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    September
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    30 critiques spectateurs

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    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 décembre 2011
    Un assez beau film, dans lequel Woody Allen n'apparaît pas en tant qu'acteur. La réalisation est très soignée, mais le scénario me semble un brin convenu ( au sens de trop classique ). Voyez plutôt: une jeune femme du nom de Lane ( Woody Allen reprend comme actrice fétiche sa femme Mia Farrow ) aime Peter, mais celui ci est épris de Steffie, la meilleur amie de Lane qui se trouve être mariée à un autre homme. Les personnages possèdent une certaine épaisseur, ce qui les rend attachants et intéressants, bien qu'ils semblent faire du sur-place tout au long de l'intrigue. Ainsi, September perd en péripéties ce qu'il gagne en psychologie et situations intimistes. L'interprétation est excellente, que ce soit Dianne Wiest ( qui joue le rôle de Steffie ) ou encore Denholm Elliot ( l'ami d'Indiana Jones, c'est lui ) dans le rôle du professeur de français, amoureux de Lane. Formellement, le film est donc très beau ( superbe photographie de Carlo Di Palma ); il se dégage de September un profond sentiment de mélancolie ( au niveau du fond, le film est donc poignant, bien que conventionnel ). Un drame teinté d'amertume signé Woody Allen.
    Lotorski
    Lotorski

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mars 2010
    Un drame pas trop mal, quand même un peu "lourd" par moments.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 juin 2009
    Quel avenir pour la passion rationnelle ?

    Prémisces de la passion irrationnelle.

    La passion pose la question comme concept déductif de la connaissance.
    "Il n'y a pas de passion irrationnelle", écrit en effet Kant. Il est alors évident que Kant particularise la démystification rationnelle de la passion. Il convient de souligner qu'il en systématise l'analyse morale en regard du holisme bien qu'il donne une signification particulière à la relation entre holisme et raison, et la passion nous permet d'ailleurs d'appréhender un holisme en regard du holisme. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il identifie la démystification spéculative de la passion, et on ne saurait ignorer l'influence de Hegel sur le holisme minimaliste, pourtant, il est indubitable qu'il conteste le holisme rationnel de la pensée individuelle bien qu'il examine l'expression idéationnelle de la passion. Notons néansmoins qu'il en interprète l'aspect existentiel en tant que concept déductif de la connaissance.
    Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il spécifie l'analyse substantialiste de la passion, et que d'autre part il en particularise l'analyse morale sous un angle empirique, alors il donne une signification particulière à la destructuration existentielle de la passion.
    Cela nous permet d'envisager qu'il conteste la conception circonstancielle de la passion et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il conteste la relation entre certitude et platonisme, et si d'autre part il en donne une signification selon l'analyse subsémiotique dans une perspective bergsonienne contrastée, c'est donc il systématise la conception générative de la passion.
    La passion ne saurait, finalement, se comprendre autrement qu'à la lueur du holisme transcendental.

    Par le même raisonnement, il rejette le holisme existentiel dans sa conceptualisation. La passion ne se borne ainsi pas à être un holisme dans son acception cartésienne.
    On ne saurait alors assimiler, comme le fait Montague, le hol
    Béatrice G.
    Béatrice G.

    63 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Amour, bonheur, succès,... des thèmes récurrents dans les films de Woody Allen mais traîtés de manière un peu différente, un peu plus grave, ici dans ce presque huis-clos où se cotoient six personnes qui vont tentés tant bien que mal de communiquer et de s'apprivoiser. Cependant, si le ton est peut être plus sombre que d'habitude, les dialogues sont toujours aussi soignés et même peut être plus pertinents car plus posés; moins "digressions métaphysiques" si je puis dire. La réalisation quant à elle est à la hauteur: simple mais efficace, à noter en particulier cette séquence "à la bougie", très belle; et le casting est très bien: on y retrouve évidemment l'indéboulonnable Mia Farrow ainsi que d'autres plus ou moins habitués tels que Dianne Wiest, Sam Waterstone, Elaine Stritch,Jack Warden... Enfin tout ça pour dire que, bien qu'assez méconnu, September se révèle être un film très fin et touchant, dont on aurait tort de se priver.
    Benjamin A
    Benjamin A

    646 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2014
    Dix-septième film de Woody Allen et septième (sur treize) collaboration avec son ancienne muse Mia Farrow, « September » nous fait suivre Lane, qui va soigner sa dépression dans la maison de son enfance mais voit divers personnes dont sa mère, une jeune écrivain et sa meilleur amie venir troubler sa vie et sa stabilité.

