Mon compte
    Bienvenue à Suburbicon
    Note moyenne
    2,8
    2338 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Bienvenue à Suburbicon ?

    225 critiques spectateurs

    5
    12 critiques
    4
    54 critiques
    3
    76 critiques
    2
    51 critiques
    1
    17 critiques
    0
    15 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    36 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 décembre 2017
    décalé, incisif, cruel, violent... George clooney signe son meilleur film avec un Matt Damon et une Julian Moore de haute volée...
    axelle J.
    axelle J.

    106 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2017
    Ne pas se fier aux apparences de la ville de Suburbicon car les gens qui paraissent bien sous tous rapports sont en fait horribles, minables, monstrueux pour une bonne partie d'entre eux.
    Cette comédie policière nous le démontre de façon exemplaire.
    C'est cinglant, horrible ce qui se passe et en même temps drôle car certains dialogues ou situations valent leur pesant d'or.
    A voir.
    angelo F.
    angelo F.

    43 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2017
    C'est une comédie dramatique et policière de haute volée et jubilatoire !
    Le mélange est explosif : meurtre, mensonges, dissimulations, racisme, cruauté, humour, loufoquerie, enquêtes, famille, voisinage...
    Nous voilà devant une petite bourgade américaine en 1959 pas belle à voir !
    J'ai adoré.
    alain D.
    alain D.

