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    Harakiri
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    4,4
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    71 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 mai 2008
    Film de sabre qui casse les regles du genre avec un style completement eclaté et des acteurs touchants un tres grand film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 septembre 2007
    L'image du samouraï ,celui qui brave ses peurs,refoule ses sentiments et possède un code de l'honneur n'est pas l'image traditionnel que l'on retiendra dans Hara-kiri. Cela va au dela de ça, l'honneur du samouraï ne tiend plus sur des traditions perpétués de générations en générations. Ici l'honneur fait place à une folie meurtrière révélée par la raison....taratata trouvez vous donc l'occasion de visionner ce film "véritable guide pour les gens indécis dans les choix de la vie quotidienne". Un TRÈS bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 août 2012
    Peut-être le film le plus beau de Kobayashi (avec le magnifique Kwaïdan). Un film d'une beauté plastique remarquable. Kobayashi nous invite à vivre un drame d'une violence et d'une intensité rarement atteintes. Un film qui imprime la rétine, bouleverse et reste une expérience visuelle extraordinaire et unique. Du très très grand cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 décembre 2017
    Un des rares chanbara que je qualifierai de chef d'oeuvre. Malgré une certaine lenteur dans sa narration, on ne peut que apprécier le jeu d'acteur de Tatsuya Nakadai. Voix morte et rauque, posture solennelle, il semble être l'allégorie même du samouraï.
    C'est en samouraï sans maître (ronin) qu'il se présente aux portes du chateau du clan Li. Désireux de mettre fin à sa vie plutôt que de vivre dans le déshonneur, il implore le clan de l'aider à se "seppuku". Ayant droit à un second pour l'assister dans sa mise à mort, il nomme un samouraî absent de la cérémonie. Ayant prit des congés pour fatigue, le maître du clan envoit un messager chez lui pour lui faire part de la demande du ronin.
    C'est en attendant que son second arrive que le ronin se met à conter sa vie et les choix qui le poussent à se donner la mort à l'assemblée. Son histoire donne une dimension nouvelle au récit et au clan qui l'écoute. Les rares scènes d'action sont pleines de sens et l'on comprend parfaitement à travers elles à quel point le personnage joué par Nakadai est d'une prouesse sans égale en matière d'armes. Les dernières scènes sont très symboliques et j'invite ceux qui ont vu le film à chercher une deuxième lecture quant aux gestes de Hanshiro Tsugomo (le ronin). Ce film est absolument à voir pour tout ceux aimant le genre, l'acteur et l'histoire du Japon.
    PERMIS de CRITIQUER
    PERMIS de CRITIQUER

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mars 2020
    Ma première expérience avec un film de Kobayashi fut "Rebellion", un chef-d'œuvre incontestable du septième art seulement égalable par les grandes épopées dramatiques de Kurosawa: "Kagemusha", "Ran". C'est alors que vint le visionnage d'un film dont j'avais entendu parler à mainte reprises comme étant un incontournable du chambara: "Harakiri", du même Kobayashi. Difficile il est vrai , pour les adeptes du chambara de résister à un film au nom si explicite, révélateur et à la fois si mystérieux et énigmatique. En effet ce titre "Harakiri" renvoie à ce code du bushido, cet honneur du samouraï qui cultive l'imaginaire du public occidentale. Mais à travers ce mot et plus largement ce film, Kobayashi dans sa traditionnelle ligne contestataire met en accusation un système, celui du régime autoritaire des Shoguns Tokugawa du XVIIe siècle, un système dépourvu de toute humanité reposant sur le code du samouraï (bushido), sous couvert duquel il porte un regard avisé et un brin pessimiste sur la société japonaise du XXe siècle, un mode opératoire qui se retrouvera cinq ans plus tard dans son second film de sabre: "Rebellion". Le film est d'une incroyable modernité, le noir et blanc est sublime, le moindre mouvement d'un personnage ou de la caméra est un bijou de perfection réglé au millimètre, les décors rigides, clos, et la symétrie maladive du réalisateur créés, en plus de l'angoissante musique de l'inimitable Toru Takemitsu, une désagréable sensation d'enfermement qui présage de la cruauté constante du film. Car oui, "Harakiri" comme un grand nombre d'œuvres de Kobayashi est un film cruel, jugez-en par vous même… le harakiri que le jeune Chijiwa Motome pratique à contre cœur avec une simple lame de bambou, littéralement rongé par la peur, sous le regard presque amusé de ses "assassins" est sans nul doute la scène la plus cruelle qu'il m'ait été donné de voir au cinéma, mais cette scène, si horrible soit-elle, demeure d'un réalisme et d'une modernité incroyable: la souffrance peut littéralement se lire sur le visage de Motome, dont le corps crispé se recroqueville de douleur sur sa lame de bambou, le sang est lui aussi d'un réalisme saisissant, ajouté à l’inimitable et angoissante bande originale du compositeur Toru Takemitsu la scène devient effrayante, cruelle et incontestablement marquante. Ce qui rend ce film incontournable, c'est aussi le rôle principal, celui de Hanshiro Tsugumo interprété par l'illustre Tatsuya Nakadai. En effet, ce personnage bien que plutôt froid au premier abord devient de plus en plus proche de nous à mesure que le film avance et que sa dure histoire est révélée. Dans ce film, Nakadai joue un rôle très différent des personnages névrosés des films de Kurosawa que sont "Yojimbo" et "Sanjuro", il interprète cette fois les rôles d'un père et d'un grand-père aimant dont le seul plaisir est de profiter de sa famille, un rôle dont il s'accommode parfaitement et qu'il interprète comme à son habitude fiévreusement et avec une perfection phénoménale. Si dans la première partie de cette critique j'ai déjà vanté les mérites de la mise en scène de Kobayashi, le grand duel entre Tatsuya Nakadai et Tetsuro Tamba est une œuvre d'art à elle seule. En effet, les prises de vue sont superbes, le combat une fois lancé est une chorégraphie réglée au millimètre, une gracieuse danse entre les deux samouraïs, ce qui fait de ce duel, qui a pour seul défaut un très léger manque de naturel, un véritable modèle du genre. Ainsi, "Harakiri" est un chef-d'œuvre du cinéma, pas seulement japonais mais aussi mondial, qui propulse incontestablement Masaki Kobayashi au rang de grand maître du septième art.
    Pandora
    Pandora

