Avis : L'Idéaliste - Page 2

Excellent film de Francis Ford Coppola. Très certainement son meilleur film.
Une histoire prenante, des acteurs fantastique surtout Matt Damon et Danny DeVito...
Dommage qu'il ne soit pas plus connu.
Tout simplement de l'art où plutôt du 7°Art

Un Coppola resté au purgatoire. Pourtant, l'intrigue est passionnante et renoue avec les thèmes humanistes du réalisateur et la mise en scène est flamboyant; on retrouve la beauté des meilleurs films du maître. Film oublié mais vivement recommandé.

Casting quatre étoiles pour un fil de procès réussi. Si Francis Ford Coppola a fait plus marquant en matière de mise en scène, "L’idéaliste" marche par l’optimisme béat de son personnage principal qui, à la manière d’un Churchill, va affronter les échecs et les épreuves sans jamais perdre son enthousiasme.

Un bon thriller de Francis Ford Coppola avec un avocat campé par le brillant Matt Damon et secondé par Danny Devito.

un film moyen avec beaucoup de dialogue et de bla bla

C'est sans appel. Francis Ford Coppola plaide en faveur d'une idéalogie juste sans fausse note.

Un des derniers de Coppola et un film très classique mais efficace. En effet le scénario tiré du roman n'offre aucun suspense et reste classique dans son déroulement mais ne souffre d'aucun temps mort grâce notamment à une réalisation soignée et une panoplie d'acteurs vraiment convaincants.

Un Matt Damon très jeune à la gueule d'ange pour un film en forme de réquisitoire des pratiques d'une certaine justice et surtout des grands groupes d'assurance . Bien réglé et bien mené !

Un film bien mal monté et filmé banalement, les parties dramatiques se diluent ennuyeusement dans un fond dégoulinant de bons sentiments avec en point d'orgue le trop classique procès. On peut se demander si c'est bien Coppola qui tournait tellement tout cela est inconsistant à l'image du jeu de Matt Damon. Finalement c'est encore Danny de Vito qui s'en sort le mieux bouchant les trous d'un film qui prend l'eau de toutes parts.

Dans la lignée de "Philadelphia", le film traite de la justice et une majeure partie se passe dans un tribunal. Coppola change de style pour en faire une approche plus tranquille et plus lente, et sincèrement ce n'est pas pour me déplaire. Matt Damon est excellent dans cet avocat débutant qui essaie de défendre une cause à laquelle des riches ne veulent surtout pas qu'il gagne. bref, c'est un petit film sympa qui m'a agréablement surpris.

Derrière une vive critique sociale sous forme de combat opposant une compagnie d'assurance peu scrupuleuse à un jeune avocat qui tente de lancer sa modeste carrière tout en préservant ses convictions, deux univers diamétralement opposés s'affrontent en usant des moyens qui leurs sont chers, l'argent d'un côté, l'éthique de l'autre, un grand classique des années 1990. Adaptation fidèle du roman de John Grisham, L'Idéaliste se laisse regarder sans déplaisir mais frise avec la caricature du côté des personnages et se montre trop sobre pour réellement atteindre des sommets. Il reste donc assez commun, notamment pour un Coppola, qu'on a incontestablement vu plus en forme.

Un film quelque peu idéaliste où le bon avocat, désœuvré et nouveau dans le milieu bat l'avocat expérimenté et véreux, sur une affaire d'éthique et de morale bien américaine. Mais grâce au talent de Coppola et de la multitude de grands noms présents sur le film, on passe un bon moment.

Film interessant doté d'un bon casting mais avec un scénario peut-être un peu trop "idéaliste".

Adaptant un roman de John Grisham, Coppola signe un film judiciaire de facture classique mais divertissant et prenant malgré quelques lourdeurs, bien aidé par un casting très séduisant.

Un très beau film de Francis Ford Coppola ! On nous parle ici de ce qu'est la Justice, de ce qu'elle est devenue, et de ce que deviennent les avocats s'il ne se souviennent pas pour quelle raison ils ont étudié le droit. Matt Damon interprète avec une justesse folle le rôle d'un idéaliste qui va se battre pour les valeurs qu'il voie en la Justice. Il n'accepte ni ne comprend que la Justice ne devienne qu'une stratégie pour vaincre et non une recherche de la vérité, le plus vicieux l'emportera. C'est ce dont on nous parle lorsque (spoil) Matt Damon et Danny DeVito prennent à leur jeux les avocats de Great Benefits en se servant des mouchards déposés dans leurs bureaux pour leur faire croire à une corruption de Jury ; ce passage est extrêmement important car il parle des limites à ne pas franchir. Comme le répète le personnage de Matt Damon à la fin du film, si vous transgressez trop souvent une limite, vous verrez cette limite s'effacer, en même temps que vous pour ne plus que vous fondre dans la masse de requins déjà présents. Et le film se permet de finir sur une note anticipative à la fin du film, lorsque le personnage de Matt Damon nous indique que de continuer à se battre seul ne servira à rien, mais d'aller chercher le problème à sa source en enseignant ce que sont Droit & Justice, alors en ce sens vous pourrez, via une expérience personnelle, expliquer aux étudiants pourquoi ils sont là, et pour quelle raison le métier d'avocat, en son fondement, est un métier honorable. On nous dit ici que cela ne dépend pas vraiment de la ou des règles que vous aller transgressez, mais pour quelle raison vous allez le faire et si vous êtes au fond de vous, bel et bien intentionné. Un film magnifique sur une vérité tristement présente aujourd'hui.