Avis : Ma place au soleil - Page 2

On ne peut pas s'y tromper en voyant l'affiche, Ma place au soleil est un véritable film chorale. On va peut-être vite s'en lasser vu le nombre de film chorale sortis ces dernières années, mais celui la a au moins le bon gout d'être de bonne qualité. Alors rien de très original dans ce film ou l'on nous plonge dans la vie de nombres de personnes à la dérive dans leur vie personnel et affective. Rien de très original à part peut-être la relation entre les différents protagonistes, très intéressante. En particulier, les rôles masculins, et en premier lieux ceux de Paul (François Cluzet) et Franck (Gilles Lellouche). Les autres personnages masculins sont également intéressant, à part peut-être Pierre (André Dussollier) qui est dans un rôle plat et inintéressant, et surtout beaucoup trop proche de son rôle dans le Cœurs d'Alain Resnais.
Les personnages féminins sont beaucoup moins intéressants. Mis à part Sandra (Valeria Golino), aucune n'est franchement intéressante. En particulier, Véronique (Mélanie Doutey) et particulièrement exaspérante et gâche beaucoup le film. Ma place au soleil est un film chorale qui n'invente ni ne révolutionne rien, mais qui reste très intéressant dans sa relation entre les personnages.

Ma place au soleil, première réalisation de et avec Eric de Montalier où il nous fait découvrir plusieurs destins, où se croisent et s'entrecroisent divers personnages et autres couples. Malgré une distribution " 4 étoiles " auquel on trouvait Nicole Garcia, Jacques Dutronc, André Dussollier, Mélanie Doutey , François Cluzet, Valeria Golino, Gilles Lellouche, Elodie Bouchez & Hippolyte Girardot. Ce mélo dramatique s'embourbe dans d'innombrables histoires de coeurs auquel on essaye tant bien que mal de rester accrocher. Ils sont tous confrontés à des difficultés pour cohabiter ou pour s'épanouir. Un film choral qui prend son temps, peut être un peu trop d'ailleurs car on commence rapidement à sentir la fatigue et l'ennuie nous envahir. Même les acteurs sont loin de nous passionner avec leurs querelles amoureuses. Tel Jacques Dutronc, à la fois glaciale et statique ou encore Eric de Montalier qui, malgré de brèves apparitions, on en vient à ce demander si sa prestation est utile. Seul une petite poignée d'acteurs s'en sortent pas trop mal, notamment André Dussollier ou encore Nicole Garcia & Mélanie Doutey qui à elles seules, sont les véritables rayons de soleil de cette " fiction sociale ". Entre infidélité, réflexion sur le bonheur et acceptation de soi, tout ce que l'on retiendra de Ma place au soleil, c'est son scénario quasi inexistant et ses différentes intrigues auxquels on a du mal à cerner les véritables raisons !

Eric de Montalier réalise, avec Ma Place Au Soleil, son premier film, son premier échec. Même si le plaisir (peut-être trop prétentieux) de diriger autant d'acteurs, de générations différentes, est palpable, le spectateur n'en ressent pas moins une profonde envie de dormir et le sentiment de s'être fait avoir : esthétique de téléfilm du dimanche, scénario ultra-prévisible, image horriblement laide, musique tellement présente qu'elle en devient oppressante et cabotinage d'acteurs abonnés à des rôles qui ont fait leur succès (l'exemple le plus flagrant étant Dussolier, faisant du Dussolier, Girardot étant, quant à lui, sous-utilisé). Or, ce n'est pas en reprenant les vieilles recettes du passé qu'on innove. Le film termine enfin son suicide avec le rôle faussement "évangélique" du personnage joué par le réalisateur lui-même, la scène la plus navrante de mièvrerie et d'égocentrisme étant celle de l'aéroport, pathétique à souhait. On est dans le domaine du cliché, du gros, du lourd. Seule la toujours sensible Valeria Golino apporte un rayon de soleil dans ce ciel gris de mars.

haaaaaaa, rien qu'en voyant le casting de cette belle brochette de vainqueur j'aurais dû me méfier...girardot,jacques dutronc, dussollier..c'est le pavillon des pretentieux! Le film est donc un défilé de copinage, comme si vous decidiez de filmez une réunion de potes. Dans la vie ça peut etre sympa mais au cinéma c'est chiant et c'est caricaturé (nos amis acteurs n'ayant qu'une vague idée du monde hors de leur sphère). Comment font ils ces réalisateurs sorti du placard pour avoir l'argent pour faire un film avec un casting pareil ? Le cinéma français n'est pas près de sortir de sa propre caricature..Clouzot reviens, ils sont devenus nuls !
p.s.: preparez vous au choc de l'année: "l'auberge rouge " avec clavier dans le role de MR FERNANDEL..on est prié de ne pas s'ouvrir les veines dans les salles de cinéma

