Avis sur Le Pain et la rue

Film étudié en classe. Une belle fable , sans plus. Abbias Karostami voulait peut être représenter au mieux le réel mais les scènes interminables en font un récit trop monotone. Sur les 10 minutes, juste 3 ou 4 sont intéressantes.

Génial court-métrage, à la fois drôle, intelligent et d'une richesse surprenante! Le premier court métrage recensé d'Abbas Kiarostami est déjà très personnel dans son traitement de la réalité et de l'enfance. Le résultat est incroyablement métaphorique (sans jamais se départir de la simplicité légendaire de son auteur) : ce petit garçon qui hésite à s'engager dans une ruelle en raison de l'agressivité d'un chien qui lui barre la route devra redoubler d'imagination pour atteindre son but, passant ainsi par toutes les émotions possibles (tout comme le spectateur par la même occasion). C'est sa marque de fabrique (et celle de son immense talent), à partir de trois fois rien Kiarostami nous livre un court métrage tout ce qu'il y a de plus banal en apparence, mais étourdissant de profondeur par les émotions et les problématiques qu'il convoque en nous! D'autant plus que la maîtrise du cinéaste est grande autant sur le fond que sur la forme, les situations ne sont pas figées et évoluent de façon étonnante et pertinente, représentant par la même occasion la complexité de la vie, ses joies comme ses épreuves les plus universelles et intemporelles (rien que ça...). Un exemple : le chien, au début synonyme de menace physique, passera au statut presque de « victime »... Je n'en dis pas plus, jetez-vous sur cette petite merveille! [3/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/

Premier court métrage d'Abbas Kiarostami, Le Pain et la Rue contient déjà tout ce qui fera la richesse artistique du cinéaste iranien dans les années à venir : un style d'une élégante simplicité, composé de gestes ténus, économiques ; une caméra transparente, comme noyée dans le décor ; enfin une mise en scène géométrique et rigoureuse, laissant ses personnages partir d'un point A pour arriver à un point B. D'une durée de dix minutes, Le Pain et la Rue s'affirme de suite comme un véritable film épique, film à travers lequel un petit garçon cherche par tous les moyens à se débarrasser d'un chien pour pouvoir rentrer chez lui... Kiarostami pousse le cinéma réaliste dans ses derniers retranchements, escamotant chaque artifice, chaque rajout futile ou inutile : son film devient un bel objet brut, servi par un superbe Noir et Blanc ainsi qu'une musique entraînante. A voir absolument, le court métrage est efficace, évident et laconique. Très beau premier film, preuve que Kiarostami est capable de s'adapter à chaque support...

Un petit duel tout à fait charmant où l'enfant apprend finalement à être courageux et téméraire et à maîtriser son courage.
Le chien est bien inoffensif mais la caméra ne le montre qu'à la fin!!!!!!

Intéressant ce film... Un gamin donne un bout de pain à un chien. Point. Scénario inéxistant, plat, qui tient sur un ticket de métro. Ah! C'est du style Kiarostami, j'avais oublié. Le genre de film pour intellos, très peu pour moi.

Comment parler de ce film sans être méchant... impossible! Bon voilà c'est un pur navet, les acteurs sont bidons, le scénario est neuneu et il n'y a rien qui fasse émouvoir, évitez absolument ce film, fuyez!!

Un peu larmoyant, une histoire très arabe, avec une belle morale dégoulinante... A montrer bien sûr à tous les enfants!! Merci Abbas! encore une fois.......

Comment parler de ce film sans être méchant... impossible! Bon voilà c'est un pur navet, les acteurs sont bidons, le scénario est neuneu et il n'y a rien qui fasse émouvoir, évitez absolument ce film, fuyez!!

Un peu larmoyant, une histoire très arabe, avec une belle morale dégoulinante... A montrer bien sûr à tous les enfants!! Merci Abbas! encore une fois.......