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chrischambers86
11 938 abonnés
12 157 critiques
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4,0
Publiée le 25 avril 2014
La petite bombe allemande du printemps 1999! L'homme, probablement l'espèce la plus ènigmatique de notre planète! Un mystère de questions sans rèponses! Qui sommes-nous ? D'où venons-nous ? Où allons-nous ? Comment savons-nous ce que nous croyons savoir ? Pourquoi croyons-nous quoi que ce soit ? D'innombrables questions en quête d'une rèponse! Une rèponse qui entraînera une nouvelle question! Et de la rèponse suivante naitra une nouvelle question etc. etc. Mais à la fin, n'est ce pas toujours la même question et toujours la même rèponse! Lola a vingt minutes pour trouver les 100 000 marks qui sauveront son ami! Commence alors une course frènètique dans le cadre des rues berlinoises! Solidement mis en scène, le film de Tom Tykwer est un gros trip techno, une histoire dopèe au speed, donnant une indèniable impression de vècu! Montage virtuose et ultra-rapide, split screen, musique qui booste..."Cours, Lola, cours" est un petit chef d'oeuvre prenant de bout en bout! Cheveux teints en rouge, pantalon vert et dèbardeur bleu ciel (non, ce n'est pas un clin d'oeil au drapeau de la Gambie), Franka Potente est fabuleuse, souvent ètincelante et porte le film à elle seule! Elle tient la dragèe haute à son partenaire Moritz Bleibtreu (pourtant excellent) dans le rôle de sa petite amie systèmatiquement plus douèe que lui dans tous les domaines, y compris bien sûr dans la course-poursuite! A voir et à revoir sans modèration...
Cela faisait tellement longtemps que je rêvais de voir ce film dont le titre m'obsède depuis sa sortie en 1999 avec en plus cette affiche intrigante. Je ne savais pourtant pas du tout de quoi cela parlait! Bizarre, y'a des films comme ça. Et là je me retrouve face à un film incroyable, au montage dynamique et ultra techno, une histoire avec un soupçon de surnaturel, l'acteur Moritz Bleibtreu que j'adore et que j'avais découvert dans l'excellent film L'expérience. Ce film est moderne, passionnant et furieusement bien monté. Un must-see incontournable.
Après deux premiers films discrets, le réalisateur allemand Tom Tykwer va bouleverser le cinéma teuton en 1998 avec Cours, Lola, Cours, un film de dingue où Tykwer va non seulement qu'il a des idées de génie mais aussi un talent dingue pour la mise en scène. Le film raconte comment Lola, jeune berlinoise un peu paumée, va essayer de sauver de la galère son mec endetté jusqu'à la moelle. Pour cela, elle a 20 petites minutes. Un concept assez fou qui va pourtant tenir la route grâce à un ingénieux système : le film présente la même histoire avec trois alternatives différentes où des concours de circonstances vont à chaque fois changer la donne... Un film avec un vrai commencement et plusieurs fins, c'est pas vraiment original (on pense au Hasard de Krzysztof Kieślowski ou encore au diptyque Smoking / No Smoking) mais c'est ici le point central du film, la deuxième alternative intervenant au bout d'une demi-heure de bobine. Car mis à part les premières minutes qui présente le sujet, les issues de l'histoire varient tout au cours du long-métrage. Ainsi, outre ce schéma narratif fracassant, nous avons également affaire à l'interprétation épatante de la jeune Franka Potente et celle du prometteur Moritz Bleibtreu et à la mise en scène clippesque de Tykwer qui n'hésite pas à mélanger plans épileptiques, mouvements de caméra vertigineux, travelings insensés et passages en dessin animé. Ce qui aurait pu être un simple court-métrage réussit à nous immerger dans un récit sans temps mort, drôle et rythmé à la perfection, où tous les personnages du films, figurants ou protagonistes principaux, ont un rôle prépondérants dans la suite des évènements. Un coup de maître pour le réalisateur allemand qui va à partir de là s'imposer comme l'une des valeurs sûres du cinéma des années 2000, Cours, Lola, Cours étant une prouesse malheureusement trop peu connue qui mérite amplement son statut de film culte.
Franka Potente joue le personnage de Lola, et elle court cette femme, elle court pour la maladie d'amour, elle court avec les tripes et l'envie. Film allemand d'une grande énergie et d'un fun, réalisation rapide, tout va à cent l'heure et on y plonge volontier dans cette frénésie, une maturité qui pénètre et extériorise la définition de l'amour, Cours, Lola, cours traite et se joue également de l'espace temps, il y à même un passage très game Playstation comme quand on aperçoit Lola descendre les escaliers de chez elle en DA 2D sous une zik qui boost. Lola et ses cheveux rouge, rouge d'envie d'arrivé au bout de son objectif. Tout simplement prenant.
