Avis : Hairspray - Page 7

Débordant d'énergie, Hairspray est vraiment un film sympa. Dans ce film, on rit et on rit avec un John travolta à fond dans son rôle. Les acteurs sont convaincant (Michelle Pleiffer est sublime en sale garce^^!!) Le film a été bien choisi pour transmettre le message, "non à la segregation oui à l'integration!" Quant aux musiques du film, elles sont bonnes. un bon divertissement!!

Ca faisais longtemps qu'un film ne m'avais pas donné la patate ! Hairspray déborde de positivisme, de couleurs et de chansons toutes plus éxellentes les unes que les autres! Le casting est grandiose et la mise en scene drôle et endiablée !
Un vrais délice anti déprime !

En dépit de quelques numéros musicaux réussis et d'une interprétation savoureuse, quoique répétitive, de Michele Pfeiffer le film est à l'image de la prothese d'un Travolta cabitonant à outrance,d'une incroyable balourdise.
Morale lénifiante qui ferait passer celles des films Disney pour des joyaux de complexité, platitude totale de la mise en scène et laideur visuelle finissent de vous achever malgré l'énérgie déployée par une troupe de jeunes acteurs plutôt convaincants ...

Joyeuse comèdie musicale librement inspirèe du long-mètrage homonyme de John Waters en 1988, oeuvre dèlirante et colorèe, hymne joyeusement subversive à la gloire de la tolèrance et de la libertè! Une comèdie musicale inspirèe du film original avait ensuite ètè lancèe en 2002 à Broadway! Le nouveau "Hairspray" est une rèinvention inspirèe de cette pièce! Le compositeur Marc Shaiman ètait de nouveau de la partie, adaptant à l'ècran la plupart des musiques de la pièce et en crèant de nouveau, spècialement pour l'occasion! Des danses et des chansons gèniales, un John Travolta reprenant avec beaucoup de tendresse un rôle tenu par Divine, un Christopher Walken attachant en père farceur et lègèrement dèpassè par les èvènements, Michelle Pfeiffer, belle garce en miss peroxydèe sur le retour et la nouvelle coqueluche des midinettes: Zac Efron, choisi d'ailleurs par Travolta pour jouer à ses côtès! Frais, entraînant et divertissant pour un joli moment de dètente et de bonheur...

Remake librement inspiré de Hairspray, la version originale datant de 1988 et signé John Waters, qui connu ensuite une seconde vie en 2002 avec son adaptation en comédie musicale à Broadway. Il faut avouer que lorsque l’on apprend que c’est Adam Shankman qui se retrouve aux commandes de cette libre adaptation, on reste quelques peu perplexe. Car à la vue de sa filmographie, le doute pouvait subsister, à savoir s’il serait capable de réaliser Hairspray. En effet, après Baby-Sittor (2005) et Treize à la douzaine 2 (2006), il quitte le registre des films familiales pour celui de la comédie musicale, et le résultat est tout bonnement spectaculaire ! Voir même renversant. Dès le début, il nous plonge dans les années 60, à Baltimore, où la haine raciale se fait encore sentir. On y découvre alors une jeune adolescente qui rêve de danser dans l’émission phare du moment, celle de Corny Collins. Mais à cause de son physique quelque peu rondelet, elle se fait évincer, malgré ses talents indéniables !
Par chance, elle finira tout de même par participer au show, malgré la jalousie qui se fait ressentir de la part de ses rivales. S’enchaînent alors à un rythme effréné des pas de danses tous impressionnants les uns que les autres, au grés d’une B.O entraînante et vivifiante !
Ajouter à tout cela, un casting extrêmement bien choisi, où se côtoient différentes générations d’acteurs, débutants ou confirmés, comme Zac Efron, Brittany Snow, James Marsden, Amanda Bynes et l’époustouflante Nicole Blonsky, aux côté d’acteurs que l’on ne présentent plus tels que l’hilarant(e) John Travolta, Michelle Pfeiffer, Christopher Walken ou encore Queen Latifah.
Durant près de deux heures, à une cadence endiablée, voir même totalement déchaînée, Adam Shankman nous scotch à notre fauteuil, si bien qu’au final, ce n’est même plus du cinéma, mais un réelle spectacle qui se déroule sous nos yeux ébahis. Hairspray sent les années sixties à plein nez et nous convis à une ode à l’amour et à la liberté !

C'est très frais et plutôt original. On ressort de la salle avec une certaine joie de vivre.

On pourrait dire que cela est trop cliché trop (faussement) naïf ...Néanmoins HAIRSPRAY est une très bonne comédie entraînée par des chansons 60's survitaminées et aux chorégraphies cadrées et qui en plus de s'assumer nous accorde quelques rires. Même si la subtilité n'est pas toujours au rendez vous (dans sa façon de véhiculer un vrai message), indéniablement l'entrain pour tous y est.

