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    Les Amours d'Astrée et de Céladon
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    65 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 février 2009
    L'astrée ,une pastorale de 5000 pages , écrite en 20 ans au début du XVII em, et réputée complètement illisible : le défi du réalisateur était osé.Dans un sens ,il est resté fidèle à l'oeuvre :c'est pas regardable ... On dirait un film amateur tourné par des lycéens avec un camescope .
    cineccita
    cineccita

    39 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 septembre 2007
    Des dialogues précieux qui manquent complètement de spontanéité.Cela enlève tout charme au film et du coup aucune émotion ne se dégage des personnages.
    L'histoire est à dormir debout,les acteurs ne sont pas toujours juste, bref ce film n'a aucun intérêt si ce n'est qu'il vous fait prendre conscience qu'être réalisateur où acteur ça ne s'improvise pas.
    aaber
    aaber

    14 abonnés 372 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 octobre 2007
    Champêtre mais peu festif ! Rhomer s'est raté sur ces amours-là ! L'étoile pour Céladon, d'une réelle beauté androgyne ! Sinon, rends-moi le barde d'Astérix, Joyce !
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2011
    Dèdiè au scènariste et rèalisateur Pierre Zucca, cet ultime film du regrettè Eric Rohmer est une rèussite dont on aime une fois de plus l'èlègance! Honorè d'Urfè, ècrivain du temps d'Henri IV, nous conte qu'en Gaule, au Vème siècle de notre ère, vivait un peuple de bergers à l'ècart de la civilisation romaine! On nous montre ces "Gaulois" comme se les sont reprèsentès les gens du XVIIème siècle! Rohmer n'a pu situer cette histoire dans la règion où l'avait placèe l'auteur; la plaine du Forez ètant maintenant dèfigurèe par l'urbanisation, l'èlargissement des routes, le rètrècissement des rivières, la plantation des rèsineux! Rohmer a finalement choisi comme cadres de cette histoire, des paysages ayant conservè, l'essentiel de leur poèsie sauvage et de leur charme bucolique dont le chant des oiseaux et le souffle du vent ont ici une place importante! Andy Gillet incarne avec crèdibilitè un berger amoureux contraint de se travestir pour approcher la belle Astrèe jouè par Stèphanie Crayencour qui se fond dans l'univers iconoclaste du cinèaste! Cècile Cassel fait une prestation aussi fougueuse que subtile en donnant un coup de jeune au fameux phrasè rohmerien! On verra aussi dans la distribution le regrettè Jocelyn Quivrin et de vieilles connaissances, Rosette et surtout Marie Rivière qui joue ici un rôle de figuration! Traitè dans un style bousculant tout principe narratif dont certains trouveront ici qu'ennui et ridicule, "Les amours d'Astrèe et de Cèladon" est rèservè à un public d'initiè avec des dialogues prècieux et un phrasè très rohmerien qui n’est pas une nouveautè chez le cinèaste des « Contes moraux » et des « contes des quatre saisons »...
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 juillet 2012
    Dans un style très (trop) littéraire, Rohmer raconte une histoire niaise et barbante. Pourtant côté mise en scène et dialogues c'est bien fait, les acteurs sont moyens. Un film pour amateur du cinéma rohmerien.
    didbail
    didbail

    21 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 septembre 2007
    Consternation ! Où est passé le Rohmer que j'aime, celui des "contes moraux" ou des "comédies et proverbes" ? Déjà, "Triple Agent" m'avait semblé un peu ennuyeux. Mais là, Rohmer atteint des sommets de ridicule et le spectateur s'ennuie ferme.
    A oublier.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    73 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2017
    Adaptation poétique, érudite et sensuelle d'une partie de L'Astrée, roman pastoral du XVIIème siècle d'Honoré d'Urfé et œuvre majeure de la littérature française, ce dernier long-métrage d'Éric Rohmer est un plaisir absolu de tous les instants. Conte philosophique autant qu'histoire d'amour au sens le plus pur du terme, ce film est empli d'une puissance érotique d'une intensité singulière. Visuellement très belle, une fable délicieuse aux dialogues exquis et à l'interprétation savoureuse. Superbe.
    norman06
    norman06