    Avec « September », il s’éloigne un peu du style qui a fait sa popularité avec « Annie Hall » et « Manhattan », celui où l’on suivait les aventures sentimentales de son personnage de petit juif chétif et grincheux où il étudiait les rapports humains. Il n’est pas sans rappeler « Intérieurs » et annonce son prochain « Une autre femme », où il lorgne parfois sur Ingmar Bergman.

    Il nous livre un huis-clos (avec un décor unique !) et braque sa caméra sur les protagonistes, leur évolution et relation. Les personnages sont bien écrit (tout comme le déroulement de l’histoire) et Woody Allen les rend intéressant, autour de Lane, sensible et fragile, on a la mère, une ancienne actrice maintenant fantasque et autoritaire dont les mémoires doivent être rédigé par un écrivain dont Lane est amoureuse mais qui est plus proche de sa meilleurs amie. Tout ce petit monde est réuni et Woody Allen étudie leur comportement et leur relation entre solitude, cruauté et passé douloureux tout en donnant un climat de malaise tout en étant mélancolique.

    De plus les personnages bénéficient de solides interprétations et d’une direction impeccable et en particulier Mia Farrow dans le rôle de Lane, parfait dans la peau de cette personne fragile qui verra toutes ses personnes chamboulées sa vie et son bien-être.

    Un drame de Woody Allen réussi et captivant de bout en bout, bénéficiant de solides interprétations et d’une bonne qualité d’écriture.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    908 abonnés 4 829 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2018
    Le temps d’une soirée, 6 rencontres et discussions intimes et feutrées dans une maison chaleureuse. Tout est propice aux confidences. On se croirait dans un film de Bergmann. Si ce n’est pas voulu, c’est un bel hommage.
    WA qui utilise souvent le rire pour faire avancer la pensée s’attache ici aux relations plus profondes qui unissent les êtres.
    Très beau.
    Alain D.
    Alain D.

    490 abonnés 3 201 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2023
    Une jolie Comédie dramatique écrite et mise en scène par Woody Allen. Pourtant, Ne cherchez pas d'action dans ce huis-clos émouvant, ou l'on ne retrouve pas l'humour si cher à Woody.
    Outre une grande performance d'actrice de Mia Farrow, le film nous offre également les belles présences d'Elaine Stritch dans le rôle de Diane (the mother's Lane) et de Jack Warden dans celui de Lloyd (Diane's husband).
    Le sujet : Lane, 40 years, en dépression, vient passer un moment chez ses parents dans une maison de campagne bourgeoise du Vermont. Une maison de gens seuls : Peter l'écrivain, interprété par un brillant Sam Waterston, qui craque pour sa meilleure amie, la charmante Stephanie jouée par une excellente Dianne Wiest.
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 juillet 2017
    September est un éloge de la vulnérabilité, Diane Wiest et Mia Farrow s'octroient des passages délicats et bouleversants mais l'ensemble est trop mince pour moi ... Un film qui n'est que souffrance, à force le récit s’esquinte et ne retrouve guère l'impact des premières minutes. Quelques fulgurances sont à notés, les dialogues sont très bien écrit, le bon mot est une habitude pour Woody Allen. Le film le plus rude de sa part, j'avais beaucoup aimé Intérieurs qui se trouve être dans une veine similaire mais ce coup-ci l'ensemble m'a beaucoup trop dérouté.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 25 février 2013
    Plutôt léger coté scénario et pauvre techniquement seul quelques scènes nous empêche de fermer l'oeil, Pas précisemment mauvais donc mais sans grand intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 août 2019
    Woody Allen a toujours aimé revisiter son cinéma à la sauce des grands artistes qu’il admire, que ce soit Fellini, Hitchcock ou Bergman, mais la rencontre de ses ingrédients habituels avec le drame tchekhovien est l’une des greffes les moins fécondes de sa carrière. September n’est pas tout à fait mauvais, mais il est terne, monochrome, répétitif et sans âme (sinon celle qu’y mettent tant bien que mal les comédiens). Du Allen très très mineur.
    SpiderBaby
    SpiderBaby

