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    Pour une poignée de dollars
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    rocky6
    rocky6

    28 abonnés 1 628 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2019
    Un très bon western qui offre un rôle en or à Clint Eastwood. Ce dernier incarne un cow boy solitaire qui arrive par hasard dans une petite ville tiraillée entre-deux bandes rivales. Il va s'en mêler et les cadavres vont s'amonceler. Serie Leone met en scène cette histoire avec beaucoup de talent et nous offre des scènes d'anthologie. A cela se rajoute la musique envoûtante d'Ennio Morricone.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 016 abonnés 4 093 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2018
    Avec Sergio Corbucci, Sergio Leone est celui qui démarre en 1964 la décennie glorieuse du western-spaghetti dont ressortent aujourd'hui environ vingt classiques issus d'une production en chaine qui finira par épuiser rapidement le filon comme cela fut le cas juste avant pour le péplum. Mais c'est bien Sergio Leone qui en fixe les règles avec son adaptation du "Yojimbo" de Kurosawa (1961). Sorti en septembre 1964, "Pour une poignée de dollars" débarque sur les écrans français en mars 1966. Ce sera une volée de bois vert de la part d'une critique qui supporte mal que Leone se soit jeté sur la carcasse à peine refroidie d'un genre typiquement hollywoodien pour n'en retenir que les aspects les plus brutaux et cyniques qu'il pousse jusqu'à la caricature. Vision un peu réductrice qui n'ébranle guère le public qui fait un triomphe au film et plus généralement à ses successeurs qu'ils soient de Leone ou de ses disciples jusqu'à ce que l'effet de surprise se tarisse définitivement au bout de quelques 400 longs métrages. Les innovations de Leone sont bien sûr à rechercher sur la forme, les thèmes qu'il développe n'étant guère différents de la production classique hollywoodienne du genre, notamment de série B. Le personnage de l'homme sans nom (un artifice utilisé pour la promotion aux Etats-Unis, le héros se prénommant Joe) interprété par Clint Eastwood est en réalité une abstraction fédérant derrière son poncho et son cigarillo tous ceux nombreux qui ont débarqué à cheval un petit matin pour remettre de l'ordre dans un village en proie à une lutte fratricide entre propriétaires terriens ou bandes rivales. Leone renforce encore le caractère solitaire de son héros en le privant de la romance habituelle qui venait comme une récompense finale à la bravoure des John Wayne, Gary Cooper et autre Clark Gable. Idem pour les bandits ou escrocs dont la cupidité et le cynisme sont poussés à un tel paroxysme qu'ils les amènent à des comportements dénués de toute rationalité qui confinent souvent à la bêtise. C'est ainsi que "L'homme sans nom" use sans vergogne de la rivalité entre les deux clans pour leur proposer alternativement ses services de tireur d'élite afin de faire gonfler le cuir de sa bourse. Leone use avec une telle délectation de cette trouvaille qu'on l'imagine alors plus en disciple de Tex Avery qu'en émule d'Akira Kurosawa. Toute sa mise en scène décline cette exacerbation des situations et des caractères. Les gros plans à courte focale qui ont fait sa célébrité sont utilisés à dessein pour saisir les regards qui avant l'action elle-même nous renseignent sur les émotions des personnages. Mine de rien, en proposant une petite série B maligne et plutôt humoristique quant à sa morale, Sergio Leone est en train de révolutionner les codes esthétiques du western et du cinéma plus généralement. Ennio Morricone qui accompagnera Leone jusqu'au bout de sa courte filmographie doit bien sûr être associé à cette démarche tant sa partition semble retranscrire au plus près l'humeur voulue par le réalisateur. A plus de cinquante ans de distance de sa sortie, le premier opus de la fameuse trilogie des dollars n'a rien perdu de son charme et du parfum si particulier de l'ambiance qu'il dégage. Clint Eastwood un peu goguenard par instants n'est pas encore définitivement le personnage hiératique qu'il deviendra dès "Pour quelques dollars de plus" (1965) et qu'il déclinera ensuite dans les films de Don Siegel et dans les westerns qu'il mettra lui-même en scène, mais il est évident qu'une star est née. Enfin l'immense Gian Maria Volonté nous démontre que rien de ce qui fait le genre humain ne lui était inconnu.
    Shawn777
    Shawn777

