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Shékiinä .
43 abonnés
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5,0
Publiée le 19 juillet 2013
Une ambiance malsaine qui met mal à l'aise (les bourreaux ont un comportement étrange au début, comme s'ils cachaient quelque chose de suspect). J'ai trouvé le scénario original et très dérangeant. Des riches en mal de sensation, qui se font de l'argent sur la tête de touristes qui ne se doutent pas un seul instant dans quelle merde ils sont tombés. On aimerait pas être à la place des victimes qui sont les proies d'une spirale mortelle. Je trouve ça horrible, c'est une vision sale et effrayante de la nature humaine. Torturer pour avoir du spectacle et s'en mettre plein les poches. Il y a déjà ce genre de pratique sur des chiens... C'est des chiens vous me direz, et non des humains...
Un film sympa qui plaira aux fans de violence gratuite, une bonne mise en scène, de bons dialogues mais un certain manque d'intérêt rabaisse la qualité du film. Jay Hernandez est cool dans le film, de même pour les femmes et les acolytes d'Hernandez. Ma séquence préférée est celle d'Amsterdam, pour ses couleurs et l'excitation qu'elle nous procure. Bref, un film court, pas compliqué et pas irregardable. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 4/5
Basé sur des faits réels, Hostel est un très bon film ! Un film choc, qui prend le spectateur à l'estomac et qui, malgré ses quelques imperfections, dénonce les dérives honteuses et inadmissibles de la société de surconsommation à laquelle l'argent qui corrompt, l'argent qui achète, l'argent qui écrase, l'argent qui tue, l'argent qui ruine et l'argent qui pourrit jusqu'à la conscience des hommes nous a menés. Un monde transformé en un marché global, sans foi ni loi, ou tout s'achète et se vend, y compris l'être humain, corps et âme, et sa déchéance sous toutes les formes possibles et imaginables. Un monde dirigé par des monstres qui sont la plupart du temps " des gens biens sous toutes apparences " qui ont " réussi dans la vie " puisqu'ils sont fortunés. Sans autre loi que celle du plus fort, sans autre objectif que la réalisation du maximum de profit en un minimum de temps, un monde dont tout le monde est finalement victime. Hostel me fait penser à ces thérapies pour chauffards en Californie (très positives au demeurant) qui consistent à obliger les criminels de la route à aller voir à la morgue le résultat de leurs oeuvres ; eux qui, au volant de leur bolide infernal, se croyaient si forts. Mais, qui face à des vies humaines réduites à l'état de bouts de viandes froids déchiquetés et sanguinolents, réaliseront peut-être qu'il est temps de changer de comportement si l'on veut assurer la survie d'une espèce en voie d'extinction : celle de l'homo sapiens doté d'une conscience qui devrait lui permettre de faire le Bien sur cette planète !
45 minutes de porno soft et après? Ben après pas grand-chose. Un pauvre gars perdu dans la bidoche. On avait dit que ce film était insupportable, j'ai vu pire! Même pas de quoi nous tenir en haleine. Du moins, moi, j'ai vite décroché tellement c'était soporifique.
J'ai commencé mon marathon "Hostel" hier et, à l'inverse de la plupart de ceux qui ont vu ce long-métrage tortionnaire, j'ai bien aimé. Mais comme dans quasiment chaque film réalisé par Eli Roth ("Cabin Fever"), le film met longtemps à démarrer. En effet "Hostel" est un torture-porn dont les trente premières minutes ne sont que du sexe. Ce n'est pas pour en déplaire à certains mais quand un film est lent à démarrer, l'intensité de celui-ci s'atténue. Dans cette première partie, les protagonistes de cette histoire nous sont présentés malgré le fait qu'ils soient pas particulièrement attachants. Bien que l'on les soutient pour qu'ils s'en et sortent que les morts de certains me fassent toujours effet quand je les revois. Nos jeunes amis débarquent donc, suite à un conseil d'un inconnu rencontré par hasard, en Slovaquie, où le film va prendre une tournure différente. En effet, dans le seconde partie de ce torture-porn psychologique, les trois vont se faire torturer par de riches clients. Une ambiance pesante et angoissante s'installe petit à petit devenant vite anxiogène bien que la peur n'est pas vraiment au rendez-vous. Mais la mise en scène et la réalisation d'Eli Roth donne un ton plus cauchemardesque à cette histoire inspirée de faits réels. Les couleurs, la teinture des murs donne l'impression d'être enfermé avec eux dans ce lieu oppressant et malsain. Jay Hernandez, Derek Richardson et Eythor Gudjonsson interprètent convenablement les personnages principaux de cette folle et sadique histoire. Sadique oui, car non seulement les protagonistes se font torturer mais en plus les effets spéciaux sont très réalistes ! C'est réellement horrible ! Mais bon, je savais à quoi m'attendre vu les critiques reçues. Le scénario, efficace et original pour une fois, nous met mal à l'aise devant certaines scènes d'un réalisme exténuant. J'ai quand même une remarque à faire : je me pose souvent la question "pourquoi la plupart des films trashs se déroulent dans les pays de l'Est ("Hostel", "I Spit On Your Grave 2",...) Certes un film simple mais, efficace, malsain et gore. Voilà ce qu'est "Hostel". Une vrai virée en enfer.