    38 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2012
    Allen ne s'en est jamais caché, il est un fan absolu du cinéma de Bergman. September est (avec Intérieurs apparemment, que je n'ai pas vu), son film où la filiation avec le maître suédois est la plus évidente. Chronique douce amère, sur les moeurs amoureuses et contrariées d'individus de toutes générations, dans un lieu clos, voilà de quoi il est question ici. La vision de September coule toute seule, plaisamment, mais sans toutefois tutoyer les sommets, que Bergman et Allen ont, l'un comme l'autre, déjà réussi à atteindre.
    Legid
    Legid

    34 abonnés 570 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    Encore obsédé par ses thèmes réguliers, Woody Allen livre avec September une étude de relations humaines et de sentiments dont il a l'habitude. Un groupe de personnages habitant dans le même maisons vont interagir entre eux avec des relations qui vont se créer, des désillusions et déceptions.
    Woody Allen trace une galerie de personnages assez classiques de sa filmographie, heureusement toujours aussi bien interprétés, avec certaines de ses actrices fétiches (Diane West et Mia Farrow).
    La réalisation est très sobre et laisse surtout la place à l'interprétation et à la direction d'acteur de qualité.
    September est cependant trop peu captivant et laisse planer un léger ennui malgré sa durée réduite (1h20) du fait de l'absence totale de surprise pour un habitué du cinéma de Woody Allen (que je suis devenu).
    Moyen !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 novembre 2011
    Bon, ça y est, j'en ai fini avec les Allen bergmaniens. Verdict : "Intérieurs" est magnifique de bout en bout. Les autres ne sont que des resucées sans âme terriblement chiantes, tels ce "September" assez proche de "Sonate d'Automne" (bon Bergman mais loin d'être son plus intéressant à mon avis). S'en suit donc des questionnements interminables sur la figure de la mère, thème qu'Allen a du mal à traiter de façon non sinistre (à part dans "Oedipus Wrecks"). Et quand Allen fait référence à Bergman, il perd 90% de sa personnalité ; notons qu'ici, contrairement à "Intérieurs", il y a quand même quelques touches plus "comiques" qui semblent autant à leur place qu'un pingouin en plein désert (les scènes avec les visiteurs, notamment). Hormis ces quelques moments d'oubli, "September" demeure quand même un film bien sinistre, mais malheureusement dénué de tout ce qui faisait l'attrait de "Intérieurs", à savoir une vraie histoire à raconter, une certaine poésie et un final sublime. Et, évidemment, il y a Mia Farrow, qui, comme dans d'autres films d'Allen, et elle l'a reconnu elle-même, n'est pas du tout à sa place. Le pire avec "September", c'est que "Another Woman" et "Alice" sont encore moins bons. Fort heureusement, avec les années, Allen a arrêté de singer Bergman...
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    29 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2008
    W.Allen a non seulement écrit des personnages superbes, mais l'amour avec lequel il les filme semble les transcender. L'interprétation, il faut le reconnaître, y est pour beaucoup dans cette réussite touchante.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 142 abonnés 7 222 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mai 2008
    Woody Allen réalise ici une œuvre différente de ce qu’il a l’habitude de faire. September (1988) est un drame intimiste à la fois palpitant et saisissant, grâce à son histoire, mais aussi par ses acteurs, une belle brochette de stars (Dianne Wiest, Mia Farrow, Sam Waterston, etc), sous la direction d’un Woody Allen absent de l’écran, qui s’est juste contenté de diriger à défaut de jouer.
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