Mon compte
    Pardonnez-moi
    Note moyenne
    3,1
    963 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Pardonnez-moi ?

    162 critiques spectateurs

    5
    43 critiques
    4
    41 critiques
    3
    20 critiques
    2
    20 critiques
    1
    14 critiques
    0
    24 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 novembre 2020
    Premier long-mètrage de l'actrice-rèalisatrice-scènariste Maïwenn qui raconte comment une future mère tourne un film sur sa famille. "Pardonnez-moi" est en fait un film qui vient d'un fait autobiographique! Une sorte de "Festen" à la française aussi narcissique qu'ènergique dont Maïwenn tient le rôle principal avec une camèra au poing qui fait èclater les secrets honteux de chacun! Tous les comèdiens sont remarquables avec une mention spèciale à Pascal Greggory qui joue le père! A noter la prèsence de la regrettèe Marie-France Pisier en mère dèpassèe, un rôle sur mesure pour l'actrice, habile dans l'art du dècalage! Sans oublier la très belle chanson de Yves Montand « Trois petites notes de musique », prèsente dèjà dans « L’ètè meurtrier » dans lequel Maïwenn jouait dèjà! Un premier long prometteur, quoi qu'un poil ègocentrique. "Polisse" confirmera le talent de la rèalisatrice...
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    250 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 novembre 2011
    C’est un secret de polichinelle pour tous les gens un peu intéressés par l’histoire de la réalisatrice-actrice-scénariste-productrice, Maïwenn a eu une enfance très compliquée, ayant été battue par ses deux parents. Ce film est donc autobiographique.

    A la limite du documentaire par moments, la caméra de Maïwenn se balade à travers sa famille, totalement décomposée, de manière énergique, passionnante, sur une période de temps indéterminée et pourtant complètement maîtrisée. Ce qui commence par une comédie grinçante se transforme en drame poignant sur la famille et la maltraitance d’enfants. Les acteurs sont fantastiques, Yannick Soulier & Pascal Greggory (en salopard tellement émouvant) en tête, dans des rôles a priori diamétralement opposés mais qui se regroupent un peu. On regrettera deux erreurs assez énormes, comme le nom du spectacle de Violette, qui s’appelle Maïwenn et le fait qu’on soit en 1998 (comme on peut le voir sur L’Equipe que Yannick Soulier lit) mais qu’on puisse apercevoir des affiches de Kiss Kiss Bang Bang dans le métro. De plus, le discours de Maïwenn sur l’innocence totale des enfants est un peu difficile à accepter, malgré ses circonstances atténuantes…

    Maïwenn, pour son premier long métrage, nous sert donc un bijou de tragédie contenue, dont seul Dark Vador ne pleurerait pas devant (ce n’est pas de moi.).
    Jérôme H
    Jérôme H

    137 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2008
    J'ai bien aimé l'intégration de cette caméras dans une famille à moitié déchiré par son vécu et la simplicité avec laquelle la réalisatrice nous transporte d'émotion en émotion.
    BeatJunky
    BeatJunky

    121 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2013
    Bon portrait de famille avec une grande Maïwenn à la réalisation originale. C'est atypique comme film et c'est justement ce qui le fait fonctionner. Une bonne claque, un bon coup de pied dans la fourmilière familiale! Maïwenn dit tout haut ce que tout le monde pense autour d'elle mais qui n'est pas souvent révélé. Les non-dits de cette famille peut se vérifier dans beaucoup d'autres puisque chacune a son lot de secrets de Polichinelle, des choses qu'on taît mais que tout le monde sait. On préfère parfois les taire et essayer d'avancer avec plutôt que de crever l'abcès.... Maïwenn décide dans ce film que NON.
    ffred
    ffred

