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    Le Soleil se lève aussi
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    13 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    12 092 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mai 2012
    Film lourdement surestimè, "The Sun Also Rises" est un film mineur dans la filmographie aussi diverse qu'admirable d'Henry King, qui, comme William A. Wellman, ètait un ancien aviateur! Situè sur le front italien, cette adaptation d'Ernest Hemingway est finalement assez mèdiocre et a vraiment du mal à restituer le ton angoissè et dèsabusè de l'oeuvre originale! Le casting, pourtant prestigieux (voir beaucoup trop), ne convainc pas, où de grandes stars comme Tyrone Power et Ava Gardner incarnent fadement les reprèsentants de la gènèration perdue en quête de leur identitè! Seul Errol Flynn tire son èpingle du jeu dans une pèriode où l'alcool le minait comme jamais! Comme quoi une excellente distribution ne fait pas toujours un grand film! Olè...
    Maqroll
    Maqroll

    133 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 septembre 2009
    Adaptation d’un roman d’Hemingway (peut-être son meilleur), ce film est une grosse machinerie hollywoodienne qui tourne à vide. La mise en scène d’Henry King, artisan besogneux, est désespérante de lenteur et de platitude. Les acteurs, pourtant de renom, n’arrivent même pas à rattraper le coup : Tyrone Power se contente du même rictus tout au long du film pour exprimer ce qui est censé être de la souffrance et il n’est pas du tout crédible en héros de guerre devenu impuissant. Ava Gardner trouve là un des plus mauvais rôles dans le personnage (complètement mal compris et décalé par rapport au roman) d’une femme perdue entre ses sens et son amour, Mel Ferrer est grotesque en amoureux transi et Errol Flynn pathétique dans un personnage qui ressemble trop à ce qu’il était devenu à ce moment-là (un alcoolique vieillissant). Même la scène de la corrida, véritable chef-d’œuvre de littérature chez Hemingway, est ratée, évoquant un numéro de cirque à la Ben Hur… Il reste des cartes postales de Paris ou d’Espagne… bien insuffisant pour ce qui prétend être un film !
    Caine78
    Caine78

    6 059 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2010
    Un film décevant dans la carrière d'Henry King. Il y a de belles couleurs et quelques moments assez touchants, mais l'ensemble manque de relief et les personnages nous semblent trop lointains. Errol Flynn est loin d'être au meilleur de sa forme et au final ce film est un peu fade. Dommage, car avec un peu plus de moyens, cela aurait surment donné une bien plus belle oeuvre.
    FAUX
    FAUX

    6 abonnés 236 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 mai 2011
    Le roman, assez solide traitement de l'impuissance (si je puis dire...) ne m'avait pas emballé outre mesure. Le film est souvent trop démonstratif et... illustratif. Tout le déroulement est bien respecté mais aucune pensée ne vient étoffer les déplacements de Jake. Reste dans les rails hollywoodiens. Oh et les scènes de Pedro dans l'arêne, great SFX ah ah ! Plutôt fade et moins sec que l'écriture d’Hemingway qui au moins savait être avare d'effets. Ici on ouvre et on ferme avec un lever de soleil (peut-être se couche-t-il une fois sur les 2 ?). Bref... : lol. ~ 37%
    Cathedrale
    Cathedrale

    74 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 mars 2013
    4 silhouettes grisées par l'alcool se collent aux lèvres de la Lady, sublime créature un peu idiote, qui traînera ses prétendants aux extrémités du monde, de la conscience , inconstante, tantôt triste, d'un simple battement de paupière la voilà souriante. Amante parfaite dans l'excessivité, digne représentante du genre féminin tout puissant, elle apparaît, drapée de blanc, crinière tumultueuse et volage qui doucement caresse ses tendres épaules, le mâle est pris, cette femme, il l'a dans les Os, et nous aussi. L'imposant Taureau du sud, la peau tannée par les giclures du Soleil, un sourire malicieux scotché aux coins de la bouche exécute son hypnotique manège, agitant son tissu rouge sous le nez des prétendants ridicules et laids, rabougris par rapport à cet être solaire, scintillant de fougue et de retenue, n'ayant pour lui que son courage, capturant SON attention avec une facilité déconcertante, la Belle est conquise, oui, mais pour combien de temps? Hexagone amoureux bancale, jeu dangereux , l'ami, fidèle, irrésistible mais Intouchable sert de point de repère à cette jolie forcenée, agrippée à sa bouée sans verge, tous pour se perdre allègrement dans le brûlant souvenir de la divine Vierge, qui jamais, en public, ne se noiera.
    Touka Speed
    Touka Speed