    10 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 février 2018
    Malaise en regardant ce film ! C'est classé comédie et ça devrait être en catégorie glauque. On ne croit à rien, on n'adhère à rien et tout est mélangé. Erreur de casting avec le Nikki qui n'est visiblement pas à l'aise dans son rôle. Bref, ça colle pas !
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 726 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2017
    Le dernier film de George Clooney en tant que réalisateur est l’adaptation d’un scénario des frères Coen, qu’ils ont longtemps gardés sous le coude sans jamais franchir le pas. C’est donc Clooney qui s’y colle. Et franchement, on m’aurait soutenu que Ethan et Joël Coen étaient derrière la caméra, je l’aurais cru sans problème. « Bienvenue à Suburbicon » met en scène les années 50 en adoptant les codes techniques des films des années 50 : décors un peu criard, jeu un tout petit peu surjoué, musique qui souligne bien les effets, effets de mise en scène (utilisation des ombres, cadrage particulier, etc…). Clooney est parti du principe qu’en adaptant les frères Coen, il fallait coller à leur style et que c’était l’occasion de filmer « à l’ancienne » une comédie policière qui fait la part belle aux rebondissements, aux faux semblants, aux coïncidences aussi. Dans le genre « old school », il réussit son coup, son film est bien calibré, bien rythmé, le suspens y est maintenu le temps qu’il faut et toutes les scènes d’enchainent sans difficultés, sans à-coup jusqu’à un final sanglant, dévastateur et cynique à souhait. L’humour noir, cela doit être drôle pour fonctionner et ici, ça fonctionne. spoiler: Que ce soit avec une tasse de café ou un sandwich confiture-beurre de cacahouètes,
    ce qui doit arriver arrive : on le voit arriver, et ça arrive, fatalement, et sadiquement dans son fauteuil de cinéma on se marre doucement. Le scénario n’est pas très compliqué à comprendre : une famille blanche bien comme il faut se montre polie (juste polie, même pas amicale) avec leur nouveaux voisins noirs et le soir même, ils sont agressé chez eux : on y voit évidemment tout de suite une relation de cause à effet et cette ambigüité dure, un petit peu, spoiler: juste le temps que l’on se dise qu’on fait fausse route, à cause de quelques détails apparemment anodins.
    Il n’y a pas dans « Bienvenue à Suburbicon » de rebondissements qui nous laisse pantois, il y a des rebondissements mais on les a senti venir, parce qu’on est malin, en tant que spectateur, on ne la nous fait pas ! Cette façon de jouer avec un faux suspens pour mieux nous embarquer dans un polar noir et cynique, le tout trempé dans un humour décalé, est assez efficace. La violence du film, qui est réelle (il est interdit au moins de 12 ans) a tendance à être désamorcée par cet humour noir qui fait qu’on sourit au lieu de frissonner, même si à l’écran les personnages commettent le pire avec une facilité déconcertante. « Bienvenue à Suburbicon » est la peinture d’une société américaine en apparence paisible et bien élevée mais qui se révèle abominablement violente, raciste, sans scrupule et sans morale. Les blancs de Suburbicon ont beau aller à l’Eglise tous les dimanches, ils se comportent dans leur vie à l’inverse de la charité chrétienne et de l’amour de leur prochain ! On peut regretter que le scénario des frères Coen n’aille pas un tout petit peu plus loin encore dans la critique acerbe de ce microcosme hypocrite, qu’il ne traite le harcèlement de la famille noire que comme un détail de l’intrigue, une sorte de toile de fond. J’ai cru, j’ai espéré que cette attitude ségrégationniste allait interférer plus qu’elle ne le fait dans l’histoire de la famille Lodge. Car c’est bien l’histoire du petit Nicky Lodge et de sa famille dysfonctionnelle qui est au centre de l’intrigue, la famille noire qui loge à côté est presque traité de façon anecdotique. La famille Lodge, dans laquelle on ne comprend pas d’emblée qui est qui, dont les membres semblent plus liés par la trahison et le mensonge que l’amour familial, où on traite les enfants comme des objets un peu encombrants et sans psychologie, est effrayante. Mais tout effrayante qu’elle est, est-elle improbable dans l’Amérique de 1959 ? Hum…pas si sur… Néanmoins, si le jeu des acteurs est un peu surjoué, l’intrigue est elle aussi un tout petit peu excessive, trop cynique, trop noire pour être parfaitement crédible. Les coïncidences et les rebondissements sont aussi un tout petit peu exagérés, comme si l’on était davantage devant un conte moral qu’un véritable polar. Si l’on accepte cette idée, alors le film se laisse voir avec un vrai plaisir presque coupable. Matt Damon et Julianne Moore (qui tient un double rôle pendant un tout petit moment) donne corps à cette famille toxique et malsaine, apparemment très fréquentable mais toute pourrie quand on gratte un tout petit peu. Le petit Nicky est interprété par le jeune Noah Jupe qui est le vrai héros de « Bienvenue à Suburbicon », tout compte fait. Il se fond dans ce rôle comme il faut, surjouant la peur quand on le lui demande, et qui pose sur sa famille un regard de plus en plus désabusé, et il y a vraiment de quoi. On peut souligner aussi la qualité de certains seconds rôle comme celui des deux agresseurs ou surtout celui de l’enquêteur des assurances (Oscar Isaac) truculent et drôle mais spoiler: tout aussi pourri au final que les autres personnages, alors qu’on l’a fugacement trouvé formidable.
    C’est ça le truc à Suburbicon : personne n’est ce qu’il prétend et tout le monde est bien pourri à l’intérieur sauf les enfants (encore innocents) et la famille noire qui sert d’exutoire à une population blanche qui a la bave aux lèvres. On pourrait trouver cela caricatural, ça l’est peut-être en partie mais l’Amérique de la ségrégation raciale était une caricature de société et les lynchages et autres meurtres raciaux ne sont pas une vue de l’esprit mais un abcès historique que l’Amérique de 2017 doit encore finir de crever. « Bienvenue à Suburbicon » est un film sur les années 50, aux couleurs des années 50 mais qui, au regard du fond, reste très moderne et pertinent. On peut regretter qu’il n’aille parfois pas assez loin, qu’il manque de mordant ou de cynique sur tel ou tel point, et excessif sur d’autres mais il n’en demeure pas moins un bon film réussit, agréable et que l’on peut déguster sans problème, surtout si on aime les saveurs sucrées-acides.
    nadège P.
    nadège P.