    1 498 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 décembre 2006
    Un seul mot : chef-d'oeuvre !!!
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2011
    Pardonnez-Moi va vous faire l’effet d’un électrochoc ! Maïwenn réalise ici son premier long-métrage, comme une autobiographie où elle règle ses comptes avec ses proches et surtout avec son père.
    Un homme odieux, qui là frappé pendant plusieurs années, et ce, alors qu’elle n’était encore qu’une gamine. Aujourd’hui, elle a décidé de « lever le voile » sur cette partie de sa vie, souvent trop sombre. Comme elle le dit, ce film est « son fantasme », dire tout haut, ce que tout le monde pense tout bas. A défaut d’avoir pu obtenir des excuses de son père, elle se les imaginent et se dévoile en mettant au point un stratagème où elle va tout faire pour essayer de cicatriser ces plaies trop longtemps ouvertes.
    Maïwenn, dans le rôle principal, filme sa famille (fictive) à l’aide d’une DV, et va donc en profiter pour régler ses comptes avec son père (remarquablement interpréter par Pascal Greggory).
    Des acteurs en totale improvisation (lors de certaines séquences), Pardonnez-Moi est une véritable « séance de psy », qui se transforme en une belle leçon d’humanité. Entre rire et tristesse, Maïwenn confirme ses talents, à la fois d’actrice, comme elle l’avait déjà fait avec Le Cinquième Elément (1997) & dans Haute Tension (2003), cette fois-ci, c’est également en tant que réalisatrice qu’elle s’affirme avec cette « ovni » réellement sensationnelle !
    Dans la lignée de Tarnation (2004), où là aussi, la technique de la DV et de la Super 8 étaient utilisées, deux films complètement sidérant, étonnant et troublant.
    Youmna C
    Youmna C

    37 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2006
    Fort et intense. Drôle et audacieux. Bien joué, bien filmé, bien écrit, et bien mené… Certains scènes dérangent par leur cruauté et leur efficacité. Le spectateur en prend plein la gueule et c'est tant mieux pour lui. Maïwenn réussit là un défi immense, en faisant de sa vie privée un film révélateur de toute une génération qui vit dans le secret familial et le mal-être… Renversant!
    joss363
    joss363

    18 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2008
    Toutes les vérités ne sont pas bonnes à entendre... Ce film choque, bouleverse. On prend tout dans la gueule !!! Maïwenn nous le bombarde avec une énergie féroce. Mais on est émus aussi, parce que cette fille nous rend triste, à tel point qu'on a envie de la plaindre !
    L'intelligence y est, de même que le casting...
    Une chose est sûre, ce film nous marque, nous atteint d'une certaine manière...
    peter W.
    peter W.

    39 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 avril 2017
    La réalisation reste assez expérimentale, il y a quelques passages qui était susceptibles d' être intéressants seulement c'est noyé dans le fatras et puis on a du mal à ce coltiner les problèmes de l'actrice. Sinon il y avait un choix intéressant au niveau du casting.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 octobre 2011
    Un film bouleversant qui remue jusqu'au fond de soi. Enfin ,quand on sait , s'intéresse et comprend les vrais secrets de famille...
    Lucille T.
    Lucille T.

    34 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2010
    Pardon, n. m. : action de tenir une action ou une parole comme nulle, non avenue, renoncer à une quelconque forme de vengeance.

    Parce que Maïwenne, définitivement.
    cristal
    cristal

    165 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 septembre 2012
    LE choc de l'année,LE film de l'année,LA surprise de l'année,LA révélation de l'année.Ce n'est pas peu!"pardonnez-moi" est un film qui abasourdi.C'est un film d'une puissance désarmante,parlant d'enfance battue,entre autres,et surtout un film très autobiographique.Alors qu'il aurait pu tomber dans le type 'film psy manipulateur",Maïwenn l'évite et s'en sort avec les honneurs,nous posant là,devant des acteurs épatants,à commencer par elle-même,devant une mise en scène au cordeau,devant un scénario implacable.Filmé en caméra embarquée,son film est bien plus qu'un coup de poing.C'est une collision frontale,un énorme choc dans le crâne,dont je ne me sors d'ailleurs toujours pas(!) à l'heure ou j'écris ces lignes(soit deux jours après!).Ce film est absolument monstrueux de dureté,d'intimité,de force,et il est inhumain de ne pas être bouleversé par ces 1h20 d'uppercuts.Maïwenn ne lâche pas le morceau,elle veut faire ce film,quitte à ce que le rendu soit moche,et sa sincérité et sa passion nous brise le coeur.La situation de l'enfance battue engrangant peu à peu d'autres thèmes familials,la puissance particulière du film trouvant sa force en cela que ce sont des histoires intimes qui se passe entre une famille,des histoires personnelles qui ne nous regarde pas,et que l'on a normalement tous vécu(plus ou moins violamment)un jour.C'est brut,direct,filmé en speed et d'une dureté éprouvante.Jamais un film ne m'avait autant fait pleurer(et parfois rire),jamais je n'avais vu si conséquent sur moi,sur les autres,jamais vu si puissant.S'il n'y a qu'une scène à retenir(chose totalement idiote et dépourvue de sens,je le conçois),c'est sans dout celle de la poupée:juste un coup de poing dans la gueule.Comme le reste du film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 janvier 2009
    nul, nul, nul!!!!passez votre chemin!
    Clingo
    Clingo