    296 abonnés 1 598 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 septembre 2007
    D'Eric Rohmer, on pouvait attendre mieux que cette oeuvrette statique, qui souffre d'un manque de moyens évident, de plans fixes minimalistes stériles et d'un jeu d'acteurs à la diction monocorde (hormis le joli Andy Gillet). Mais la seconde partie, qui narre avec finesse un savoureux jeu de travestissement, permet de retrouver la verve du cinéaste des "Contes moraux".
    Niko0982
    Niko0982

    63 abonnés 1 331 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2008
    Bon film. Je suis surtout content d'avoir pût découvrir cette histoire dans un film. Ca évite de lire le bouquin qui fait plus de 5000 pages, même si le film est forcément moins complet. Néanmoins, ca suffit à passer un bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 septembre 2007
    2007 aura été l'année du retour au premier plan de nos "jeunes turcs" nationaux. Après la puissante et romantique réussite de Rivette (Ne touchez pas la hache) et le fourvoiement de Chabrol (La jeune fille coupée en deux), c'est au tour de Rohmer de revenir au premier plan. Après le "dyptique" assez râté fait de plans fixes rebutants, formé de L'anglaise et le duc et Triple Agent, la transposition à l'écran du texte buccolique d'Honoré d'Urfé, Les amours d'Astrée et de Céladon, se révèle rondement menée et révèle des facettes cachées de l'auteur du Genou de Claire.

    Le plaisir de ce nouvel opus rohmerien tient tout autant du jeu d'acteurs que de la traditionnelle mise en scène du maître, fixe et à l'inusable format 4/3. En outre, si vous aimez les promenades buccoliques et le phrasé du cinéaste, vous allez en avoir plein les oreilles. Il est vrai qu'un tel amour de la langue française ne se retrouve plus que chez quelqu'un comme Rohmer aujourd'hui, et c'est ce qui fait de lui un électron libre. Il nous prouve de plus à quel point il filme bien les femmes, la bouillonante Stéphanie de Crayencour volant la vedette à un Andy Gillet aux épaules trop petites pour un tel rôle. La comédienne est la véritable révélation du film, tant par sa fragilité que par sa beauté plastique, telle une statue antique. A côté de la blonde, la brune Cécile Cassel qui, elle aussi, "casse la baraque", de son piquant naturel et de sa voix rocailleuse reconnaissable entre toutes.

    En outre, cette odyssée buccolique se révèle être le film le plus sensuel de son réalisateur, lequel aura attendu ses 86 printemps, et rien que pour ça, c'est à voir.
    Pierre E
    Pierre E

    197 abonnés 665 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 décembre 2007
    On se laisse aller avec délectation au rythme de ce suspense romantique, à la fois si désuet mais si frais, dans sa manière de s’affranchir du registre soutenu sans y enlever de son raffinement, et de l’animer par des personnages candides mais spirituels, interprétés par d’excellents acteurs, qui par leur présence, donnent vie à la sensualité teintée d’un érotisme délicat qui s’y prête. LES AMOURS D’ASTREE ET DE CELADON est un marivaudage précieux et charmant, plein de grâce, de lyrisme et d’élégance. Avec une incroyable rigueur et beaucoup de sophistication, Rohmer réussit à ressusciter et revigorer un genre, une ambiance naturelle et un registre de langue, et par la même occasion, trouve une nouvelle jeunesse.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 septembre 2007
    Du radio-théâtre comme dans les années '50, je ne vois pas l'intêret de voir ce film.
    Par moments riche en dialogues mais d'une naïfté que fait son atout et son ennui.
    Vladimir.Potsch
    Vladimir.Potsch

