Avis : Je pense à vous - Page 3

Film trés sympa avec un trés bon Edouard baer ou on rigole bien. Donc un film fort sympathique sans longueur parfoi un peu farfelu, pour tout ce qu'il veulent passer un bon petit moment (il dure en effet que 1h30).

lamentable. Qu'est ce qu'on s'ennuie. Pas de rythme, pas vraiment de scénario non plus. Tout est linéaire et rien d'intelligent à en retirer.

Seul Baer sort un peu son épingle du jeu en montrant une sensualité qui devrait plaire aux femmes.
Mais bon, je suis un mec et en parlant de cela, les femmes sont horribles et surtout déplaisantes au possible.

Hermann (Edouard Baer) est l'éditeur de Worms (Charles Berling) auquel il a ravi naguère sa femme Diane. Un simple incident provoqué par Worms, mesquin et cynique, sème la zizanie entre Diane et Hermann.
Comédie cérébrale, plus ou moins, dans un microcosme intello-parisien-bourgeois - c'est un film de Pascal Bonitzer- "Je pense à vous" s'appuie sur un scénario et un tour d'esprit étranges et originaux, fantaisistes et malicieux. La comédie brouille les pistes en présentant une situation relevant sur le fond d'un banal boulevard tout en lui appliquant les effets d'un psychodrame, jusqu'à laisser, même, envisager à un certain moment spoiler: d'éventuelles proportions criminelles.

Ainsi, bien que les protagonistes affichent morosité et gravité, il ne nous échappe pas que la situation où ils se débattent, notamment les deux principaux, Hermann et Diane (Géraldine Pailhas), est somme toute comique et grotesque. La singularité du film tient précisément dans cette promiscuité entre la gravité et le ridicule. Les interprètes sont très bons, particulièrement Edouard Baer, dans le premier rôle, en époux incrédule, impassible et imperturbable...Jusque quand?

Pas grand chose dans ce film. Il n'a ni queue, ni tête et très très peu entre les deux. Les personnages sont tristement banals pour être interprétés avec brio. On s'ennuie du début à la fin en silence.

ça fait du bien de voir Baer dans un drame, de plus, un film pas trop con à notre époque ça fait du bien aussi.

Fin, sobre mais jamais vide, ce "je pense à vous" met en scene des personnages interessants, drole un brin torturés. Certe on pourra faire des reproches à ce vaudeville dramatique : un certain mysogyne notamment, et une legère impression de voir mis en scene comme certains phantasmes du realisateur mais qu'a cela ne tienne, l'interprétation, la qualité narrative et scenaristique nous font vite oublier tout cela.

Bonitzer prétend renouveler le vaudeville. Il ne faut pas compter s’amuser. Tout ces gens sont si antipathique que l’on se
désintéresse bien vite de leurs problèmes, et qu’une heure et demie en leur compagnie semble interminable. Tout le monde
couche avec tout le monde dans une ambiance parfaitement glauque et lourde. La mise en scène est d’une platitude totale,
les dialogues plutot mauvais, et les acteurs ne forcent pas. Même l’affiche est sinistre. Mention spéciale quand même à
Marina de Van, qui est parfaitement glaçante dans son rôle de psychopathe.

Film p l a t par excellence...
1 étoile pour les comédiens.
Je crains qu'edouard Baer ne s'habitue à tourner des films de ce genre, dommage car j'apprécie toujours son sens de la répartie, mais là quelle répartie?
tout tourne autour d'un quiproquo avec des rebondissements téléphonés.Et puis son ex, qui dégage une image triste et alourdit considérablement le film qui peine vraiment à décoller.
N'allez pas voir le film. Vous allez le regrettez.
On se ment à soi même en ayant de la sympathie pour les comédiens qui ne nous le rendent pas...

Les dialogues surtout emportent l'adhesion pour ce film aux situations étonnantes. Geraldine Pailhas et Charles Berling sont exeptionnels. Mais la mise en scène est un peu faible ainsi que Marina de Van qui joue son role sans nuance. (on l'a dejà vu faire ça dans son premier et tres bon film dont je me souviens malheureusement plus le nom)

un casting "quatre étoiles" pour un scénario qui part dans du n'importe quoi! qui croirait à cette histoire abracadabrante d'un couple qui croise "sur leurs routes" un autre couple et finissent par faire l'amour à trois finalement. si on rajoute ,en plus, des acteurs qui jouent "mais vraiment très mal"...

On s'ennuie ferme. Edouard Bert qui d'habitude, nous fait tant plaisir, réalise ici une performance quelconque. Heureusement, la dernière demi-heure est un peu plus "énergique"..

Eloge de la pluralité sentimentale , le film est dfficile a commenter tant par le rythme , un peu lent a mon gout mais pas necessairement mauvais , que par l'excellence d'Edouard Baer , comme a son habitude , qui en impose reelement et qui porte à lui seul , par son jeu l'essentiel du film. Ambivalence en sortie de salle , mais sentiment plutot positif..

Bravo pour Messieurs les acteurs Edouard, Hyppolite et Charles mais pour le reste, le film ne démare pas vraiment! C'est lent, sans consistance, servi par un scénario pâlot. On s'ennuie ferme!

Mesdames les actrices montrent leur anatomie. Serait-ce pour raviver l'intérêt du spectacteur? Le petit triolisme aussi? On a l'impression que le metteur en scène ne sait pas quoi inventer pour nous empêcher de sombrer dans une sieste automnale.

Bref, ce film-là sîtôt vu sera vite oublié!

Un film d'un ennui mortel, des personnages inintéressants qui parlent plus souvent de leur "pipi" que de leur travail, des scènes confondantes d'invraisemblance, une image terriblement laide. Il n'y a vraiment rien à sauver dans ce ratage complet. Et G. Pailhas, C. Berling, H. Girardot et autres P. Caroit: mais que sont-ils donc allés faire dans cette galère?

Reunir Baer & Berling ensemble, c'est prendre le risque d'obtenir un petite touche de cynisme et de dérision. Incontournable. C'est leur credo.
Tout le monde touche tout le monde. Tout le monde se connecte avec tout le monde. On rit. On meurt bcp (le seul moment de calme appréciable). La nature humaine dans une peinture vive et 'au couteau'. Acceptons de prendre un peu de recul et rions lentement, mais surement. Au final et au-delà des carricature exacerbées, il y a beaucoup de faiblesse, de naïveté à être dépendant de sa condition, de ses désirs ou de son ennuis. Le message et clair : vive la vie, par dessus tout !!
De l'humour subtil, à ne pas laisser dans toutes les vidéothèques. Cela peut choquer, sans doute.