    470 abonnés 3 338 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 août 2022
    Bon, je l'avoue tout de suite, les westerns, ce n'est pas vraiment mon truc. Ce n'est tellement pas mon truc que je suis complètement novice en la matière, ma connaissance dans le genre se limitant à quelques films de Tarantino et à "Retour vers le futur III", c'est dire ! Je ne sais d'ailleurs encore aujourd'hui pas bien faire la différence entre le western "classique" et le western spaghetti, enfin à l'italienne quoi. Bref, comme il n'est jamais trop tard pour se lancer, je me suis donc mis en tête de regarder le trilogie du dollar, dont celui-ci est donc le premier, réalisé par Sergio Leone et sorti en 1964. Et, pour être honnête, je n'ai absolument pas adhéré ! J'adore pourtant toute l'introduction, là où le fameux étranger interprété par le ténébreux Clint Eastwood, se rend dans une petite ville mexicaine en proie à deux clans qui veulent se l'approprier. Et puis j'ai également beaucoup apprécié la fin qui applique là parfaitement les codes du western spaghetti avec la musique, les gros plans sur les yeux accompagnés de zooms, les gros plans sur les revolvers, les plans américains etc. Fin dont un extrait est d'ailleurs visible dans "Retour vers le futur II" puis ensuite parodié dans le troisième opus. Mais bref, tout ça pour dire que je n'ai absolument pas apprécié tout le milieu du film, qui en est en fait le cœur ! Et oui, c'est là que toute l'histoire (enfin, histoire, il faut le dire vite) se joue avec l'étranger qui profite un peu de la situation en prenant de l'argent par-ci, par-là tout en défendant la ville de ces deux gangs. J'ai trouvé le temps extrêmement long ! Il ne se passe pas grand-chose, on alterne les scènes de conversations (ou plutôt de silence) avec les échanges de coups de feu et basta, je n'ai pas trouvé qu'il y avait vraiment un fond. De plus, je trouve que la réalisation est plate, outre l'introduction et la fin, on est bien souvent en plan américain ou en plan large, rien de bien captivant donc, surtout pour une histoire qui l'est encore moins. Après, comme je l'ai dit précédemment, je ne peux pas être vraiment objectif puisque je ne connais pas les codes du genre. D'où ma note indécise puisque, si je n'ai clairement pas apprécié le film dans son ensemble, je ne peux pas juger de sa qualité objective, mon avis étant alors totalement personnel. Cependant, ça ne m'empêchera pas de découvrir les autres épisodes de cette trilogie mais, en tout cas, je ne reverrai pas "Pour une poignée de dollars" de si tôt !
    kibruk
    kibruk

    114 abonnés 2 402 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2013
    Le premier des films de l'incomparable trilogie de Sergio Leone, "Pour une poignée de dollars" n'est pas le meilleur, et pourtant ça vaut le coup d’œil.
    Agnes L.
    Agnes L.

    126 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2023
    C'est vraiment pas le style de western que j'apprécie avec peu de dialogues et beaucoup de fusillades. Et même si la musique est sublime, le personnage de Clint Eastwood me déçoit en étant extérieur émotionnellement.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    92 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2022
    Le premier western spaghetti célébré à l'international a une drôle d'histoire, dans tous les sens du terme. Aujourd'hui on voit que l'objectif était de distraire à coups de far-westeries pétaradantes, mais la collaboration entre Leone, Morricone et Eastwood laisse des traces légendaires. Les trois hommes étaient redoutablement indiqués pour faire ce western décalé, et s'assurer que leur travail en-dehors des sentiers battus soit sérieux malgré la rencontre hasardeuse de différents mondes.

    Entre l'expertise de l'acteur, les bonnes idées du réalisateur, une musique à moitié hors du monde et une photographie captivante, l'œuvre convainc partout où elle détonne. Après tout, l’époque dépeinte était caractérisée par le chaos humain et ce n'est rien de moins que les artistes reproduisent exprès. À part la narration qui est commerciale, tout est pensé pour que l'histoire trouve sa place dans le mythos du Far West. Par transfert, et presque par accident, elle en trouvera aussi une bien méritée dans le septième art.
    Fabios Om
    Fabios Om