Voir John Travolta en femme ne me dérange, mais si c’est pour qu’il devienne une caricature, ce n’est pas la peine. Mis à part cela, les deux seuls qui m’ont plu dans le casting sont Christopher Walken et Amanda Bynes (bizarrement d’ailleurs). Le film est coloré, tout le monde est bien coiffé, mais le gros problème est que le film est agaçant. Certaines chansons semblent durer des plombent et l’histoire est laissée de côté, ce qui est dommage.

Le côté tout le monde peut y arriver, tout le monde est gentil et les chansons avec pleins de beaux espoirs rendent le film un chouia ringard et vieillot mais on prend un réel plaisir grâce à la grande énergie des acteurs. L'hommage aux années 60 est bien rendu!!!

Bon, je ne vais pas faire un spitch d'une page, je pense que tout a deja était dit...
J'ai trouvé le film ennuyeux et entrecoupé beaucoup trop souvent par des chansons plates et fatiguantes.
Une petite etoile pour Zac Effron qui est beau dans son role, et encore je suis sympa...

Une comedie musicale dynamique pour ses parties dansés mais qui manque terriblement d'humour et qui souffre surtout d'un scenario qui respire trop le conte de fée.Cette sorte de Star Academy des sixties a la sauce Sauvés par le Gong empile les clichés et deroule une histoire caricaturale sans surprise .Seul interet (avec l'entreint de certains passages) a ce remake de la version 88 de Waters ,les remarquables performances de pointures Hollywoodiennes (Travolta grimé en menagere obese ou Pfeiffer toujours aussi sexy dans le role de l'odieuse directrice raciste delicieusement execrable) comme les 1ers pas de jeunes comediens physiquement seduisants mais se revelant egalement doués de belles presences devant la camera.),"Hairspray" se trouve bien alourdit par son réçit d'intégration (les gros et les noirs) lourdissime,didactique et surtout prévisible jusqu'au bout.

Pour finir cet été plutot frais, rien de tel qu'un bol d'air frais tant qu'à faire ! La bonne humeur est vraiment communicative et on ressort avec le sourire et l'air de la bande originale (top) dans la tête. Humour et émotion à la fois, ce film met l'accent non seulement sur les discriminations physiques de certaines femmes plutot rondes, et sur la ségrégation raciale dont étaient victimes les noirs dans les années 1960 (à noter la scène de leur revendiaction dans la rue très touchante). Elle insiste donc parfaitement bien sur l'égalité des chances à danser sur un show télévisé que l'on soir noir ou gros !!! Concernant les acteurs, rien à dire, avec un Travolta qui est plutot à l'aise dans son rôle de femme bien enveloppée et la révélation: Nicole BLONSKY débordante de bonne humeur !

Les comédies musicales changent de couleurs : De grease, elles virent au rose bonbon. C’est kitch, mièvre, bourré de bonnes intentions sur un fond moralisateur d’ode à la tolérance. Qu’importe, Hairspray il faut le savourer au second degré, se laisser gagner par son humour potache, la joie de vivre qu’il dégage, et céder à l’envie irrépressible de …chanter, danser, mettre ses baskets,et wouap dou ouap, faire la boum dans le living room.

Hairspray adaptation de la comédie musicale présente à Broadway est caractérisé par un enthousiasme communicatif, des décors et costumes flashys et une B.O excellentissime.
Le seul reproche que l’on pourrait trouver c’est que le côté béa du film réduit certains messages : la population noire qui est gentiment révolté contre les injustices raciales.
Les acteurs sont renversants : l’actrice principale est explosante, Queen Latifah est superbe et la change de ses rôles habituels, on retrouve avec bonheur le duo de Batman 2 : Christopher Walken et Michele Pfeiffer et pour finir John Travolta est tout simplement énorme

Le film étant un remake, la vision de celui-ci sera modifiée par le souvenir de l’original, le cas échéant.
La comédie musicale tente régulièrement de re-devenir à la mode. Il y a quelques mois sortait le très lourd “dreamgirls”, véritable danger pour les tympans sensibles; voici le ni plus ni moins léger “Hairspray”, mêlant grands sentiments et messages humanistes (le racisme c’est pas bien, et il faut accepter les différences), vulgarité assumée et même revendiquée (John Travolta en mère de famille pesant 150 kilos), et chorégraphies chantées (déhanchées mais super-réglées).
Sur l’acceptation des différences, le message est ultra-naïf, angélique. Dans le même ordre d’idée, Little Miss Sunshine, sans être révolutionnaire, sonnait beaucoup plus juste avec beaucoup plus d’efficacité.
Travolta, fer de lance de la publicité autour du film, est assez pitoyable, ressemblant à un bonhomme Michelin, absolument pas crédible. On se demande d’ailleurs pourquoi bon nombre de comédiens américains célèbres (Eddie Murphy, Robin Williams...) aiment se transformer en énormes femmes : tenteraient-ils de faire admettre l’obésité comme un petit travers tout à fait acceptable ?
Enfin, même les non-spécialistes en chorégraphie admettront qu’il y a bien peu de différences entre les différents “numéros”, et les chansons, sans être inaudibles, n’ont guère d’originalité.
Bref, au royaume des comédies musicales, il n’y a toujours rien, rien de nouveau depuis l’excellent “Chicago”.