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Truman.
204 abonnés
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2,5
Publiée le 28 février 2013
Sympa mais loin d'etre indispensable pour les fans du genre horreur thriller, Paranoiak emprunte des clichés vu et revu dans le cinéma , des acteurs bon mais pas exceptionnels et une histoire pas franchement original , mais malgré tout ça le film tient la route , une bonne réalisation et une bonne ambiance le tout dans de bon moment de tension . Un film qui se laisse voir une fois mais pas deux .
Il y a indéniablement du positif à tirer de ce Disturbia, sorte de remake de Rear Window: les acteurs tiennent leurs rôles, la réalisation est plutôt bonne et il est difficile de s'ennuyer grâce à un scénario très rythmé. Mais le mélange des genres sur lequel a voulu s'appuyer D.J. Caruso fonctionne mal. Le côté teen movie, particulièrement présent durant la première heure, parait superflu et ne colle pas vraiment à la partie thriller qui elle aurait mérité plus de développement et surtout beaucoup plus tôt dans le film afin de créer une réelle montée en puissance. On rentre en fin de compte beaucoup trop tard dans l'intrigue, les rebondissements s'enchainent donc un peu trop rapidement et parfois de façon bancale. De plus, les transitions sont relativement mal gérées et on passe de scènes légères à des scènes de suspense en l'espace d'un instant. Frustrant donc tant il y avait mieux à faire avec ces éléments. Reste que le film, à défaut d'être exceptionnel, est plutôt agréable.
Cette "fenêtre sur piscine et gazon" est un film sur un ado en cours de neurogenèse avec toutes ses pathologies. Pourtant filmé avec un HARTLPOWERTRACK 403 PC, "Paranoiak" de D.J. Caruso est pitoyable. Censé être la libre interprétation de "Fenêtre sur cour" d’Alfred Hitchcock, le réalisateur n’a manifestement retenu que la fenêtre. Enfin pour résumer…, il n’y même rien à résumer.
Quand Fenêtre sur Cour rencontre Fright Night, un rejeton voit le jour. Plutôt gringalet, mais pas déplaisant. Il s’appelle Disturbia et a pour ambition de revisiter ces deux classiques du cinéma à la sauce adolescente : la jolie voisine incarne la tentation, cette même voisine qui se balade en maillot de bain et prend des poses lascives sous les regards indiscrets de Kale. Il semble d’ailleurs qu’il plaît à ladite voisine de se savoir épiée : son comportement se rapproche d’un mannequin amateur qui reproduirait les postures apprises dans les magazines ou à la télévision. Kale, justement, incarne le jeune homme en butte à des désirs qu’il ne parvient à assouvir que dans la pénombre de sa chambre. Son incarcération domestique révèle en cela le sentiment de cloisonnement éprouvé par tout jeune adolescent soumis aux transformations de son corps et de sa sensibilité : l’émetteur qu’il porte à la cheville indique tout à la fois la surveillance qu’exerce l’adulte sur ses moindres faits et gestes, et ses angoisses face à ce monde des grandes personnes qu’il ne connaît que de l’extérieur. L’irruption d’un beau-père de substitution (sous forme de menace) achève de brosser le portrait d’un âge ingrat où l’adolescent navigue entre deux pôles qui se dérobent encore à lui : suffisamment vieux pour être responsable de ses actes, mais trop jeune pour être pris au sérieux, Kale change sa maison en tour de contrôle du voisinage jusqu’à quitter sa position passive et se rendre enfin acteur de son existence. Dès lors, le périmètre évolue en défi à accomplir, puis en frontière à transgresser. Si Disturbia vaut pour sa dramaturgie de l’espace, il perd néanmoins de sa superbe avec sa construction temporelle : on ne croit pas vraiment à l’enchaînement logique des évènements qui ou semble forcé – coller un élève alors qu’il s’agit du dernier jour de classe, comme le laisse penser le projet de récitation – ou ne naît pas naturellement des situations. Caruso a la main lourde d’un bon faiseur qui a appris ses gammes et les récite avec l’indélicatesse d’une machine de chantier. En résulte une impression de collage malvenue que la vulgarité d’un premier segment (présentation des personnages, mise en place de l’intrigue etc.) vient accentuer. Trop de démonstration, trop de chansons aussi. En revanche, le crescendo paranoïaque fonctionne à merveille et réserve une résolution finale non loin du grand-guignolesque le plus savoureux : des cadavres sous le plancher de la cave, un tueur caché dans le renfoncement d’un mur, une mère disparue. Caruso devient presque parodique de lui-même et jongle avec les clichés qu’il avait jusqu’alors pris soin de mettre en images. Il manque pourtant la verve burlesque d’un Joe Dante ou, au contraire, le malaise diffus d’un Brian de Palma. Film trop sage voire franchement puritain – le voyeurisme reste thématique et la clausule prône un retour à la morale assez douteuse –, Disturbia ne réussit pas à croiser réflexion sur l’adolescence et déboulonnage des topiques du genre qu’il investit. Ce qui n’affecte en rien ses qualités intrinsèques, à commencer par son efficacité générale et sa distribution.