    37 abonnés 1 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2023
    Le premier western culte du grand Sergio Leone qui fut accueilli très favorablement par la critique autant par le public! Le scènario de Duccio Tessari est une exploitation habile des èlèments les plus classiques du western amèricain, l'action se situant au lendemain de la guerre de Sècession!
    Sergio Leone digne de ce nom avec le magnifique Clint Eastwood en rôle principale. Ce western est tellement jubilatoire que je le conseille vivement. Et je rajoute quelques petits mots pour Ennio Morricone le fameux compositeur de toutes ces musiques cultes au long de tous ces grands westerns du grand Sergio Leone qui ont réussit a nous entraîner, nous émouvoir mais aussi nous faire chanter .
    . S. Leone commence avec ce film a développer sa technique des gros plans si caractéristique de ses westerns. La trilogie du dollar a un début et il est réussi.
    C'est aussi le début de la renommée du western spaghetti, terme qui énervait Sergio Leone, ici le héros est un anti-héros, il est mal rasé, amorale, crade en fait son personnage est très réaliste, bien plus que dans certains westerns américains ou la poussière ne semble pas salir les « gentils » par exemple, je dis bien dans certains car Burt Lancaster, inoubliable dans Vera Cruz, fut certainement le premier personnage type western spaghetti à voir le jour. Voilà tout ce qu'est Pour un poignée de dollars, à voir et à revoir.
    mistermyster
    mistermyster

    36 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2021
    Quel audace de la part de Clint Eastwood de s'envoler loin de Los Angeles pour faire un western sans gros budget, avec aucun acteurs connus et en Europe. La légende de l'ouest corrigé par un Sergio Leone, et surtout mis en musique par Ennio Morricone. Aujourd'hui la bande son est indissociable du film, il marque au fer rouge un tournant dans le genre et fais entrer Clint dans la cours des grands. Le film avec son côté désuet, et son histoire très mince, n'en ai pas moins resté moderne, il donnera les bases des premiers films de réalisateur de Eastwood. Le côté brut, violent, sans morale donnera une nouvelle approche de la vie de l'ouest. Clint campe un personnage énigmatique et charismatique, dès les premières notes de musique nous voilà plongé pour notre plus grand bonheur dans l'ouest Américain vu par un Italien qui a tourné en Espagne. Un vrai tour de force.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    47 abonnés 739 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2016
    Revoir un film culte de son adolescence présente un intérêt nouveau lorsque on a découvert que le scénario est une copie conforme de Yojimbo de Kurosawa présenté au Festival Lumière. Un chasseur de primes solitaire est à la place d'un samouraï pour manœuvrer astucieusement deux clans ennemis et les amener à s'entre-tuer.
    S.Leone, dont le nombre de films est peu élevé, se fait ici la main dans ce qui fera sa réputation dans le genre spaghetti. Clint Eastwood est encore plus inconnu et débutant, les deux s’exercent avant de monter en puissance et de révéler l'immense talent qui sera le leur plus tard.
    On connait les ficelles et les limites du genre, il en reste néanmoins une attraction fatale à revoir le duel final, ou le passage à tabac dont le héros se remet en quelques jours.
    Le blondinet sauve la belle brune et son gamin, préfiguration de Pale rider, le vent soulève la poussière avant de dévoiler le héros capable de combattre à armes inégales! Cela reste un petit régal!
    Et une révision musicale de Morricone ne se refuse pas.
    juillet 16
    zafkiel
    zafkiel

    42 abonnés 885 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2015
    Premier film de la trilogie "Dollars" de Leone, celui-ci donne une vraie ébauche de ce que concrétisera quelques années plus tard Le Bon, la Brute et le Truand du même réalisateur de génie. Un scénario un peu léger et conventionnel, malgré tout, l'ambiance sonore et visuelle ainsi que des acteurs de qualité donnent une vraie dimension au film.
    NeoLain
    NeoLain

