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Note moyenne
3,4
22 titres de presse
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Brazil
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La Croix
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Le Monde
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Le Parisien
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Libération
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MCinéma.com
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Metro
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Paris Match
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Première
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Télé 7 Jours
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TéléCinéObs
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20 Minutes
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Ciné Live
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Le Journal du Dimanche
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Les Inrockuptibles
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Ouest France
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Studio Magazine
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Télérama
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aVoir-aLire.com
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Cahiers du Cinéma
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L'Humanité
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Positif
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Brazil
Menée par un beau casting (...), "La famille Savage" vous emportera dans des contrées certes familières, mais avec un vrai bonheur et une jolie réflexion.
La Croix
Grâce à quelques touches d'humour immédiatemment perceptibles, [Tamara Jenkins] fait en sorte que le récit ne devienne jamais oppressant, malgré le réalisme du propos.
Le Monde
Le propos pourrait être sinistre, il est teinté d'humour, la réalisatrice tirant un parti cocasse de situations tragiques et évitant soigneusement de se vautrer dans le sordide ou l'attendrissement.
Le Parisien
La réalisatrice a conçu un film très réaliste et d'une authentique finesse. (...) L'interprétation magristrale de Laura Linney et de Philip Seymour Hoffman est irrésistible.
Libération
(...) le récit se signale par un mélange de tact et de circonspection, à verser autant au crédit de la mise en scène (...) que de l'interprétation.
MCinéma.com
(...) les personnages, campés sublimement par Laura Linney et Philip Seymour Hoffman, nous livrent une superbe leçon de vie, qui sait résonner au plus profond de chacun de nous. Le tout sans morale ni prise en otage de nos glandes lacrymales.
Metro
Un humour bien dosé et des personnages croqués au millimètre rendent le film de Tamara Jenkins particulièrement touchant et surtout pas sinistre (...) La confirmation d'un véritable auteur du cinéma américain.
Paris Match
L'humour reste l'élément central de ce film audacieux qui nous révèle toute l'humanité de la famille Savage.
Première
Typique du cinéma indie dans ce qu'il a de meilleur, La famille Savage ne prend pas le spectateur par la main. [Le film] impose un regard et une cinéaste.
Télé 7 Jours
(...) son enjeu principal est la redécouverte du lien fraternel dans l'épreuve. A ce titre, le jeu de Laura Linney (en lice pour l'Oscar) et de Philip Seymour Hoffman lui donne une résonance singulière et prégnante.
TéléCinéObs
Le sujet, pas sexy en rebutera plus d'un. Dommage car cette tragi-comédie, si elle pèche un peu du côté comédie, se révèle assez touchante. (...) Philip Seymour Hoffman et Laura Linney sont au sommet de leur art.
20 Minutes
Un film plutôt léger, malgré la gravité de son sujet.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Journal du Dimanche
"La Famille Savage" réussit le tour de force de bouleverser en conservant une dignité grâce à un humour salvateur et d'ancrer le drame dans un quotidien troublant de réalisme.
Les Inrockuptibles
(...) le film manque de relief et de personnalité, ne prenant pas assez de distance avec son scénario trop bouclé et démonstratif sur le plan pyschologique (...)
Ouest France
Entre humour, tendresse, inquiétude, elle [Tamara Jenkins] alterne les tonalités, bien servie par le tandem Laura Linney et Philip Seymour Hoffman au mieux de leur force expressive.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
On aimerait s'enthousiasmer davantage, ne serait-ce que pour l'ironie amère de certaines scènes, mais le trait est souvent forcé : les misères affectives du frère et de la soeur sont ainsi mécaniquement imputées au déséquilibre familial antérieur.
aVoir-aLire.com
C'est sûrement touchant et perspicace, mais l'on ne pourra s'empêcher de regretter l'évolution classique et convenue du récit (...)
Cahiers du Cinéma
(...) Tamara Jenkins ne pose une situation (...) et une opposition entre deux milieux (...) que pour régler sa lorgnette sur l'égocentrisme de ses protagonistes. C'est un passage obligé de l'autodérision indie.
L'Humanité
Il y a encore des films adultes en demi-teinte sur des sujets concrets et universels. La mauvaise nouvelle, c'est qu'on reste à Hollywood : le film est limité et édulcoré par une chose ou une autre (...). Ou bien par certains raccourcis faciles (...)
Positif
(...) un registre doux/amer, tendre/comique (...) on se contentera d'apprécier la performance des trois comédiens (...)