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Durant leurs congés d'été, trois jeunes parisiennes décident d'aller se mettre au vert et c'est sur la côte vendéenne, à Saint Gilles Croix de Vie que les amies trouvent leur bonheur. Kareen, Caroline et Joëlle, enthousiastes, ont bien l'intention de profiter et d'oublier tous les tracas de la vie parisienne. L'arrivée impromptue de Gilbert, le chef de bureau de Joëlle, pimente d'autant plus les vacances et les jeunes femmes prennent un malin plaisir à le faire tourner en bourrique. Entre éclats de rires, amourettes et coups d'éclat, ce joli trio n'est pas près d'oublier leur escapade à la mer.
Un petit miracle d'èquilibre qui nous fait aimer le cinèma! C'est, par bonheur, le meilleur mètrage de Jacques Rozier, un film atmosphèrique d'une beautè magique! Toutes les promesses de "Adieu Philippine" sont largement tenues par le trop mèconnu "Du côtè d'Orouet" qui, sous les apparences d'une nonchalante chronique de vacances est interrogation sur la tension des rapports humains aujourd'hui, rêve impossible d'une vie aux rapports ...
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petit chef d'oeuvre poétique et mélancolique que l'on garde précieusement en soi comme un lointain mais indélébile souvenir de vacances.
Ce film échappe au cinéma pour mieux lui faire honneur, entre fiction, improvisation et document, rozier dépeint comme personne ce temps suspendu, fait d'acivités typiques(voile, cheval, pêche)de rencontres, de fous rires, de lenteurs et au final d'ennui que l'on à tous ressentis un jour ou l'autre ...
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Quel film ! Quelle énergie ! Quelle jeunesse !
Mine de rien, c’est bien ficelé, et les plans sont épatants. Mais, c’est mine de rien, et d’autres choses priment ! (parait-il…)
Un véritable hymne à la jeunesse ; la complicité féminine, sans réel cliché, mais jamais trop loin de la réalité. Le trio d’actrices fonctionne à merveille, et Bernard Menez ajoute du piment avec grande authenticité. L’authenticité, c’est bien ...
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Impossible quand on est une fille et qu'on a eu des copines à l'adolescence de ne pas retrouver beaucoup de soi dans ce très joli film. C'est d'autant plus facile que, mis à part dans les scènes "au bureau", le film est très peu daté L'allure des filles, leurs vêtements, leurs histoires de régime et de garçons sont intemporels. Certaines scènes sont extrêmement drôles. L'ambiance de fin de saison d'une station balnéaire est très ...
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Par une grande figure de la Nouvelle Vague
Du côté d'Orouët est une réalisation de Jacques Rozier, figure emblématique de la Nouvelle Vague. Après le plébiscité Adieu Philippine, le cinéaste a attendu neuf ans pour dévoiler cette nouvelle oeuvre, qui marque l'une des premières apparitions à l'écran de Bernard Ménez. Du côté d'Orouët est sorti en 1973 dans une seule salle.
Un assistant-réalisateur de renom
L'assistant-réalisateur sur Du côté d'Orouët n'est autre que Jean-François Stévenin, qui allait, après cette expérience, devenir une figure incontournable du cinéma français. Il s'est notamment illustré sous la direction de François Truffaut (La Nuit américaine, L'Argent de poche), Bertrand Blier, Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Mocky, Jacques Demy ou encore Jacques Rivette.
Un film "gonflé" !
Sorti en salles en 1973 au format 16 mm, Du côté d'Orouët a été "gonflé" en 35 mm en 1996 à l'occasion de sa présentation au Festival de La Rochelle.
Nationalité
France
Distributeur
Théâtre du Temple
Année de production
1973
Date de sortie DVD
-
Date de sortie Blu-ray
-
Date de sortie VOD
01/03/2018
Type de film
Long métrage
Secrets de tournage
3 anecdotes
Budget
-
Date de reprise
17/06/2009
Langues
Français
Format production
16mm
Couleur
Couleur
Format audio
-
Format de projection
-
N° de Visa
-
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