Arnaque totale. Qu'"Hostel" fasse partie de ce genre de films tutoyant du début à la fin le néant intellectuel, d'accord (c'est d'ailleurs pour cette raison que je l'ai regardé). A l'inverse, qu'il soit incapable de tenir des promesses qui n'avaient en soi rien d'exceptionnel (juste un peu de gore et de violence fun) me dérange bien plus. Si absolument rien ne se passe pendant une heure (et ce n'est pas le scénario crétin, la mise en scène pitoyable ou les couleurs affreuses qui vont nous intéresser), les trente dernières minutes ne valent pas grand-chose non plus. Une jambe percée, un petit coup de tronçonneuse et basta. Foutage de gueule ! Sans humour, sans mordant, sans trash, "Hostel" est une bonne bouse se prenant étonnamment au sérieux. Bien sûr, les acteurs sont tous à brûler. Et le délire paranoïaque typiquement Bushiste (on est américains alors personne ne nous aime, bouh les méchants, c'est pas juste !) donnerait presque envie (après deux-trois pétards) de cautionner le 11 Septembre. Minable, misogyne et plein de préjugés témoignant d'un ethnocentrisme d'une rare bêtise.
Je ne pensais absolument pas voir un bon film avant de commencer !! J'en ait toujours entendu parler et j'étais assez curieux de le visionné ... Mais quel surprise !! J'ai trouver le film vraiment intéressant, il dénonce beaucoup de choses, et, certes le gore est vraiment gore, mais il aide à développer la vision du réalisateur. Je conseil vivement !!
Un très grand film d'horreur qui m'a vraiment retourné! Je ne m'attendais vraiment pas à ça et à cette fin! Eli Roth est un excellent réalisateur du genre, à ne pas louper!
Je ne comprends pas... Je pensais avoir choisi la catégorie horreur. Pas érotique ! Après 40 minutes de sex où aucun scénario n'est abouti (on parle quand même de la moitié du film), le film nous propose encore 40 minutes de gore très peu convaincant ! Vous voulez du gore ? Regardez l'intégrale de "Saw", au mois "Saw" vous propose du gore du début à la fin ! Et que dire de la fin ? On parle quand même d'une course-poursuite dans les rues d'une ville ! Où te caches-tu film d'horreur !?
Des nichons à foison pour vendre une bobine de grotesque, de voyeurisme... Y'a un truc qui loupe pas dans le cinéma d'horreur : quand le réalisateur s'entête à nous montrer des gonzesses à poil, c'est qu'le film s'annonce très mal barré. Et ici donc, BINGO ! Le cinéma d'horreur, c'est censé nous fouttre les pétoches sans pour autant nous montrer du sang. Ici, y'a pas d'ambiance, c'est mal rythmé, c'est dégueulasse... Le message? En Europe de l'est, c'est pauvre, donc : tout le monde est méchant ! Jusqu'aux enfants qui n'hésitent pas à défoncer le crâne des passants à coups de pierre. Alors j'veux bien qu'la misère engendre le crime, mais de là à transformer tout un chacun en psychopate fini, non ! Le scénario découle directos d'un Saw, mais tient sur un coin de nappe, à l'inverse de celui de Whanell. Nan c'est franchement mauvais, le réal se complait dans ce bain de sang, prend son pied à nous montrer l'épouvantable, et moi, en tant que grand fan du Vrai cinéma d'horreur , je n'ai qu'une chose à dire : c'est incensé, même dangereux.
voila un film gore a souhait , excellent jeu d'acteur , des comediens doués et un scenario tres bien ficelé ! moi qui ai l'habitude de ce genre de film , je peux vous dire que la , ca m'a fait froid dans le dos ! interdit aux moins de 16 ans , surtout , ne l'oubliez pas car un enfant pourrait etre choqué a vie !!! dommage que les suivants n'ont pas ete si bons que celui ci ...