    125 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2017
    Un régal de noirceur et d'humour.
    Quelle horreur sous les apparences, c'est effrayant.
    Je recommande cette comédie originale, glaçante et divertissante.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 décembre 2017
    Pourquoi ce film a-t-il été boudé ? Je ne comprends vraiment pas. Je l'ai vu presque par hasard : sorti le 6 décembre, il n'est déjà plus dans les grandes salles 2 semaines après ?!? C'est incompréhensible. L'histoire est pourtant excellente, c'est bien joué, et la 2e partie du film est vraiment drôle et jouissive. Je ne regrette vraiment pas d'y être allé, et à l'avenir je me méfierai des aigris (critiques pros ou amateurs) qui ont failli m'en dissuadé.
    Si ça passe encore par chez vous, allez voir ce film : vous passerez un excellent moment.
    Avoine M.
    Avoine M.

    46 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 décembre 2017
    Un scénario des frères Coen, véritable concentré d'humour noir qui ravira les fans nostalgiques de Sang Pour Sang et autre Fargo des mêmes frangins, que Clooney met en images avec dévotion tout en y ajoutant sa petite touche de critique sociale.Un régal.
    Fabien S.
    Fabien S.

    454 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2018
    Une bonne satire de l'Amérique lors de la segeration raciale durant les années 50. Julianne Moore est étonnante dans un double rôle de la mère et de la tante du petit garçon.
    Caroline Le Charles
    Caroline Le Charles

    2 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2017
    Dingue et génial.
    A prendre au 2ème degré et pourtant subtil. On rit aussi, acteurs formidable et surtout le petit Nicky !
    colombe P.
    colombe P.