    10 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 novembre 2007
    Malgré un casting exceptionnel, cela va sans dire, ce film est décevant et trop long. Je me suis ennuyée et c'est pourtant pas mon habitude devant les film d'Henry King.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 juin 2009
    On est d’emblée prévenu avec le titre (fidèle traduction du titre original), on baigne dans la mauvaise blague, le gâchis : parler en effet de « lever » alors que toute l’intrigue est axée sur l’impuissance du personnage central, ça laisse pensif…
    Après le sympathique épisode parisien, en guise d’apéritif, on se dit que le film va devenir consistant avec la virée en Espagne. Mais non : le réalisateur traîne interminablement sa caméra au milieu du pitoyable folklore tauromachique ibérique.
    Il y avait pourtant de quoi faire avec la talentueuse Ava Gardner et ses hommes (l’amoureux conquérant mais rejeté, le conquis-sans-quéquette, l’ex toujours aimant qui picole – formidable Errol Flynn –, la jeune proie exotique), il y avait de beaux portraits psychologiques à brosser, des réflexions sur l’amour et le sexe à mener, mais Henry King [sans couronne] a préféré perdre son temps avec les pathétiques fêtes de Pampelune… Un gâchis, oui.
    AMCHI
    AMCHI

    5 087 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film merveilleux, ce n'est l'oeuvre hollywoodienne la plus connue mais cela n'empêche pas cette adaptation d'une oeuvre d'Ernest Hemingway d'être un film admirablement réussi. Le Soleil se lève aussi est un film assez difficile à cataloguer, ce n'est pas une simple histoire d'amour, ça parle aussi d'amitié à la différence de certains films hollywoodiens, le ton du film n'est pas de la romance niaise, le ton est sérieux voir dramatique même si l'histoire fini sur une note d'espoir, Jake Barnes (Tyronne Power) tombe amoureux de Lady Brett Ashley incarnée par la très belle Ava Gardner mais une blessure de guerre le rend impuissant, il l'abandonne. Après la guerre en 1922, il la retrouve à Paris, elle vogue d'amant en amant ; de Paris à la feria de Pampelune notre pauvre Jake va souffrir en la voyant dans les bras d'autres hommes car il l'aime toujours. Je vais me répéter mais je tiens à dire encore une fois que ce film est splendide et pourtant le cinéma romantique ce n'est pas ma tasse de thé. On a aussi plaisir à retrouver Errol Flynn un peu ravagé par l'alcool mais ayant tout de même 10 fois plus de charisme que les jeunes acteurs d'aujourd'hui.
    bobmorane63
    bobmorane63

    157 abonnés 1 899 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2018
    Il y a de bonnes choses dans cette adaptation du roman Ernest Hemingway porté grand écran en 1957 par le cinéaste Henry King mais il y a aussi quelques lacunes !! J'ai regardé ce long métrage pour son casting comprenant Tyrone Power, Ava Gardner, Errol Flynn, Mel Ferrer et dans un second role la présence de la chanteuse Française Juliette Gréco, les deux premiers cités jouent bien leurs jeux d'acteurs, par contre, je me demande ce que Errol Flynn est venu faire ici car il joue un compagnon aimant beaucoup l'alcool et la fète, ce qu'il est dans la vie et personnellement, ça m'a gaché l'enthousiasme de voir "Le soleil se lève aussi" qui est bien filmé par la ville de Paris, ses restaurants, ses rues et la ville de Madrid avec les corridas et la culture Espagnole très bien mis en valeurs. L'histoire se suit avec une femme partagé entre plusieurs hommes mais follement amoureuse du personnage principal rencontré dans un hôpital militaire ou lui apprend qu'il est impuissant. Belle mise en scène quand même qui vieillit bien au visionnage
    mistermyster
    mistermyster

    36 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2022
    Est-ce que la magie des ces grands acteurs ne fonctionnerait plus, ou est-ce cette histoire qui ne convint pas, ou est-ce que c'est le réalisateur qui est mal choisi, ou est-ce un film d'une autre époque, puisque la corrida est ici montrée avec mansuétude. C'est un peu de tout cela à la fois, Ava Gardner garde encore cet attrait, cette séduction animal, elle attire les hommes comme les moustiques sont attirés par la lumière; Tyrone Power regard noir, séducteur et gentleman, toujours égale lui même; enfin Errol Flynn, malicieux, téméraire, goguenard et revanchard, toujours prêt à en découdre, Mel ferrer, jeune premier éternel, qui transit d'amour peut perdre la tête.
    L'histoire d'un trio d'hommes éperdu d'amour pour une femme fatale, qui fuit, qui se laisse aller à la facilité et pourtant inaccessible.
    C'est bavard, et même si l'on se prend à apprécier ces acteurs qui se donnent la réplique, le contexte général manque cruellement d'attrait, Paris pourquoi pas, on nous traine de café en restaurant en dancing, mais, même si Hemingway voue un culte à la corrida, et qu'il nous emmène en Espagne, en pleine feria, cette discipline est bien passé de mode, et tout l'enthousiasme qu'il suscite dans le film n'a plus que peu d'intérêt.
    Il faut tout de même découvrir ce film pour voir ces stars vieillissantes tirer encore une révérence avant un déclin annoncé.
    Henri M
    Henri M

    40 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2016
    En effet, là où l'auteur avait réussi à séduire avec sa maîtrise parfaite de la parataxe & son univers quasi-autobiographique, Henry King ne parvient pas à relever tout le charisme & l'ambiance du roman.