    47 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2012
    La cinéaste possède déjà une maîtrise totale pour un premier film, que ce soit au niveau de l'écriture ou de la mise en scène. Les dialogues sont précis et justes, mais le paradoxe c'est qu'on apprend qu'une large place a été laissée à l'improvisation. Commentant les séquences de disputes ( plutôt nombreuses ) Maïwenn explique qu'une rigueur absolue d'écriture ferait perdre de la crédibilité aux situations et au jeu d'acteur. On peut ne pas être d'accord avec elle, mais ici le résultat parle en sa faveur : rarement aura-t-on été aussi impressionné par la justesse des comédiens, frappés par cette sensation que la fiction s'efface et que l'on voit devant nos yeux quelque chose de vrai. Tout ici paraît naturel, et ne fait donc que renforcer l'impact émotionnel sur le spectateur. Evidemment la mise en scène et les moyens utilisés apportent eux aussi leur contribution à cet aspect si crédible qu'a le film en général. Soit une petite caméra toujours collée aux personnages, captant leurs émotions et sentiments sans rien en perdre. C'est que Maïwenn veut tout filmer, ne rien manquer, traquer chaque indice qui pourrait avoir son utilité dans la recherche de cette vérité qu'elle tient tant à connaître. Cette gourmandise de la part de la cinéaste n'est que très légèrement problématique : certes son personnage ne laisse aucun répit aux autres, et fait voler en éclats leur intimité, mais qu'y faire après tout puisqu'il s'agit tout simplement de Maïwenn, elle est comme ça, point ! L'actrice-réalisatrice se livre corps et âme dans cette première oeuvre, faisant preuve d'une sincérité à toute épreuve. Evidemment elle ne fait pas dans la nuance, mais cela est inhérent à son caractère généreux qui emporte tout sur son passage. L'égocentrisme a ici toute sa place, et le problème - qui finalement n'en est pas vraiment un - c'est que la vérité de chacun est mise de côté au profit de la vérité de Maïwenn. Son point de vue visant à donner la parole à tout le monde ne trouve pas de concrétisation, et c'est bien Maïwenn seule qui emporte l'empathie du spectateur. Mais après tout, c'est un film de Maïwenn, et on se dit que les autres acteurs n'ont qu'à s'emparer d'une caméra et à filmer pour se faire entendre. Ce geste, d'ailleurs, soit l'achat de la caméra et la décision de faire un film, est très symbolique puisqu'il fait suite à la volonté du personnage d'arrêter sa psychanalyse. Le cinéma comme meilleur remède qui soit, très juste.

    Pardonnez-moi est un film fort, intense, absolument bouleversant. En décrivant une histoire très personnelle, il atteint à l'universalité en mettant le spectateur face à sa propre vie. Le film met parfois mal à l'aise, comme lorsque les quatre vérités sont dites, que l'hypocrisie tombe en même temps que les masques et que les personnages ne peuvent que voir les choses en face, comme elles sont. Mais c'est le prix à payer pour faire en sorte que les choses aillent mieux, même si évidemment le résultat n'est pas toujours à la hauteur des espérances. La spontanéité et la sincérité de Maïwenn sont des armes indispensables face aux non-dits et à l'hypocrisie ambiante. Son second film s'intitule Le Bal des Actrices. Ici ça serait plutôt Le Bal des Faux-culs. Et forcément il arrive un moment où tout cela doit cesser, et la tension est alors palpable. Ce sont des scènes atroces, poignantes, inoubliables, des réglements de compte qu'il faut à tout prix mettre en scène pour exorciser les blessures passées. Maïwenn/Violette s'oblige à souffrir un peu plus dans le présent, ne fait que perpétuer la souffrance du passé, mais c'est pour mieux préparer son futur. A ceux qui lui reprocheraient de ne pas être sincère, d'en faire trop, il faut rappeler la puissance et la pureté des images d'archives, qui montrent déjà le caractère bien défini de Maïwenn, preuves qu'elle ne triche pas.

    Film inouï, nécessaire, une énorme claque qui ne peut absolument pas laisser indemne ni indifférent. Et surtout une sincérité extrêmement touchante qui fait un bien fou dans le paysage cinématographique. Bravo Maïwenn.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 août 2012
    Comme la plupart des films de Maïwen...on s'ennuuuuie!!! au secours! j'ai dû me forcer pour terminer ce navet. Son seul bon film est Polisse. Pour les autres, à jeter.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top