Un film qui se veut prétentieux et talentueux. Mais on se demande quel est le producteur qui a réussi à dégoter de l'argent pour un tel merdier. Voyons... Bruno Lévy! Le produceur des Poupées russes, mais que diable allait-il faire dans cette galère (ah, ah). Bon, faut dire que l'on pouvait miser beaucoup sur le casting, rempli uniquement de grands acteurs français. Ainsi, hormis André Dussollier et Nicole Garcia, tous les acteurs sont gachés et mal mis en scène. L'acteur qui me déçoit le plus est forément François Cluzet, qui méritait en effet son César pour Ne le dis à personne, mais qui descend au plus bas avec Ma place au soleil. Gilles Lellouche, Hippolyte Girardot, Jacques Dutronc (aïe), Mélanie Doutey, Valeria Golino, Elodie ouchez, tous ceux là sont vraiment au plus bas. Mais le plus navrat, ce sont les inter-minables - et totalement hors sujet - apparitions du réalisateur dans l'aéroport. Ou va t'on??? Et pourtant ce film avait tout pour plaire: le casting, l'affiche, l'histoire. Mais rien y fait, c'est une première oeuvre bidon et râtée, qui a fait un flop autant critique que public, et fort heureusement. des dialogues préparés, des caricatures navrantes et un film énervant. le bâteau a fait naufrage et on est pas déçu de l'apprendre.

L'entrée en matière fût très difficile et à la fin du film on se pose encore la question du : pourquoi nous avoir envahit de personnages aussi complexe, sans pour autant nous avoir à dire véritablement quelque chose ? Evidemment tous ces gens sont excellement bien interprétés et remercions l'auteur de nous avoir permis de voir des personnages féminin aux caractères bien trempés. Mais malgré de beaux jeux de caméra et une belle mise en scène, le manque de rythme est constent. Du cinéma éfficace, mais le film reste peu accessible pour un large public.

en dehors d'une affiche prestigieuse, le néant total à commencer par le manque de scénario; une enième histoire couples qui se cherchent et qui se déchirent, qui se mélangent et qui se croisent, déjà qu'on commence à en avoir un peu ras le bol de ce genre de film vu et revu, mais là en plus c'est indigent à tous les niveaux. Comment de tels acteurs n'ont pas baillé d'ennui à la lecture de la seule et unique page du scénario, c'est une grande question. Passez votre chemin, ce n'est même pas pour le dimanche soir à la télé.

Dommage que le résultat soit si incipide et ennuyant. Tous les ingrédients étant pourtant réuni la mayonnaise n'as pas pris.

Trois couples et leurs satellites, leurs problèmes, leurs adultères, bref du déjà vu et revu! Par miracle la sauce prend malgré tout, mais il faut aimer ça!
Chapeau à François Cluzet et magnifique Mélanie Doutey...

Un peu perdu dans cet ensemble de personnages car on se retrouve dans chacun d'eux, les sentiments sont présent, il n'y a pas autre chose, que des sentiments forts, ce qui fait la force du film et également sa mise en scène qui est vraiment excellente, le passage de personnageà un autre est superbe. Il n'y a pas vraiment d'histoires à proprement dit c'est plus une démonstration des sentiments amoureux. Assez surprenant.

J'adore les films dits "choraux" car je trouve que même dans ceux qui sont pas terrible, il y a toujours une ou deux scènes à sauver, mais là, voilà un terrible contre exemple : on rarement vu un film aussi mal troussé où tout sonne faux : les intrigues, les dialogues, le jeu des acteurs (pourtant pas des premiers venus) et surtout quel est l'intérêt de faire un film choral si ce n'est de ne jamais réussir à faire coexister les personnages et les intrigues entre eux : les personnages n'ont aucune épaisseur dramatique et on sort de la vraiment peiné pour ce gachis...

Un film choral sur la solitude, un Coeurs en moins fou, un André Dussolier identique et agaçant, un intéret difficilement trouvable, une allure tendre et poétique que trop peu exploitée, sans être foncièrement mauvais, Ma Place au Soleil nous laisse froid.

J'en ai marre de me faire avoir par des faux films... la distribution est pas mal, mais franchement, c'est enuuyeux au possible. 2heures qui n'en finissent pas... je ne comprends plus le cinema francais. Et me suis fait avoir aussi par les bonnes critiques publique sur ce site... qui avec 4 étoiles vous conseille d'y aller, alors que les profils n'ont qu'un jours d'existance. Ca va 5 minutes les avis de membres de la production... arretez de vous cacher. merci.

Leur place au soleil... Effectivement, tous les personnages la cherchent dans ce long-métrage sympathique, et ceci avec plus ou moins de succès. Ils se croisent sans se connaître ou se rencontrent fortuitement dans des lieux tels que le club de squash ou encore l'hôpital. En réalité, plusieurs histoires se mêlent et certaines sont mieux réussies que d'autres sur le plan scénaristique. En effet, l'intrusion du fantastique semble parfois incongrue au milieu de scènes de la vie quotidienne et tend à perdre quelque peu le spectateur. Néanmoins, certains passages sont intelligemment filmés (par exemple le dialogue croisé de deux "couples" dans le café). Mention spéciale également au personnage incarné par Gilles Lellouche et à ses multiples "râteaux" !!

je ne sais pas si ce film trouvera sa "place au soleil" au firmament du cinema français, mais je l'ai trouvé trèes poussif quant à l'intrigue ? et laborieux quant au scenario. Je ne le recommande pas .