    124 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 décembre 2017
    J'ai vraiment "kiffé" ce thriller noir haut de gamme.
    Ce film est particulièrement soigné au niveau des décors, costumes bref de la réalisation entière.
    Aussi les rôles et les dialogues sont aux petits oignons.
    Derrière une façade lisse et belle, il y a la noirceur des habitants, des gens qui s'avèrent racistes, cruels, méchants, opportunistes et sans aucune humanité.
    D'un côté une bande de riverains racistes qui se déchaînent contre une famille noire et de l'autre côté un père de famille monstrueux.
    Le tableau humain n'est pas beau et ce que dénonce le réalisateur.
    C'est un film savoureux, jouissif avec beaucoup d'humour.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 décembre 2017
    C'est une histoire vraiment prenante, inquiétante et hallucinante.
    Cette histoire familiale est incroyable et horrible.
    Egalement le film nous montre l'Amérique raciste des années 50.
    Excellent film.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 142 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 décembre 2017
    Rares sont les moments où je n’arrive pas à voir autre chose à l’écran que des acteurs lisant leur script et des techniciens accomplissant leurs artifices formels… Eh bah là, avec ce « Bienvenue à Suburbicon », ce fut le cas de la première minute à la dernière ! Un vrai festival ! C’était limite si je n’entendais pas George Clooney en train d’expliquer sa démarche en même temps que je voyais l’intrigue se dérouler. Et franchement, à bien y réfléchir avec le recul, je crois même que l’un dans l’autre j’aurais encore préféré que George Clooney explique vraiment sa démarche en direct. Parce que bon, durant l’intégralité des trois premiers quarts d’heure, il fut pour moi impossible de comprendre où ce film voulait en venir. Après une amorce à la « Edward au mains d’argent », voilà que l’ami George entend commencer par une scène volontairement caricaturale qui vise à tourner en ridicule une population qui refuse d’accepter une famille noire dans leur quartier. Donc OK, visiblement l’ami Clooney entend surfer sur la vague du grotesque. Soit… Seulement voilà, dès la scène suivante, le film décide de basculer sur une toute autre intrigue en adoptant le ton d’un thriller froid qui cherche à imposer une atmosphère tendue (…enfin « tendue »… Disons pour être honnête qu’elle est aussi tendue que la peau du menton d’Edouard Balladur, c’est dire.). Alors bon, pourquoi pas… Sachons nous adapter : le thriller donc… Mais voilà qu’on enchaine dans la foulée sur encore autre chose ! On reste sur l’intrigue du thriller, mais le film en abandonne les codes pour basculer sur quelque-chose de plus mou, impersonnel et difficile à qualifier ( spoiler: Je pense ici à cette phase où la famille Lodge reçoit des condoléances de toute part. Aucun angle n’est offert pour savoir comment appréhender ces scènes, si bien que celles-ci tombent totalement à plat, se contentant simplement de transmettre l’information « la famille Lodge reçoit des condoléances » et rien de plus. Le seul moment où quelque-chose est tenté c’est quand le personnage de Gardner reçoit les condoléances de la part de son patron. Mais pour le coup, la chose est soudainement tournée en ridicule sans qu’on comprenne pourquoi ni comment on est sensé prendre la scène. C’est sorti comme ça, totalement ex nihilo. Ç’en devient un moment de cinéma très gênant…
    ) Et en gros c’est comme ça pendant trois gros quarts d’heure donc : les scènes banales s’enchainent sans qu’on comprenne vraiment leur finalité ; la tension est tellement inexistante qu’il est impossible de savoir si c’est volontaire ou pas ; et des moments de grotesques tombent un peu comme ça, aléatoirement, et souvent au plus mauvais moment… C’est alors qu’au bout de trois quarts d’heure est donc survenue la révélation. Il a suffi d’une seule scène pour comprendre à la fois l’intrigue et en même temps l’ampleur du désastre ( spoiler: Je parle ici de ce moment où Rizzoli et son pote débarquent dans le bureau de Matt Damon
    ). Avec cette scène, la démarche de l’ami Clooney apparait au grand-jour et à son plus grand désavantage. Avec elle, on comprend qu’en fait, depuis le départ, ce gars essayait de faire un film qui soit à l’image de ceux des frères Coen (d'ailleurs ils sont crédités au scénario). Beau modèle j’en conviens, mais encore faut-il avoir compris comment ça se ficelait un film des frères Coen ! Tout d’abord – non – l’humour des Coen n’est pas basé sur le ridicule, il est basé sur l’absurde. C’est parce que les personnages accomplissent des actes absurdes ou parce qu’ils entretiennent des conversations absurdes qu’ils en deviennent drôles et ridicules. En soi, un personnage ridicule qui se contente de commettre des bourdes et des grimaces n’est pas suffisant pour faire un humour à la Coen. Or dans ce film, les touches d’humour ne se limitent qu’à ça. Et elles tombent souvent à plat parce que ces touches tombent toujours aux moments où il ne faut pas, notamment en plein milieu d’un moment où une tension est sensée monter. Parce que oui, en plus de ça, il faut qu’à côté de ce problème d’humour, il y ait un problème pour générer les tensions. Chez les Coen, une tension ne se construit pas toute seule. Elle va s’appuyer sur un conditionnement minutieux du spectateur qui doit se dire « je ne sais pas ce qu’il va se passer, mais je sens que ça va pas super bien se passer, et au vu de ce que disent les personnages, je peux même craindre que ça prenne une tournure inattendue, crue et dévastatrice pour l’intrigue ». Or, pour reprendre la première scène de tension de ce « Suburbicon », elle déboule juste après une scène toute guillerette, sans subtilité, et noyée par une musique pompière qui ne laisse aucune place à la tension. Rien n’est mis en place. Ni la manière de filmer la maison, ni l’habillage sonore, ni une mise en contexte préalable ne permet d’assimiler ça à une scène tendue. Du coup on regarde la scène sans savoir si ce qu’on nous présente doit être une source d’effroi, de tension ou pas. Et comme généralement on doit attendre la scène suivante (voire plus) pour comprendre a posteriori l’intérêt et le sens des scènes, tout ce qu’on observe à l’écran se prend par conséquent de manière dépassionnée, comme de la simple information et rien de plus… Alors du coup, quand j’ai compris dans la deuxième partie du film que Clooney comptait faire de ce « Suburbicon » une sorte de « Fargo » dans les suburbs d’ « Edward aux mains d’argent », j’ai juste ma mâchoire qui m’est tombé sur les cuisses. Mais enfin George ! On ne peut pas faire un « Fargo » avec une musique aussi omniprésente, pompière et dégueulasse ! On ne peut pas faire un « Fargo » quand on est infoutu de savoir choisir un genre et de s’y tenir ! On ne peut pas faire un « Fargo » quand on ne sait pas faire identifier au spectateur les enjeux d’une scène ! On ne peut pas faire un « Fargo » quand on pose, qu’on abandonne et qu’on reprend de manière quasiment aléatoire les éléments d’intrigue qui sont sensés constituer l’histoire ! ( spoiler: « Ah bah oui tiens ! Cette histoire de communauté qui n’accepte pas les noirs ! C’est vrai qu’on les a bien oublié ceux là ! Allez ! Reparlons-en maintenant parce que ça se présente ! » Et que dire de l’oncle Mitch qu’on voudrait nous faire percevoir comme un personnage essentiel alors qu’il fait des passages aussi fins que des rondelles de salami ?! Ah et puis oui au fait… Suburbicon et sa communauté… En fait, pourquoi on en parle ? Le film se passerait dans n’importe quelle autre ville ça ne changerait rien à l’histoire dans l’espace ici désigné n’a finalement que peu d’importance !
    ) Rolalah mais c’est incroyable ! Non mais ce film, c’est juste le festival du flop ! Rien ne marche parce que tout est toujours fait dans le désordre, soit avec la mauvaise musique ou le mauvais montage, soit sans les éléments explicatifs nécessaires, ou soit souvent les deux à la fois… Et quand en plus on constate que l’ami Clooney a cherché en plus de cela à caser par-dessus cet ensemble bancal de bons gros messages politicards en mode « les racistes ils sont quand même vraiment pas malins » ou bien encore « on se croit tous bien sous tout rapport dans nos petits paradis factices mais en fait non ! » mais pour moi c’est juste la goutte d’eau qui fait déborder le vase ! Non mais oh ! Une telle accumulation de lourdeurs, d’erreurs et de fautes de goût, ça relève carrément du challenge ! En tout cas, bravo à George Clooney, parce que j’ai beau ne pas savoir qu’elle était son pari, mais une chose est sûre : c’est gagné ! We did it ! Se louper à ce point sur tous les champs possibles offerts par le cinéma, ça au moins le mérite d’être du grand art… Bon alors après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    François-Xavier C.
    François-Xavier C.