J'ai eu un gros coup de cœur pour ce film ! J'ai adoré du début à la fin ! Le montage est excellent, et offre un rythme dynamique. Le casting est superbe, notamment Franka Potente, que j'avais découvert dans d'autres films (mais c'est dans celui-ci où elle est la plus marquante). Bref, 'Cours, Lola, cours' est un excellent film allemand, qui est très original et qui offre plusieurs bonnes morales (eh oui, il possède une bonne résonance philosophique). A découvrir au plus vite car des films comme ça, il y a n'a pas deux ! 5/5 sans aucune hésitation !
Ce film allemand respire l'originalité à chaque seconde. Une fille a 20 minutes pour trouver une certaine somme d'argent que son copain a perdu et doit à un mafieux. L'idée de raconter cette histoire de course contre la montre en inventant 3 issues différentes est particulièrement intelligente et permet au réalisateur de placer ses acteurs dans des scènes de tous types (tragédie, comédie, suspense, tension) et ainsi de leur faire exprimer de nombreux sentiments (peur, stress, amour, amitié, haine, colère, rage, joie, soulagement...). De plus, ce procédé ne provoque aucune répétitivité car le scénario apporte suffisamment de changements entre les diverses versions de l'histoire. Le réalisateuralimente également son récit en utilisant des ralentis, des mouvements de caméras saccadés et novateurs, et aussi un passage réussi par l'anmation. Ce film, c'est aussi la découverte de la charmante Franka Potente (qui a joué depuis dans La mort dans la peau) aux cheveux rouges qui retranscrit parfaitement à l'écran tous les états par lesquels passe son personage. Effréné, créatif, prenant, excellement interprété, ce film est une vraie belle réussite.
Pleins d'idées dans ce film ! Et quelle energie ! J'ai vraiment bien aimé. Une vraie bonne surprise. Seul défaut : un côté répétitif parfois. On pense ce qu'on veut de la réalisation, mais ce qui est sur c'est que Tom Tykwer a bossé son affaire.
Le début du film laissait présager le pire : clipé, branchouille, tape-à-l'oeil à la danny boyle, plan d'un 1/10e de seconde, prétention du gars qui veut révolutionner le cinéma et qui ne réussit qu'à faire un truc déjà vielli à sa sortie, incruste de cartoon hideux... Enfin bref, tout ce que je déteste dans le cinéma. Ensuite, la mise en scène s'apaise et on s'intéresse quand même à l'histoire. Si vous avez vu le hasard de Kieslowski (Ok, on doit pas être des millions non plus dans ce cas...), la construction du film ne vous impressionnera pas plus que ça, mais disons qu'au final, malgré un début catastrophique et des facilités de scénario très paresseuses (papa banquier, épisode du casino...), ça peut se laisser voir. Tous les acteurs sont très bons, il faut le signaler.
Pas revu non plus depuis sa sortie. Mais là c'est la déception qui ressort, alors que j'avais trouvé ça génial. C'était peut être innovant à l'époque (99) mais depuis on a fait mieux sur le même thème. Par contre on assiste aux débuts de l'excellent Moritz Bleibtreu (Soul kitchen) et de Franka Potente (la saga Jason Bourne). Pour le reste, Tom Tykwer a fait mieux depuis (Heaven, Le parfum).
Si ça vous amuse de voir une fille assez moche au look junkie-toxicomane courir pendant 1h 30 pour sauver son ami braqueur de banque ayant l'air d'un abruti fini, alors ce film et pour vous. Quoique si vous voulez voir quelqu'un courir, je vous conseille plutôt de vous passer le marathon au ralenti, c'est plus passionnant.
Avec cet exercice de style aussi vain qu'ennuyeux, Tom Tykwer nous met au supplice. Ce long clip branché au montage épileptique et porté par une musique répétitive et assourdissante est tout simplement irregardable.
Lola rennt = Production TF1 = Ridicule. Je suis sévère ? Comment ne pas l'être avec ce navet à la bande-son vomitive et à la réalisation pitoyable. Si on vous propose de regarder un tel film, je n'ai qu'un conseil pour vous ; courez !
Lola a vingt minutes pour remettre la main sur les cent mille marks perdus par son petit ami, y parviendra-t-elle? Une course au rythme effréné emportée par une musique qui booste Une fin à choix multiples Un film allemand topissime