    4 292 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2008
    Les débuts d’une légende… En choisissant de transposer le Yojimbo de Kurosawa dans l’univers encore vacillant du western spaghetti, Sergio Leone allait réussir un coup de maître et par la même occasion signer le premier opus d’une future trilogie rapidement devenue culte. Ce film est un préambule sanglant à ce qui suivra car il s’agit aussi de l’épisode le plus sombre, notamment deux scènes de massacre, celle de la cavalerie puis un peu plus tard celle du clan Baxter. Dans les deux cas, celui qui a le doigt sur la gâchette c’est le grand Gian Maria Volonte, l’autre révélation avec Eastwood. Enfin, pour en finir avec le casting, un petit mot sur la présence de Joseph Egger, alias « Piripero », le croque-mort à barbichette, vétéran du cinéma teuton qui tirera sa révérence peu après avoir incarné le vieux prophète, lui aussi de retour dans Et pour quelques dollars de plus… L’autre point fort du métrage c’est bien sûr la bande originale composée par Ennio Morricone. Elle participe pleinement de la magie qui se dégage des images de Leone. On peut d'ailleurs se demander honnêtement si le film aurait connu un tel succès sans la bo du maître. En tout cas, les yeux calculateurs et la démarche nonchalante d’Eastwood d’un côté, le regard d’allumé et les coups de sang de Gian Maria Volonte de l’autre, Pour une poignée de dollars offre quelques moments d’une rare intensité sans pour autant se départir d’un humour bienvenu évitant au récit de sombrer dans la noirceur. Finalement, la seule chose qui manque c’est peut-être un côté épique impossible ici à cause de l’atmosphère de huis clos propre à la petite ville et fidèle à l'original japonais. Bref, un bon moment à passer.
    Julien D
    Julien D

    1 114 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2013
    A une époque où le cinéma européen osait à peine frôler le genre américano-américain qu’est le western, le très prometteur Sergio Leone, qui avait jusque-là surtout travaillé sur des péplums (un genre où savoir rendre impressionnants ses décors est primordial) prend de défi de retranscrire un scénario directement inspiré de Le garde du corps d’Akira Kurosawa dans un contexte de far-west. Avec peu de budget (200 000€) et le peu de notoriété qu’avait encore Clint Eastwood, il semblait peu probable que ce projet ait assez d’impact pour poser les bases d’un sous-genre qui fit, pendant la décennie suivante, surexploité. Même s’il est précurseur du western spaghetti, ce premier opus de la trilogie du dollar souffre encore trop du manque de confiance que pouvait avoir Léone en son travail, ne prenant que peu de risque dans l’écriture de son scénario et dans la caractérisation de ses personnages, et peut donc pas être considérer comme en soi un film révolutionnaire mais uniquement comme un pas de géant vers ceux qui suivront.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    109 abonnés 2 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mai 2018
    IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST. Il était une fois Ennio Morricone et Sergio Leone qui lancèrent le mouvement des westerns spaghetti. Les années d'or, avec comme emblème le gros plan sur les visages typiques et une musique inoubliable. Encore un épisode et on atteindra l'apothéose avec Le Bon la Brute et le Truand. Impitoyable.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    82 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2013
    Pendant l’âge d’or du western les cinéastes trouvaient souvent l’inspiration dans les films de sabre japonais et notamment dans le cinéma d’Akira Kurosawa. Ainsi "Pour une poignée de dollars" transpose au far West l’œuvre du maître japonais intitulée "Le Garde du Corps". L’histoire suit un homme sans nom arrivant dans une petite ville frontalière du Mexique où règne une guerre entre deux familles rivales. L’étranger va essayer de tirer profit de la situation quitte à ce qu’il y ait de nombreux dommages collatéraux… C’est avec délectation que nous assistons à ce petit jeu orchestré par le personnage de Clint Eastwood, complètement aveuglées par leur haine mutuelle, les deux familles se laisseront bernées et lui mâcheront finalement tout le travail. En mettant simplement en scène cet anti-héros et son plan machiavélique, le film de Sergio Leone aurait pu s’avérer encore meilleur mais l’intrigue autour d’une jeune femme en détresse et sa famille prise entre deux feux vient parasiter notre plaisir de spectateur pour nous emmener vers quelque chose de plus conventionnel et procure au mystérieux personnage une morale plus lisse. Quoi qu’il en soit "Pour une poignée de dollars" est un western de grande qualité orchestré par la maître Sergio Leone, incarné par la légende Clint Eastwood et parsemé de répliques et de scènes cultes.
    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    63 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2011
    Sergio Leone pose les bases de ses western spaghettis dans ce film qui comporte de grande scène de tension avec une maîtrise impeccable de la mise en scène. Si le récit n'est pas forcément des plus approfondis, ceci est largement compensé par un rythme parfait, une galerie de personnages magnifiquement travaillés et bien sûr par la présence écrasante du grand Clint Eastwood dans un rôle de héros mystérieux, parfois presque ammoral et pourtant qui fait preuve d'une étonnante empathie envers ses semblables, un caractère que l'on retrouve souvent chez Leone.
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