    43 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 décembre 2022
    Le film aurait pu etre un petit chef d'oeuvre... malheuresement le film démarre vraiment à la 45 eme minutes.
    C'est très bien mais je trouve le film surestimé.
    HolyGorillaMonkeApe69
    HolyGorillaMonkeApe69

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2023
    Mon film japonais préféré après Nobody Knows. Parfait à absolument tous les niveaux. Les acteurs délivrent chacun une performance d'une extrême intensité, la photographie est subliSSIME, et que dire de la réalisation... C'est tout simplement le gâteau sous la cerise ! J'ai été abasourdi devant tant de modernité. Il s'agit là à mon avis du film qui utilise le mieux les plans débullés (ou "dutch-angles"), et les mouvements sont chirurgicaux, millimétrés. Pour ce qui est du fond, le film questionne avec finesse l'honneur et autres principes si chers à tout samouraï qui se respecte. Il nous montre des personnages humains et faillibles, loin du cliché du héros solitaire et téméraire au sabre capable de vaincre 10 hommes en même temps, ce qui est vraiment appréciable. Le film est entaché par un léger détail : je trouve vraiment dommage le fait que l'apogée de la tension sois déjà atteinte dès les 25 premières minutes du film (dans une scène d'anthologie).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 avril 2015
    Film de Masaki Kobayashiqui parle d'un jeune homme voulant faire un hara-kiri dans la propriété d'un empereur .. Le film se déroule comme dans "Irréversible" ou es ce plutôt l'inverse, bref vraiment lent et pesant ce qui rend le moment ou l'on se rend compte de ce qui s'est réellement passé assez dur et frustrant vis a vis de notre antagoniste. Le concept et la période dans laquelle ça se déroule sont vraiment intéressant (ère d'Edo)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 août 2008
    Harakiri est un film tres lent. On risque de s'ennuyer
    pour ceux qui s'attendent a film d'acton.
    Mais, c'est une lenteur indispensable pour raconter
    ce genre de l'histoire.(Quelle interpretation de Nakadai)
    Quant a Masaki Kobayashi, il est realisteur a decouvrir
    tel que Kihachi Okamoto.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 juillet 2008
    Attention film à voir absolument!
    Je recherchais le titre de ce film depuis plusieurs années et je l'ai enfin retrouvé.
    Film marquant par sa narration et son scénario, "Harakiri" est plus qu'un film de sabre. C'est un conte sarcastique et moderne à l'époque du samourai.
    Il montre que dans certaines cultures, il y a pire que la mort: le déshonneur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 décembre 2017
    Ce film est super pour sa photographie, sa mise en scène, ses acteurs et sa musique. De plus c'est un sorte de huit clos qui donne une tension particulière. pour tout dire c'est magnifique
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