    8 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 décembre 2017
    Un excellent film dans la veine des Fargo et autres... L'epoque est bien rendue. Les images rappellent celles des pubs d'époque. Ça sent bon le formica, les mises en plis, les gros V8 et l'american way of life de l'immédiat apres-guerre, avec ses turpitudes aussi... C'est du Coen mais pas exactement... manque un je ne sais quoi, cette dérision, ce second degré, notamment dans les scènes un peu dures. Mais bon, good job quand même, Mr Clooney !
    mister
    mister

    15 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 février 2021
    Le plus dérangeant dans ce film se sont les critiques des personnes qui ne connaissent pas l'histoire du développement des "surburbs" des villes américaines. Avec la mécanisation des campagnes du sud des Etats-Unis dans les 1920, les noirs sans emplois qui travaillaient dans les plantations se sont massivement reconvertis dans les emplois industriels des villes, et ont importé avec eux leurs lots de violences, de meurtres et de trafics de drogues. Pour échapper à cet enfer qu'est devenu le centre des villes américaines envahis par les populations noires largement sous éduquées et aculturées, la middle classe blanche s'est réfugiée dans les "suburbs" qui proposaient des environnements surs et paisibles. Donc les critiques sottes qui hurlent à tout bout de champs "racistes" (comme un réflexe pavlovien des qu'on touche un cheveux d'un black) feraient mieux d'étudier l'histoire des USA et comprendre que les "suburbs" ont été créés comme un sanctuaire pour préserver les valeurs culturelles de la middle classe américaine. Voir un noir débarqué dans leur lotissement est évidemment un mauvais présage et fait monter la peur que d'autres arrivent et transforment leur vie paisible en l'enfer que sont devenus les centres villes minés par les gangs blacks. Donc la réaction de ces gens est compréhensible et légitime. Arrétez de crier au "Racisme" comme des ânes et essayer un peu de se mettre à la place de ces gens et de ce qu'ils ont vécus, chassés des villes par une communauté qui les ont persécuté.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top