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    Allez, Yallah!
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Allez, Yallah!" et de son tournage !

    Note d'intention du réalisateur

    En réalisant ce film, Jean-Pierre Thorn souhaitait "filmer la résistance de la vie, la beauté des femmes, leur courage,leur intelligence... plutôt que toujours la haine - le "sang à la une" du terrorisme - dans laquelle se complaisent trop souvent des médias qui n'aboutissent qu'à stigmatiser le monde arabe et paralyser d'effroi nos démocraties."

    Dans sa note d'intention, il poursuit : "Le cinéma du côté des planteuses d'arbres, plutôt que de celui des incendiaires ou des pompiers (aussi héroïques soient-ils !) (...) Allez Yallah !, un chant d'amour, un grand poème épique : sans doute le plus vrai de mes films, le plus sincère, s'approchant le plus de mon désir initial de cinéma, celui de mes 20 ans, d'un cinéma en transe d'un Glauber Rocha ou d'un Eisenstein..."

    Le regard de la réalisatrice et scénariste Cécile Vargaftig

    Pour Cécile Vargaftig, réalisatrice de Barakat ! et scénariste de Oublier Cheyenne, "Le talent de Jean-Pierre Thorn est de dénoncer le danger de l'islamisme à travers la lutte des caravanières, pleines de joie et de courage, et de faire de ce film une grande fête dont on sort un peu ivre, ému, amoureux. Il y célèbre, poursuit-elle, tous les âges de la femme, son corps, ses yeux, ses sourires, dans une grande sensualité et sans jamais être vulgaire. Il y célèbre la langue arabe dans tous ses aspects, du parler le plus populaire aux versets en arabe classique, avec respect et amour. Il y célèbre la lutte, qui unit les âmes et les corps, la générosité et la solidarité qui sont le terreau du militantisme. Et comme dans tous ses films, il y célèbre la musique et la danse, centrales au coeur de l'espoir. Toutes les musiques y sont unies, des chants arabo-andalous de Sapho au rap de Bams, comme sont unies toutes les femmes de ce film, quelles que soient leurs religions, leurs couleurs de peaux ou leurs langues maternelles."

    Bams à la musique

    Les musiques qui accompagnent ce documentaire sont signées Sapho et Bams.

    Née le 23 décembre 1973 à Paris, Bams est licenciée de mathématiques et sacrée championne de triple saut en France et en Afrique. En 1998, elle a joué dans Le Festin où s'ouvrent les coeurs d'Alain Milianti au Théâtre de la Commune. Ayant composé un premier album, Vivre ou mourir, en 1999, elle a souvent collaboré avec la famille rap : Sinistre, Dgiz, les rappeurs Casey et Ekoué de La Rumeur. Depuis 2003, elle est également journaliste pour la revue trimestrielle Respect.

    Bams a immédiatement répondu à l'appel de Jean-Pierre Thorn pour écrire la musique du film, en collaboration avec Junkazlou. Le thème de l'islamisme la touche personnellement, elle qui prône le respect et revendique le droit à l'égalité. Cette chanson, intitulée Dérèglement Climatique, sortira sur son prochain album.

    Présenté à Cannes

    Allez Yallah ! a été présenté par l'ACID (Agence du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion) au Festival de Cannes en 2006.

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