    19 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 septembre 2007
    Au premier, abord, dans ce nouvel opus de Rohmer, le ridicule le dispute au charme. Les critiques officiels ont pour la plupart choisi leur appreciation en faveur du charme, mais ont ils vus tous ces spectateurs qui quittaient la salle à chaque tirade un peu trop longue, alambiquée, à chaque chanson qui s'inssère dans le récit sans prévenir ? Mais parlons du charme : ce que réussit véritablement Rohmer, et c'est ce qui fait pencher la balance du bon côté, c'est de rendre le personnage d'Astrée véritablement fascinant, quasi immortelle, et d'une sensualité qui donne au film une certaine modernité par rapport aux livres d'images qui nous ont souvent été servis pour la période du Moyen Âge. Ce charme est aussi celui des paysages, on dirait la forêt d'à côté, qui opère inévitablement sur la crédibilité des joutes sentimentales. La simplicité de ce décor rend parfois poignants les textes de quelques jeunes gens sur les difficultés de l'amour et le parti qu'il faut en prendre. Sauf qu' à certains moments ces tirades ne sont pas loin d' être pesantes, notamment les ironiques sophismes du barde. Alors, Rohmer a t'il été trop loin ? En restant toujours au plus près du texte des anciens, en s'éloignant systématiquement des artifices du cinéma, a t'il pris le risque de privilégier certains aspects qui lui tenaient à coeur plutôt que l'ensemble de l'oeuvre ? Sans doute que le temps et le revisionnage établiront la réelle valeur de son film.
    cristal
    cristal

    165 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2007
    Eric Rohmer est indéniablement le maître du cinéma français.Ainsi,son nouveau film,tiré du roman pastoral d'Honoré d'Urfé,conte les remords du jeune et beau Céladon,épris d'Astrée,charmante bergère qui aperçoit le beau en compagnie d'une autre jouvencelle.Céladon se jette alors à l'eau,se sentant coupable du fait qu'elle l'ait vu dans une telle posture alors qu'il est innocent,et,le croyant noyé,Astrée voit le véritable amour que ce dernier lui portaît,gravé sur un arbre.La jeune et belle demoiselle plonge alors dans le chagrin,tandis que,de son côté,Céladon se retrouve hébergé chez les nymphes,inconscient.De là,les deux vont se rapprocher peu à peu,puis se retrouver.Il faut tout de suite souligner une chose : le format de production du film est en super 16.L'image est donc délimitée dans un cadre presque carré sur l'écran,effet (très) déstabilisant au début.Mais passé cette inhabitude,ainsi que la diction au début insupportable des acteurs,dont le jeu se fonde sur des moues insignifiantes et des poses clichées,et de la naïveté abérrante de l'ensemble (sans parler du décor tout près du périphérique),"Les amours d'Astrée et de Céladon" se révèle être un chef-d'oeuvre d'une rareté aussi immense que précieuse.En fait,tout est question d'habitude;passé 15 minutes,du grotesque on passe à la merveille sans crier gare.Il faut se plonger dans le texte ultra-théâtral et la difficulté des rôles pour les acteurs,et prendre compte du manque de moyens évident de Rohmer pour tourner ce film.Car au lieu d'une fable insupportable de niaiserie et jouée comme un sketch des Inconnus (quand ils se moquent d'un film justement),ce qui plane pendant 15 minutes tout de même,se cache une oeuvre d'une grande finesse et d'une beauté radieuse.Rohmer réinvente ici le cinéma entier : avec rien,il créé tout.Il créé la beauté,l'émotion,la pureté,l'exaltation et le jeu des acteurs,la sensualité et la clarté.Sans baisse de rythme et traitant avec minutie le texte (par ailleurs renversant de romantis
    Serge CHITRIT
    Serge CHITRIT

    50 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2007
    Laissez là donc,Céladon,cette Astrée ,car elle a ce trait qu'ont les amours déguisées...
    Celà fait penser après coup au fameux "Orfeo negro",mais avec le happy end en plus.
    Je suis toujours aussi sensible aux films d'Eric Rohmer,mais je dois dire qu'en voyant celui ci,par moment l'on rit où l'on devrait pleurer et inversement.Mais que devient Galathée qui aime l'éphèbe sans son âme?Elle disparait comme par enchantement dans la mémoire de notre triste réalité du 21ème siècle.
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