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Un visiteur
1,0
Publiée le 14 juin 2008
Ben en y reflechissant bien ce film n'est pas si bien que sa...Beaucoup de scenes explicites mais bon c'est signalé il faut s'y attendre.Néanmoins je ne vais pas critiquer mechamment le film comme certaine bouse genre Borat.Acteurs plutot courageux de tourner du "porno" car on voit pas mal de sexe,il n'ont pas peur de se montrer au moin!Bref voila la critique est faite.
mouaip mouaip mouaip. Basé tout un film sur des histoires de fesses, sans vrai contenu, ...sa me rapelle quelque chose mais quoi? Ah mais un porno bien sur ! Sauf que le porno ne prétends pas être intellectuel, il fait ce qu'on lui demande de faire. La bonne chose a faire serait de virer toutes les scenes ou ils débitent leurs répliques a deux francs six sous, pour ne laisser que la baise. Juste une idée comme ça... La seule chose qui m'a légerement plus serait le fait qu'il y ai un ménage a trois, ce qui laisse un semblant de visibilité aux gens polyamoureux, et on salut quand même la visibilité pour les trans, les trav, les gays, les lesbiennes, c'est déja ça. J'ajouterais le film dans la section 'orgy' sur youporn. haha
En matière d'évocation directe des choses du sexe, on se souvient du film de Soderbergh, Sexe, mensonges et vidéo. En voici une variante moins psychologique, plus pornographique, parfois plus drôle. Il ne faut pas manquer le début : une scène d'autofellation qui défie les lois de la souplesse... Mais passé la surprise des scènes sexuelles très crues, non simulées, et d'une liberté de ton décomplexée, on a l'impression que le scénario tourne à vide, additionnant des épisodes insolites sans approfondir vraiment les personnages ou décrypter leur évolution. À partir d'un constat social un peu déprimant, l'auteur esquisse une utopie où le sexe en groupe apparaît comme la voie de l'épanouissement personnel. Une nostalgie post-hippie, adaptée au goût du jour ? C'est audacieux, mais pas totalement convaincant.
Bon je sais pas trop quoi dire sur ce film où je n'arrive pas trop à décripter un message quel qu'il soit du réalisateur. Certes, Certains passages sont sympa mais pas mal sont quand meme inutile ou trés limites (l'autofellation à quoi sert elle cette scene hein?) ou voire complètement farfelue. Bref un film un peu navrant que j'étais allez voir par curiosité en pensant voir une critique, mais on se retrouve avec des personnages complètement irréels.... Bref je suis déçu.....
Pour certains panégyrique de la vie estudiantine avec ses partouzes sans heurts et les "parties" sans fin de ses communautés; ce film représente pour d'autres le triomphe de la pensée unique plutôt fade. En tout cas à voir.
Une comédie érotique aux scènes sexuelles vraiment vraiment explicites. Contrairement à un film pornographique, les acteurs apportent de l'épaisseur à leurs personnages et on éprouve une grande sympathie pour ces handicapés affectifs qui ont tant besoin d'amour. Certaines scènes sont hilarantes: l'oeuf vibrant commandé à distance, l'hymne américain chantonné dans une partie intime... Après le 11 septembre 2001, les new-yorkais avaient besoin de se rapprocher les uns des autres. Et pourquoi pas par le sexe?
Les premières minutes de Shortbus sont drôles, déjantées et dérangeantes. Après ça a tendance à faire du sur place. Ce qu’il ressort de ce film, c’est que lorsque l’on est homosexuel, il est très difficile de sortir de son isolement, le couple n’en étant qu’une émanation plus élaborée. Ici l’idéal de l'amour nous est montré au travers un très beau couple hétérosexuel. Bref, malgré une forme qui se veut très délurée, le message ne l’est pas tant que ça.
Désespérément dérangeant. Ne sachant pas à quoi m'attendre avant le visionnage du film, j'ai eu l'impression de me retrouver devant un porno soft, dont les propos sans fond n'étaient qu'une façade à l'exhibition. Certaines critiques parlent d'une esthétique sobre, d'une image clean... attendez vous au contraire. Les personnages sont dérangeants, et ne dégagent aucune sympathie, les scènes crues sont entrecoupées de propos incohérents et s'enchainent sans réelle ingéniosité.
Jamais vu ça de ma vie dans un film ! Si vous pouvez tout voir et que vous n'avez aucun tabou sexuel, que ça vous intéresse et que les ambiances libérées vous plaisent, allez-y, il n y a rien d'autre !
d'un début intérréssant, ce film pose des problèmes qui me concernent peu, bien qu’agissant sur ma curiosité . Mais n'y répond pas . Le sexe reste un passe temps plus ou moins attirant après ce film .
Seul le vingt et unième siècle peut créer une génération de bourgeois bohèmes en pleine descente d'acide capable de crier "vive l'art" en regardant un homme, première scène du film, joyeusement se masturber et éjaculer dans sa propre bouche. Je passerai sur le fait de chanter l'hymne américain dans l'anus d'un pauvre type. Mais qu'à cela ne tienne! Ceci est trop cool, vive la liberté, whaou, il a osé! Mais qu'a t-il osé? Ce que la pornographie allemande nous sert depuis des dizaines d'années? Short bus est un film intellectuel pour les idiots acculturés, oui, osons le dire, confondant la provocation bien senti, le constat social et la gratuité du scabreux. Il faut véritablement arrêter de doter tout les étrons que des débiles nous servent d'une symbolique inexistante, appauvrissant le cinéma et le réduisant à un simple voyeurisme fade et vulgaire, sans une seule once de talent, surfant sur la vague d'un sectarisme se réduisant à "Whaou, trop provoc, si je me dis que j'aime, c'est que je dois être trop intelligent, non?" Que nenni... grave erreur.
A vouloir beaucoup dire et beaucoup montré, Shortbus en fait trop! c'est fouilli, décousu, parfois drôle, souvent intelligent et également souvent voyeur. Une oeuvre originale et moderne qui mérite le coup d'oeil.
Au choix pour certains compil de vacances d'immondes pourceaux riches ou pour d'autres intéressantes tranches de vie à la Bret Easton Ellis sans le coté sulfureux; au moins ce film a-t-il la franchise du propos. Même s'il n'y a rien dedans à raconter.
Voyage au coeur de l' anticonformisme, l art du cinema n' est t' il pas de nous donner un vision différentes de la réalité à laquelle on a été habitué et à cette exercice John Cameron Mitchell fait un sans faute. La qualité de la mise en scene et de la réalisation reside quant à elle dans sa simplisité et dans un profond humanisme. On notera cepandant une histoire très "platonique", comble pour un film ou tous les excès sont de mises.