crédités respectivement comme adaptateur et scénariste (avec Val Valentine). Il en découle une vision extrêmement cynique sur le couple où le bonheur amène à l’ennui, à l’envie d’adultère (recherché par les deux partis) et à la séparation. Toutefois, cette vision est également assez moraliste puisqu’elle montre que c’est dans les difficultés qu’un couple se renforce et découvre la puissance des liens qui l'unissent. Le ton du film pourra désarçonner le public car, outre le fait que nous ne sommes pas face à une histoire à suspense comme on pourrait l’attendre d’Hitchcock (même si cela était moins vrai à l’époque), le long-métrage débute comme une comédie (on peut penser à Chaplin ou Tati dans les premières séquences) puis vire petit à petit vers une comédie dramatique tout en conservant un ton assez léger. Si on accepte cette originalité, on pourra prendre beaucoup de plaisir devant cette œuvre et en même temps y trouver matière à réflexion tout en appréciant la beauté de certaines images spoiler: (le gros plan de la "princesse" ouvrant le voile dissimulant son visage est tout bonnement magnifique)
    et certaines idées de mise en scène spoiler: (la visite de Paris permet des expérimentations de montage)
    . À l’est de Shanghaï est donc une œuvre originale dans la filmographie de son réalisateur mais aussi très certainement un bon moyen de mieux connaitre les interrogations personnelles de l’homme Hitchcock.
    Housecoat
    Housecoat

    102 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 janvier 2019
    Après la révolution que constituait Chantage, Rich and Strange fait penser à une régression chez Alfred Hitchcock. Les différences entre ce film et le reste de sa filmographie nous font presque nous demander si c'est bien lui qui est à la barre. Un prologue burlesque, des personnages colorés, aucun caméo du Maître, et le genre du film en lui-même qui n'est clairement pas celui qui l'a fait connaître. Car on a bien affaire à une comédie, une comédie qui sait où aller mais qui reste timorée dans toute ses directions. Cela dit, c'est très loin d'être vide. Le début présente en un temps record les ambitions de leurs personnages et en quoi leur voyage va les changer, Rich and Strange se présente dès lors en un road-movie dont le fil rouge n'est autre que l'évolution de son couple. Un mari ennuyé qui veut sortir du train-train en vivant une aventure fantasmée et une épouse routinière qui découvre un amour révélateur de sa condition. Hitchcock emploi des gimmicks grossiers pour les éléments les plus vains (le mal de mer, l'exploration de Paris, les pancartes intertitres inutiles) mais les plus subtils pour les éléments les plus importants (la tempête, le chat, le steak et le pudding). C'est un voyage dont les étapes transforment totalement notre duo pour rendre leur vie de couple satisfaisante. En comparant avec d'autres modèles d'Hitchcock, l'issue de leur histoire ne semble pas prendre de risque (on peut même parler de rétropédalage à ce niveau) mais la direction choisie est très claire. Le but n'est pas de nous miroiter un conte de fées, juste de nous montrer en quoi une vie à deux peut avoir besoin d'épreuves pour exister sereinement.
    Jean-François S
    Jean-François S

    41 abonnés 667 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Voulant changer de registre, Hitchcock s'essaye avec "A l'est de Shanghaï" à la comédie romatique. Ce fut un échec commerciale retentissant. Il faut dire que le scénario n'est pas très bon et qu'Henry Kendall dans le rôle de Fred est particulièrment mauvais quant il essaye d'être drôle. On retiendra tout de même quelques séquences comme l'ouverture du film où le talent de metteur en scène de Hitchcock crève l'écran.
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