    Le casting, pourtant impressionnant, ne se révèle pas à la hauteur des espérances acquises après lecture du livre. Les acteurs sont certes très bons & convaincants, mais paraissent fades lorsque l'on connaît davantage la personnalité de ceux qu'ils sont censés interpréter. Ainsi Jake semble être une coque vide sans le mot, plutôt qu'un être pensif & perdu ; Brett, plutôt qu'une réelle séductrice fatale, paraît ici être une catin de seconde zone ; Robert s'avère n'être d'un homme inaccompli & frêle de ses sentiments négligés, alors qu'il est dans le roman ce juif rejeté par tout le groupe (aspect antisémite d'Hemingway jugé déplacé par Henry King). Quant à Bill & Mike, ils restent deux ivrognes notoires, & remplissent donc facilement leur rôle (on laissera échapper quelques rires grâce à leurs facéties). Ce ne sont pas tant les acteurs choisis qui sont épouvantables, mais plutôt le script & l'allure, qui auraient dû être mieux travaillés.
    L'ambiance est tout à fait respectable. On passe du Paris tout excité à travers les divers bars branchés, au point de ne pas en finir son verre, au Pamplume en période de féria, ivre & dangereux. La transition de la partie de pêche est, malheureusement, bien trop courte & ne respecte pas vraiment le calme prolongé qu'Hemingway aurait désiré à l'écran. Les corridas sont remarquables, même si les effets spéciaux sont misérables &, par-là même, comiques. La bande-son proposée respecte tout à fait l'atmosphère festive des nuits parisiennes & des journées espagnoles endiablées par la crasse des taureaux & la transpiration des alcooliques.
    Néanmoins, le film se fait long, bien trop long pour le jeu exécrable servi par les acteurs. On finit par s'ennuyer dans la deuxième partie, & Ava Gardner énerve car elle surjoue la romance. De plus, les quelques phrases d'introduction & de conclusion sont jetées sans lien à l'écran, cela ne convainc pas.

    Je reste sur ma faim, & m'attendais à une prestation beaucoup plus fabuleuse. Les échanges entre les protagonistes principaux sont bâclés & quelques parties du film semblent tout droit sorties du bordel s'agitant dans les pensées d'Henry King.
    En attendant une adaptation de meilleure qualité dans l'avenir, je reste incertain quant à ce film & ne peux lui accorder qu'une note intermédiaire. D'autant plus que la génération perdue des années 20 semble refaire surface près d'un siècle plus tard..
    Nicolas S
    Nicolas S

    39 abonnés 515 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2018
    Si cette adaptation est relativement fidèle au roman original - à part peut-être le dénouement, assez largement édulcoré - elle reste néanmoins très convenue. Acteurs et décors sont bons, mais le tout manque un peu d'âme.
    Pascal
    Pascal

    122 abonnés 1 407 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juillet 2023
    Avant-dernier film de Tyrone Power ( il décédera bientôt d'un infarctus) et un des derniers d'Errol Flynn, c'est une adaptation du roman d'Hemingway par un des réalisateurs phare d'hollywood : Henry King.

    La place du cinéaste dans le coeur de la critique hexagonale est parfois minorée sauf par certains éminents exégètes du septième art que sont notamment Jacques Lourcelles et Patrick Brion.

    Il est vrai que la filmographie de King est composée de nombreux " très grands films" et " le soleil se lève aussi" en fait partie, du moins à mes yeux. Jean Tulard le défendra dans son dictionnaire.

    La distribution, les décors sont admirables et la réalisation ne l'est pas moins. On pourra faire la fine bouche en raison de quelques longueurs qui affectent un peu la seconde partie ( elle se passe à Pampelune en Espagne, mais fût tournée au Mexique pour des raisons météorologiques).

    Pourtant cette histoire d'amour platonique par nécessité, car contrariée par la blessure de guerre intime du personnage, incarné par Power est magnifiquement conduite.

    On ne peut s'empêcher de penser, par moment, à " la comtesse aux pieds nus" de Mankiewicz ou " Pandora " d'Albert Lewin en voyant " le soleil se lève..." même si l'opus de King est, il est vrai, tout de même moins accompli malgré ses qualités.
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