Rarement vu une merde pareil. C'est moche, mal réalisé, malsain, et pour couronner le tout sa ne fait pas peur a un seul instant. Ce film est vraiment le genre de film cheap car tourner avec du matos et des acteurs en cartons car il n'y a pas de blé, mais en meme temps qui irais mettre de l'argent dans des navets pareil ? C'est la qu'on voit toute la différence entre un grand film et un Navet. Shining a une ambiance malsaine mais est un exelent film, hostel a une ambiance malsaine, mais est tellement mal foutue qu'on rajoute du gore pour pallier a ça et faire "trop dark et hardcore". Pathétique.
J'ai bien fait d'aller jusqu'au bout. La première partie est ennuyante, caricaturale, vraiment sans intérêt à part poser les bases de la seconde partie. Une critique du racisme et de la vision des occidentaux sur les pays de l'est ? Mouais. Soit Eli Roth ne va pas bien loin dans sa démarche, soit c'est surtout qu'il rate un peu la mise en place de son histoire et de son ambiance. Bon, y'a des jolies filles seins nus alors on se laisse emmener jusqu'à la 50ème minute du film (et certaines choses comme le passager dans le train intrigue suffisamment pour qu'on ait envie d'en apprendre un peu plus). Enfin, l'ambiance se fait oppressante, on éprouve un peu de sympathie pour le personnage (dans la première partie, les personnages stéréotypés et débiles au possible empêche toute forme d'empathie) et on en viendrait presque à s'émerveiller devant la violence de la torture (bien moins suggérée que je ne m'étais l'entendre dire) et le sang qui tapisse les murs de cette "usine à meurtre". Pour le coup, on aperçoit une vraie critique : celle du voyeurisme malsain spoiler: (le "si tu veux regarder, il faut payer" est utilisé deux fois : dans la première partie, avec la prostituée d'Amsterdam et dans la deuxième partie, lors de la torture de l'asiatique , de l'argent qui permet de tout obtenir pourvu qu'on y mette le prix, du paraître spoiler: comme lors de la scène où le héros se retrouve dans le "vestiaire" des riches qui payent pour tuer et qu'il rencontre un homme obsédé par ce qu'il inspire et comment il doit procéder ou encore à la fin, quand après s'être rendu compte de l'état de son visage, l'asiatique préfère se jeter sous un train plutôt que de vivre toute sa vie défigurée etc. La morale de fin est douteuse : spoiler: le héros, en tuant le tortionnaire de son amis, se met au même niveau que les tueurs. Elle semble être là seulement pour flatter les pulsions du spectateur qui crie à la vengeance mais n'apporte pas grand chose. Plus profond que je ne le pensais (et que la première partie ne le suggère), le film est cependant plombé par sa première partie digne d'un teen-movie trash.
Une des plus grosses daubes du film d'horreur ! Hostel, qu'est-ce que ça raconte ? Et ben c'est simple, vous prenez 3 loosers américains sortis d'un mauvais épisode d'American Pie qui sont de sortis pour l'Europe et aller jusqu'en Slovaquie. Pourquoi donc ? Visiter des lieux historiques ? Soutenir des causes humanitaires ? Non, mesdames et messieurs, ils sont là pour se faire des gonzesses à droite et à gauche et pas n'importe lesquelles car ils sont exigeants en matière fraîche comme des gros seins, et de belles formes arrondies au menu. Ça c'est la première partie du film, pour amener à quoi, et bien à la partie gore du film à savoir, pour expliquer simplement, des hommes et des femmes ligotés à des chaises plantées au sol pour servir de distraction à des sadiques qui savent tellement pas quoi faire de leur temps et de leur frics et gaspillent les deux en devenant des tortionnaires de dernière classe dans un monde manichéen où les américains sont gentils et les européens sont des pourris avides de sang et les européennes sont des....... bref vous aurez compris. Eli Roth, change de métier, t'es nul !!!
Un film culte, tout comme massacre à la tronçonneuse 1974, le public s'attend à des déluges de sang, mais Eli Roth prend sont temps pour posé sont histoire et présenté ses personnages, ce qui est le plus important dans un film, et le film n'est pas plus sanglant que ça, mais tout comme Massacre a la tronçonneuse l’atmosphère glauque et malsain de l'oeuvre fait sont petite effet