Après le magistrale Transformers, on retrouve Sahia Lebeuf dans un rôle totalement différent. Il incarne un jeune homme restant chez lui à cause de problèmes juridique pendant les vacances. Pour s’occuper il regarde la vie intimme de ses voisins. Mais le comportement de l’un deux laisse penser qu’il s’agit d’un serial killer. D.J carruso nous offre une version plus jeune de fenêtre sur coure avec une ouverture explosive qui laisse place à une investigation un peu plus ado que le thème du film. On est surpris pas de fois, tenu en halène tout le temps.
Dans le genre de "Fenetre sur Cour" de Hitchcock, un jeune homme turbulent assigné à résidence commence à espionner ses voisins. Dommage que le final vire au grand n'importe quoi, car le suspense de Disturbia est assez scotchant !
Un très bon remake du film d'Alfred Hitckock: Fenêtre sur cour version teen movie. Les acteurs sont très bon en particulier Shia LaBeouf et Carrie Anne Moss. Beaucoup de suspense et de stress. Un film qui m'a beaucoup marqué et que j'ai adoré. David Morse fait flipper en voisin serial killer et sa cave est un peu encombrés de cadavres. Le film est long à démarrer mais la suite du film est passionnante. Un scénario très bien écrit et assez intéressant. Je ne comprend pas les mauvaises notes presse car ce film est très bien. A noter aussi une très bonne BO avec des musiques cool. Génial!
Sur le papier, le film est une vulgaire copie de FENETRE SUR COUR du grand Hitchcock. La bande-annonce présente un film violent qui part de tout côté. Au final, un remake "ado" virvoltant, prenant et super réussi. On retrouve une Carrie-Anne Moss, qui a vieilli depuis MATRIX et une équipe (réalisateur-acteur) excellentes qui fera encore ses preuves avec l'excellent OEIL DU MAL. On ne le repetera jamais assez: les suites ou remakes n'égaleront jamais l'original... Excellent quand même.
excellent thriller très efficace, on ne s'ennuie pas une seconde malgré quelques clichés qui font penser à des films précédents du genre "fenêtre sur cour" ou "body double"
Un remake de "Fenêtre sur cour" qui ne présente absolument aucun intérêt, si ce n'est de constater avec quel brio on peut remanier un chef-d’œuvre cinématographique en une bouillie infâme, légèrement débile et proprement ridicule. Si c'est un hommage, ça en devient plutôt une parodie. Alors on va dire qu'il faut prendre le film tel qu'il est, sans le comparer, eh bien désolé pour ma part ça revient au même, c'est râpé. Comme déjà écrit, "interdit au plus de 12 ans".
Alors là, qu'elle claque ! Réalisateur du sympathique Oeil du Mal et de.....heu Numéro Quatre, réalise une pure bombe !
A la fois comédie sur l'adolescence, drame, triller et slasher, Paranoiak est une petite bombe que j'aurait du vraiment voir lors de sa sortie en 2007. Shia Laboeuf, qui est excellent, prouve que son succès n'a rien d'étonnant. Tous les acteurs joue bien, David Morse est impressionnant. Franchement, il y a des moment ou j'ai vraiment rie (quand le personnage de Shia foue la musique à fond), et vraiment le scénario est super (élaboré par Steven Spielberg, qui pensé le réalisé avant de la confié à D.J Caruso). Les 30 dernières minutes sont peux etre pas le moment le plus effrayant que j'ai pu voir mais sa prouve que un PG-13 peux encore faire son petit effet. Et au passage, Scream 4 ne lui arrive pas a la cheville en terme de suspence
Bon déjà Shia leboeuf et un acteur génial, pour ce qui l'on vue dans transfomers il incarne le film a lui seul (oui il a le rôle principal mais même, beaucoup de films on des acteurs secondaire meilleur que les principaux !!
bref ce film a une bonne histoire même si sa reste un scénario basique, pour les acteurs la plupart sont bon !! c'est un Thriller basique ce n'est pas non plus un Seven mais je vous le conseille car pour moi même si le scénario ne casse pas 3 pattes a un canard ce film reste très bon regardé le vous ne serrez pas déçus
Le thème était certes prometteur - il a tout de même inspiré Fenêtre sur Cour à Hitchcock - mais cette version accumule clichés et incohérences avec la subtilité d'un bulldozer enragé...Et ce que la fin est interminable! Seul point d'intérêt: Shia LaBeouf dont on comprend tout le ressentiment à l'égard du système hollywoodien.