Avis sur Une robe d'été

Un court-métrage intéressant sur un jeune homo qui se prête à une expérience sexuelle hétéro avec une belle espagnole. A la fois drôle et sentimental, ce François Ozon contient déjà beaucoup d’éléments que l’on retrouvera dans ses films futurs (homosexualité, passage musical et dansant,…). Nécessaire pour les fans du cinéaste, amusant pour les autres.

Un désir plus qu'un film. C'est assez simpliste et direct mais cela reste anecdotique. Ce n'est tin qu'une rencontre furtive et agréable...

Intéressant et plutôt bien écrit, malgré un sujet qui ne m'emporte absolument pas. Flirtant avec le film érotique, Une robe d'été est un petit court amusant.

court métrage sympathique sur une très belle musique !
Un titre très bien choisie, agréable à regarder

Un court-métrage intéressant, qui déjoue d'une façon assez subtile les codes du scénario.

ils ont dû bien aimer le tourner, c'est une idée... ça semble inspiration espagnole un peu... hors des sentiers battus, sur des thématiques très actuelles sûrement avec la sortie de "l'inconnu du lac" et d'un autre, je me contente de celui ci au moins, c'est court.

« Une robe d’été », c’est quelques heures dans la vie de Luc, homosexuel en vacances. Parti se reposer face à la mer en solitaire, il fait la rencontre d’une nymphomane espagnole. La chose faite, Luc ne retrouve plus ses vêtements, la jeune femme lui prête alors sa petite robe à fleurs. C’est tout. Ce court-métrage estival ne présente pas grand intérêt, et est assez creux. Le seul intérêt est le parallèle qui peut être fait entre la chanson "Bang Bang" de Sheila et les évènements. Dispensable, sans compter que Frédéric Mangenot est terriblement mauvais.

sans grande prétention, clin d'oeil à l'éveil de sexualité à 18 ans. scène de vacances ironique et érotique. fev 21

Bon court-métrage de 15 minutes d'Ozon qui ose peu mais surement, l'ouverture donne déjà le ton, ils nous présente deux jeunes gay et l'un deux à haute voix chante le fabuleux titre Bang Ban, la version que l'on entend est celle de Sheila. Je précise car le morceau VO que l'on retrouve d'ailleurs dans Kill Bill est chanter par la magnifique Nancy Sinatra. On continu, l'autre gars décide de se rendre à la plage et il rencontre une fleur tout en fraicheur de désirs. Sympa, innocence à voir avec sourire.

“Une robe d’été” est un court-métrage de François Ozon réalisé en 1996. Le film de quinze minutes met en scène deux amis en vacances à la mer. L’un d’eux part chercher le calme sur une plage déserte où il se met nu. Une jeune espagnole l’aborde et l’emmène dans les bois pour faire l’amour. A leur retour sur la plage, les vêtements du jeune homme ont disparu. “Une robe d’été” est une petite comédie d’été et légère, mais qui bouleverse néanmoins les codes de l’orientation sexuelle et des idées qu’on s’en fait.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com

Court métrage fort sympathique avec toujours ce petit côté bizarre qui montre la pâte de Ozon. Parfait pour l'été !

Simple mais brillant. François Ozon nous montre encore une fois son talent pour l'écriture et pour la mise en scène. Les acteurs sont très bons et la musique, très bien interprétée par l'acteur Sébastien Blanc... UNE ROBE D'ETE est un genre de film qu'on ne voit pas si souvent et qui fait du bien d'être vu : une réussite.

François Ozon montre une fois de plus qu'il fait preuve d'un talent incroyable. Je n'ai dailleurs toujours pas compris pourquoi la scène d'amour de la fin (entre les deux craquants garçons), m'a fait un effet aussi MONSTRE!!!!!!!! 'Je précise que je suis une fille!)
Bref, EXPLIQUEZ MOI!!! suis je normale de trouver cette scène aussi belle?

L'intérêt de ce petit film c'est l'enchaînement narratif rapide, sans digression inutile
L'histoire est bien en place, et les 3 acteurs, efficaces chacun dans leurs rôles
Le bonheur pour un jeune gay de perdre un second pucelage, celui de l'hétérosexualité.
Ce bonheur de pouvoir s'illusionner d'être rentré dans le rang.
Et qui va l'aider à mieux aimer, en fin de compte son copain (en ne lui avouant jamais ce qui s'est passé.
La fille, c'est l'agent révélateur. D'avoir pu être hétéro, au moins une fois, aide ce jeune garçon à mieux aimer son copain, à mieux assumer son homosexualité. Ca se voit dans son changement de comportement.
C'est en tout cas ma vision du film